Charles Baudelaire

Charles Baudelaire est un poéte français né à Paris le 8 avril 1821 et mort dans la même ville le 31 août 1867 à 46 ans . C'est un grand poéte du XIXéme siécle qui fait parti du mouvement romantique . Il s'est consacré toute sa vie sur une seule œuvre les fleurs du mal ; cette œuvre fut condamné et censuré dés sa sortie car elle était trop choquante pour la morale des bourgeois , et ceux jusqu'à qu'il atteigne la postérité. Nous allons étudier la poésie «Le coucher du soleil romantique» qui a lui aussi était censuré à cause de son contenus jugés trop provoquant pour la bourgeoisie. En premier lieu nous étudierons la structure de ce poéme puis son lyrisme et nous teminerons par l'étude du théme très souvent utilisés par les romantiques : La fuite du temps.

Ainsi nous nous demanderons comment baudelaire aprehende t-il le romantisme à travers son poéme.

Baudelaire a ecrit cette poésie sous forme de sonnet,il utilise plusieur figure de style tel que la personnification «Que le soleil est beau quand tout frais il se léve ,

comme une explosion nous lançant son bonjour»l2,

ou encore la comparaison «Je me souviens ! J'ai vu tout , fleur, source, sillon

Se pâmer sous son œil comme un cœur qui palpite...»

Le poéte utilise le temps du present pour donner une certaine dynamique au poéme et le rendre plus vivant. Dans ce poéme il exprimait ses sentiments tel que la passion (sentiments positif) ou encore sa mélancolie (sentiments négatif ) .Pour cela le poéte decrit dans le premier quatrains le lever du soleil; comme un évenement fabuleux et majestueux «Que le soleil est beau» l1 qu'il associe au verbe «se léve » pour dynamisé le vers .C'est au début du deuxiéme quatrain que l'on commence à ressentir sa mélancolie;ca ne l'empeche pas de parler de belle chose avec une certaine energie en utilisant le verbe «courons» et lorsqu'il parle des fleurs , source et sillon .Dans les autres tercets on sent un ralentissement , un changement d'attitude du poéte avant il courait maintenant il poursuit quelque chose qui se retire : le soleil , qui laisse place à la nuit , au ténebre . Son interminable poursuite s'affaiblit ; son assurance diminue et devient peureux .

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