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La morale

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Par   •  25 Mars 2016  •  Cours  •  483 Mots (2 Pages)  •  832 Vues

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La morale en philosophie implique la réflexion sur les fins de l'homme et de l'activité humaine. Implique un discours sur ce que nous devons faire entre notre naissance et notre mort. La moral est un discours qui va coder les conduites et les mœurs (morales et habitudes).

Les morales changent selon les peuples, les pays et les religions.

La morale pour la philosophie antique est la pratique de la vertu, devez nous mener à la vie vertueuse. Une vie de sagesse qui menait au bonheur. L'apparition du monothéisme, des religions du livre ont totalement changer ça.

Epicuriens : adhérer à une morale théorique mais aussi pratique. La morale s'est désolidariser de la pratique, n'est plus du tout philosophie, n'est pas individuel mais universel elle n'est pas pratique mais principielle. Elle renvoie à des codes à priori, des règles, des normes de la pratique à priori.

Bergson disait que nous vivions dans une morale close tacitement admise par tous (Les ressources de la morale et de la Religion). Morale implicite, tacite, tout ce qui est de l'ordre du « ça se fait «  et du « ça se fait pas ».

L'historicité c'est le caractère relatif de tout ce qui est lié à la morale. Cette morale normative, tacite. Il y a pour Nietzsche une conscience morale qui agir comme un certain inconscient culturel, qui est une attitude passive c'est à dire incorporer, qu'on en questionne même plus et qui nous gouverne.

Les hommes ont inventé le bien et le mal mais selon la position social il fait une généalogie de la morale. Crée de telle manière qu'ils ont été incorporés sans être questionnés. Cette incorporation correspond à la morale du troupeau, du conformisme selon Nietzsche.

On continue de croire à des valeurs mais on ne les comprend pas. Il crée le concept de mauvaise conscience de m'eme que Freud créera le concept de surmoi (cette instance morale), c'est la loi du père pour les psychanalystes.

Le conformisme de la morale du troupeau chez Nietzsche. Il parle de valeurs du troupeau → l'individu renonce a ce que son existence peut avoir d'exaltant. Ces gens là sont des faibles, des esclaves. La majorité pour Nietzsche, c'est la majorité des débiles. Penseur anti-démocratique, cette mentalité impose l'idée d'égalité ou cet idéal d'amour universel qui est signe de décadence. Désigne le règne des valeurs chrétiennes qui a fait croire à l'humanité qu'on était tous égaux or en faisant croire ça aux gens on les gouverne. Faire croire à des gens qui sont libres est la meilleur manière de contrôler les gens selon Nietzsche.

Morale = inconsciemment contrôlé, on incorpore les règles, les lois qui nous sont proposées et donc nous empêche de réfléchir.

La mauvaise conscience et la culpabilité, c'est concept son à l'origine pour lui de la morale et de la religion. La société et la morale s'instaure sur la répression → mensonge nécessaire, des créations de l'homme utile.

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