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La peau dans l'immunité

Cours : La peau dans l'immunité. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  3 Janvier 2016  •  Cours  •  492 Mots (2 Pages)  •  867 Vues

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- La peau tapisse toute la surface de l’organisme, constituée de plusieurs couches dont l’épiderme la dernière couche externe constituée de cellules capable de renouveler rapidement. Etant la première interface entre l’environnement et le corps, elle est donc la première ligne de défense contre les agressions telles que les microbes pathogène ; les agression physique ou chimique. Lorsque la peau est lésée où qu’un micro-organisme menace le corps, le système immunitaire de la peau intervient alors.

Celle-ci possède donc t-elle des défenses innées et spécifiques contre les micro-organismes ?

- Nous nous appuyons donc sur de nombreux documents pour y répondre :

Étant en contact direct avec l’extérieurs, la peau et les parties extérieures telle que les mains sont les premières en contact direct avec l’aire extérieur comportent une masse importante de bactéries.

Les mains sont les premières parties visée car elles sont en contact directe, grâce au touché, et notre document deux nous montre bien que dans certaines coupelle nous avons des empreintes de doigts et d’autre non. Tout cela, nous prouve que la peau agit sur certaines bactéries en protégeant l’organisme et sur d’autre non. En périphérie de l’épiderme, nous avons des cellules mortes, celle ci est donc appelée bactérie, elles sont donc extraites, détruite par les psoriasis.

Les psoriasis qui sont des protéines donc des enzymes qui agissent sur certaines bactéries en fonction de leurs constitution c’est a dire si elles sont constituées d’une paroi ou pas , alors selon le document étudié, nous pouvons donc déduire , ou encore émettre l’hypothèse que les psoriasis ont plus d ‘effet sur les bactéries sans paroi qu’avec paroi, car nous avons observés que l’épiderme à été éliminé avec une forte concentration de psorianine tandis qu’a l’inverse , l’aeruginosa qui ne comporte pas de paroi a été éliminée totalement avec qu’une faible concentration de psorianine . De plus, on peut affirmer que certains récepteurs comme les TLR4 identifient plus facilement les molécules de la membrane des bactéries sans parois, car grâce a de nombreux documents nous avons donc pu remarqué que lors d’une lésion, les bactéries qui rentrent dans l’organisme centaines cellules rentre en contact directement avec elles grâce a des TLR, et notamment les TLR4 reconnaissant les virus respiratoires.

Par la suite, nous avons les médiateurs chimiques qui rentrent en contact avec les éléments pathogènes et celle ci , sait gérer sa production en fonction de l’élément pathogène , et tout cela nous est prouvé par le document 4 , le diagramme , qui nous montre en réalité qu’après injection de LPS nous avons une production de 100% de NF et qu’après une injection d’anti-TLR2 nous avons une production que de 10% et que celle d’anti-TLR4 nous fais descendre encore a une production de 30%. Tout cela est donc prouvé.

- Nous pouvons donc conclure que tous ces évènement nous permettent de lutter efficacement contre les agression extérieurs, et la pénétration des micro-organismes vers le derme profond de la peau ou se trouve les vaisseaux sanguins.

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