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Points Communs Et Différences Des Trois Textes Et Appel A La Liberté

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Par   •  24 Janvier 2013  •  1 125 Mots (5 Pages)  •  4 355 Vues

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Nous allons vous présenter dans un premier temps les points communs et les différences des trois textes, ensuite en quoi ils constituent un appel à la liberté. Le premier texte, Discours à la servitude volontaire fut écrit par Étienne de la Boétie en 1576. Le deuxième texte est un article appelé « Liberté de penser » du Dictionnaire philosophique écrit par Voltaire en 1764, et le troisième texte est La religieuse écrit par Denis Diderot en 1796. Ces trois textes on un point en commun. Ils défendent tous une liberté. Le texte d’Étienne de La Boétie défend une liberté à la fois physique et morale. Cet a dire qu’il nous fait voire que l’on est oppresser et abuser par notre maître. On le voit grâce aux points d’interrogation comme nous pouvons voir de la ligne trois « D’où a-t-il pris tant d’yeux… » Jusqu’à la ligne sept «…qui vous tue et traitre a vous-mêmes ? ». Il utilise ces questions pour jouer avec le public ses paroles on donc plus de poids, aussi pour que nous nous pausons des questions à soit même dans la finalité de nous rendre compte que nous n’avons pas de raisons d’être l’esclave à personne. On est donc libre. Ensuite La Boétie fait une accumulation a la ligne deux « Celui qui vous maitrise n’a que deux yeux, n’a que deux mains, n’a qu’un corps… ». Il veut nous montré que celui qui nous prive de liberté, dans ce cas le maître n’est pas meilleur que nous il est notre égal. Dans le deuxième texte Voltaire défend la liberté morale. Pour lui il est plus important d’être libre même s’il y a des conséquences, que d’être sain et sauf mais soumis. Il nous le montre a la ligne deux « … j’ai mieux aimé être leur valet que leur victime » et Boldmind, image de Voltaire répond « Quelle horrible alternative ! ». Il nous montre aussi que la censure et la manque de liberté ne servent qu’à l’ignorance. Nous pouvons le voir des lignes sept à douze « Que voulez-vous ?... …que la nation deviendrait la plus malheureuse du monde ». Voltaire nous résume dans ces cinq lignes comment on passe de l’interdiction à la menace pour en finir dans l’incompétence. Medroso est ici ridiculisés par Voltaire. On le voit comme un petit enfant innocent qui n’ose pas désobéir ses parents. Voltaire défend donc la liberté morale à partir du manque de celle si. Pour finir dans le troisième texte Denis Diderot défend la liberté physique. Il utilise le dialogue entre deux personnages pour montrez la révolution de l’une face a sa vie monastique qui ne lui plait pas : Diderot nous le montre déjà dans la première ligne avec la gradation « J’étais, je suis et je serai toute ma vie mécontent de mon état. ». Elle annonce déjà des la première phrase qu’elle n’est pas libre puisqu’elle n’aime pas ce qu’elle fait et pour finir aux deux dernières phrases elle dit qu’elle va laisser sa vie monastique et elle finit avec le mot liberté. Le lecteur est à présent sous l’euphorie et veut être libre comme la religieuse. Le premier texte est un discours et les deux derniers sont des dialogues. A mon avis le discours est plus efficace pour faire un appel à la liberté car les questions du texte sont un moyen que l’auteur a de se communiquer avec le publique. Il fait que l’on se demande des choses, il attire donc notre attention. Nous allons vous parlez du texte de Denis Diderot, La religieuse écrit en 1796.

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