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Les points communs entre les totalitarismes du XXe siècle

Étude de cas : Les points communs entre les totalitarismes du XXe siècle. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  26 Février 2018  •  Étude de cas  •  502 Mots (3 Pages)  •  817 Vues

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Allemagne

Italie

URSS

Culte du chef, de la personnalité, propagande.

(Surnom du chef, moyens utilisés…)

  • Pour les nazis, l’état allemand est un état sous la direction d’un guide, le führer. Le communisme était dès l’enfance obligatoire (ils devaient obligatoirement suivre ce parti)

  • Dès la jeunesse, ils devaient aller à l’entrainement avec des masques de gaz et des fusils miniatures pour être initier à la guerre.
  • En URSS, tout le monde voulait que Staline soit l’héritier de Lénine car chacun d’eux voulaient un état totalitaire

Encadrer et contrôler la société

  • Pour contrôler la société, tout était permis jusqu’à emprisonné de manière original (travail forcé, gazéifiés, tuméfiés, frappés jusqu’à la sortie du sang) pour ce qui ne suivait pas ce qu’ils disaient ou ce qu’ils demandaient. S’ils persistaient, ils pouvaient même perdre la vie.

  • Dès fois, plusieurs personnes juste pour un but dans leurs vies étaient près à faire n’importe quoi juste pour le pouvoir ou juste si c’est un ordre de la part de leur chef
  • Auparavant, ils cherchaient à soumettre les populations. La terreur visait en premier lieu à éliminer les opposants puis à soumettre la société à l’aide du Goulag.

Créer un homme nouveau

Pour les trois régimes : les démocraties ont conduits à un individualisme (ne s’intéresser qu’à soi) et au matérialisme (aimer posséder de l’argent, des objets). L’Etat a donc le devoir de changer ces mentalités et de créer un homme parfait. Il est différent selon les régimes.

NE PAS COMPLETER CES CASES – NOUS LE FERONS ENSEMBLE

Contrôler l’économie

Doc. 5 p 187

Doc. 1B p 190 + Doc. 1 p 192

.

« La terreur policière en URSS dans les années 1930 »

Deux couples roulent dans une auto, un pneu éclate. On a un peu bu, on rigole. L’un des hommes s’exclame : « Une bombe sous le derrière de Staline n’aurait pas fait plus de pétard ! ». L’autre rapporte, des mois plus tard, ce propos. Les deux femmes et le coupable sont arrêtés, déférés au tribunal sous l’inculpation d’agitation terroriste et condamnés à des peines variant entre 5 et 10 années d’internement. Les deux femmes, pour n’avoir pas rapporté le propos. La loi soviétique fait de la délation un devoir et de l’abstention dans pareil cas un crime puni des peines les plus fortes […].

Les arrestations ont lieu le plus souvent la nuit, quelquefois de jour mais par surprise, de manière à passer inaperçues et à demeurer discrètes. Les familles ont beaucoup de mal à retrouver le disparu dans une prison ; elles n’y arrivent pas toujours. De règle, aucune visite des proches n’est autorisée pendant l’instruction qui a toujours lieu au secret absolu. Les prévenus peuvent mis en cellule pendant des mois, sans lecture d’aucune sorte, sans le moindre contact avec l’extérieur, sans promenade, sans supplément de vivre. J’ai subi ce régime à Moscou, pendant trois mois. L’instruction, usant de la terreur psychologique, cherche ainsi à les briser pour en tirer des aveux dont la qualité importe peu mais qui serviront à étayer une condamnation voulue d’avance.

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