La chartreuse de parme, 1839 « Fabrice a waterloo »

fievnmvld'vmnfbmofvTEXTE 2 : LA CHARTREUSE DE PARME, 1839 « FABRICE A WATERLOO »

Une scène épique sans majesté.

a) Une boucherie « héroïque »

Champ lexical du sang, de la mort. On est dans l’antithèse de l'euphémisme, on est dans le réalisme cru, rien n'est atténué : les corps ne sont pas héroïques ils sont sanglants.

Personnification l.8 « les habits rouges vivaient encore » nous sommes ici dans l'aspect le plus cru d'une scène de guerre.

Les détails sont morbides « les pieds dans les entrailles » (l.30)

b) Le cahot et la confusion

On est dans une absence d'ordre et de discipline.

La focalisation est interne a travers le regard de Fabrice, qui est brouillé. Il ne parvient pas a saisir correctement les détails de la scène : « il avait eau regarder »

Il a un regard limité. Son regard n'a pas l'ampleur épique d'un militaire

Le temps du regard brouillé est le passé simple : le survol des actions sans attention.

Les hommes sans grandeur.

Les hommes dans ce teste sont désacralisé, même le maréchal Ney par l'adjectif « gros » et par son niveau de langue ( récurrence : il « jurait », imparfait : habitude de grossièreté)

Tout les hommes sont grossier et indiscipliné.

Vocabulaire trivial et grossier.

Ce champs de bataille est donc le lieu du sang de la mort, et non pas de la grandeur d’âme ni de la valeur de l'art militaire.

Cette absence de grandeur épique du champs de bataille fait apparaître Fabrice comme un héros improbable.

Fabrice, le renversement des qualités héroïques.

a) Sensible et non pas maitre de lui même

Sensible exacerté : il s'appitoie sur le sort des soldats, et même sur le cheval mourant.

Ce n'est pas le lieu ni le moment. Il est inefficace.

Le personnage est en total décalage. Il n'a pas la maîtrise attendu.

b) Spectateur et non pas acteur

Ce n'est pas un homme d'action, d’ailleurs il y a une absence de verbes d'action.

On peut dire qu'il voit mais sans regarder

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