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L'implication subjective au travail

TD : L'implication subjective au travail. Recherche parmi 302 000+ dissertations

Par   •  10 Août 2025  •  TD  •  1 849 Mots (8 Pages)  •  10 Vues

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La sociologie 4/11/2024 : 2 ème cours.

L’implication subjective au travail !

Une disposition encore peu étudier. L’exemple des intervenants sociaux.

La subjectivité au travail un concept qui est étudié en sociologie. C’est quelques chose qui est difficilement cessisable, identifiable, et peu enregistré par des indicateurs classiques.

En outre la compréhension de l’ exercice de l’activité professionnelle auprès des pers confrontés à difficultés économiques et sociales importantes supposent de tenir en compte de prendre la dimension subjective comme éléments décisifs du travail en train de se faire. Alors que cet élément reste très marginal voir totalement invisibilisé dans l’évaluation des intervenants des travailleurs sociaux. Elle est mise de côté par les structures et la société dans cet ensemble.

L’objectif de la séance est d’apporter des réponses la place et le rôle de la subjectivité et la place des travailleurs sociaux. L’hypothèse : la subjectivité au travail et quelques chose et le résultat d’une construction sociale et non individuel.

  1. La subjectivité à l’œuvre dans le travail des intervenants sociaux une disposition peu étudiée.

Dejours C

L’évaluation du travail l’épreuve du réel

On peut définir l’activité des intervenants sociaux en soulignant qu’elles reposent sur le contact entre un professionnel offreur et un usager demandeur. Quel que soit le métier et la particularité de l’intervenant sociale, il va proposer une aide.

A partir de cette première caractéristiques des questions se posent :

  • Comment se passent cette relation ? Quels en sont les ressorts notamment subjective ?
  • Comment faire en sorte que la personne en demande ?
  • Profite de l’aide qui lui ai apporté ?
  • Comment le professionnel du social si prends pour faire coopérer la personne en difficulté au parcours dans lequel on s’efforce de la positionnée ?

Faut que la personne y voit un sens, cette compréhension n’est pas forcement mis en avant entre l’usager et le travailleur social.

Pour répondre à ces questions, il faut mettre à plat ou en évidence le savoir-faire d’emblée peu formalisé. La subjectivité ne s’évalue pas. Ça peut s’évoquer quand on parle d’empathie , ca bascule dans la compétence.

En effet dans le domaine du travail social notamment dans tels et tels associations spécialisées dans l’insertion , ils arrivent souvent que les taches qui demandent le plus d’effort soit celles dont les résultats matérielles ( évaluables) soit les moins flatteurs à première vue.

Exemple : des personnes dans le dispositifs RSA . Ces conseillers sont confrontés à des personnes éloignées de l’emploi. Objectif emploi 66 émit il y a plusieurs années. Faire accéder à un emploi suppose très probablement  moins d’effort que de redonner confiance à quelqu’un  en donnant tenant compte de convaincre de se repositionner à moyen terme.

France travail atelier création de cv.

Ainsi dans ces contextes de travail, l’évaluation des performantes atteintes s’avèrent totalement aberrante et déconnecter de la réalité du travail et de la réalité du travail entrain de se faire. (la réalité du travailleur du social= évoque des freins à des personnes.)De même, depuis la décennie 1980, dans le champ du travail social de nouveau métier sont apparus notamment les métiers liés à la politique de la ville tout particulièrement dans cette dimension quartiers difficiles. Comme par exemple : métier de médiateur sociale.

Que c’est ton de ces nouveaux métiers : sociologiquement parlant très peu d’études. Notamment sur le travail qui est entrain de se faire et la place que prends la subjectivité reste un impensé.

C’est-à-dire mise de côté, c’est pas évaluer. Par contre, leurs missions sont définis et les objectifs sont censés être atteint. Le travail entrain de se faire par l’observation. Les entretiens semi directives. On enregistre du discours sur le travail entrain de se faire dit les représentations du travail.

La politique de la ville et de l’emploi :l’accessibilité de l’emploi. Cependant, le non accès à une connaissance sur le travail en train de se faire et le rôle de la subjectivité dans l’exercice de ses métiers rend difficile par exemple une réflexion sur le rôle de l’improvisation et du génie personnel ( tout ce qui s’apprend pas de manière formalisé) que ces professionnelles doivent mettre en œuvre dans leur travail réel. La subjectivité dans le travail elle est dans tous les professions. Ça peut faire l’objet d’une étude .

Ce non accès conduit à négliger et de prendre en compte que le fait que dans ces métiers la mobilisation subjectif propre à l’activité déployés et présent chez les professionnels au-delà de son temps de travail officiel.  Au lieu de parler de neutralité mais de professionnalisme.

Quel rapport va-t-il le professionnel entretenir avec sa journée de travail ?

Dans les métiers du sociales, nous pouvons constater les difficultés à caractériser la relation intersubjective et interactive qui se déploie forcement entre le professionnel et l’usager.

Au-delà du cadre de la prescription induit par les structures, les politiques publics, les institutions commencent s’amorce cette relation et comment se maintient -elle ?

Qu’est qui est mis en place pour outrepasser les freins et les blocages ?

On parle de la relation de confiance , ne dépasse pas la neutralité.

  1. La subjectivité à l’œuvre dans le travail  des intervenants sociaux : Les moyens requis

Karz S Pourquoi le travail social ? référence ouvrage.

  1. La capacité à l’empathie.

On vient de souligner de ce qu’on appelle «  les qualités de cœur », l’empathie qui existe si souvent dans l’intervention sociale ne sont pas des dons naturels.

Mais des moyens de travail qui ont tenus du temps et de travail pour se construire. Et ce qui les constituent la manière dont on le perçoit dans la société. Parmi, selon les époques , les sociétés et les couches sociales. La capacité à regarder, à écouter et socialement et culturellement construite. Des mots d’ordre sont à l’œuvre dans le champ du travailleur social comme se positionner en tant qu’ adulte des avis des jeunes.

Qu’est que c’est un adulte ? De quel types d’adultes on parle ?

La place subjectif dans la mise en œuvre du travail social ? On peut définir la place à adoptée ? Elle va être individualisée en fonction du professionnel. On oppose la capacité à l’empathie, l’expertise professionnel. Cette expertise professionnelle est sensé réduire le talonnement à lier à la subjectivité. Comment du coup ?

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