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Année 2019 denco

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Par   •  9 Décembre 2019  •  Chronologie  •  1 701 Mots (7 Pages)  •  492 Vues

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Nom : Gauze Thierry Jacques Denel

Numéro d’étudiant :8958844

POL2507

                                         Objet d’étude : l’amour, Eros

Thèse : Eros est amour de beauté et de bonté et la beauté en soi est la condition de toutes recherches afin d’acquérir le bonheur.

Bibliographie : Platon Le Banquet nouvelle édition revue et augmentée GF Flammarion

Dans notre roman intitulé le Banquet, nous assistons à un dialogue entre plusieurs personnes sur ce qu’est l’Eros, chacune des personnes est sensée donner son avis sur le sujet. Dans une marche dans la ville, Apollodore se propose de raconter le discours qu’ils ont eu au sujet de l’amour dans un Banquet organisé par Agathon qui venait de remporter un prix « avec sa première tragédie » (p86). Celui-ci le leur racontera, donc les faits de ce que lui as transmis Aristodème car il n’était pas présent ce jour. Tout d’abord Socrate est invité à souper chez Agathon, mais celui-ci est avec Aristodème et les deux essaient de trouver un moyen afin qu’Aristodème puisse se joindre à leur rencontre : « mais toi au fait, poursuivit-il, que penserais-tu [174] de venir au souper sans y avoir été invité ? » (P89). Pendant le trajet, Aristodème prend de l’avance sur Socrate qui lui est perdu dans ses pensées et arrive avant lui à la réunion chez Agathon. Celui celui-ci étonné de le voir lui fait savoir que toute la soirée d’avant à chercher à le rencontrer afin de l’inviter à ce Banquet. Remarquant l’absence de Socrate Agathon demande qu’on aille le chercher mais Aristodème refuse et veut qu’on le laisse ainsi, il viendra quand bon lui semblera ; lorsqu’il arriva celui-ci fut invité autour de la table à s’asseoir auprès d’Agathon qui sous-entend que Socrate lui transmettra son savoir de cette manière. Après avoir fait la fête la vieille et ressentant encore les séquelles de l’alcool ceux-ci décident de boire avec modération et de ne pas s’en ivrer, et propose donc de renvoyer « la joueuse d’aulos » (p94). Phèdre proposa alors que chacun d’entre eux prononcent un discours sur l’amour car ils n’avaient jamais abordé ce sujet. Ils décident tous que cela doit commencer par Phèdre.  Selon Phèdre le Dieu Amour est le plus ancien, car il vient après la terre et procure un grand bien aux personnes aimantes et aimées et inflige une certaine honte aux mauvaises actions et un plaisir aux bonnes. La plus grande honte qu’il explique serait de se faire attraper en train de faire du mal par son aimant. Une armée composée que d’aimants et d’aimés resterait invincible, mais selon l’antiquité seul ceux qui étaient prêts à mourir pour les autres sont ceux qui aime vraiment et c’est dans cette optique les Dieux ont accepté de ressusciter Alceste parce qu’elle a voulu à la place de son mari, tandis qu’ils décidaient de punir Eurydice car celui-ci ne voulait pas mourir afin de retrouver son amoureuse [179b-180C].

Ensuite au tour de Pausanias. Dans son discours, il soutient qu’il y a deux sortes d’amour contrairement à Phèdre qui supposait qu’il y avait juste un seul Amour. Il arrive aussi à distinguer les deux Aphrodite quelque soit la beauté ou la laideur de l’action nous ne devrions que parler de la beauté de l’action. L’Aphrodite populaire est celui des amants ceux qui aiment plus le corps que l’âme et se sentent plus attirés par les hommes que les femmes et l’Aphrodite céleste est celui dans lequel ils se sentent plus attirés par l’âme que par le corps et sont plus attirés par les hommes. Il faudrait aussi craindre la révolte des amants contre la tyrannie. Ainsi il arrive à faire la distinction entre les deux manières d’aimer afin de mieux vivre avec son partenaire. Au tour de Aristophane de se prononcer, mais celui-ci est prit par un hoquet et demande à Eryximaque de prendre sa place et parlera après lui ; Eryximaque qui est médecin lui donne certaines astuces afin d’arrêter son hoquet. Au tour d’Eryximaque de donner sa définition, mais celui-ci la rapporte plus à la médecine, il serait bien de suivre les vœux d’un homme bien mais aussi d’un médecin car il doit chercher à maintenir la santé en bon état et lutter contre les maladies. Enfin il compare l’amour à la musique et plusieurs autres sujets mais toutes ces conclusions nous ramènent à l’idée que l’amour est indispensable et importante dans la vie des hommes et celles des Dieux [187a-188a]. Nous passons donc au tour de Aristophane qui prend la parole car son hoquet ayant stopper. Il insiste plus sur la force et le pouvoir de l’amour et nous parle des débuts de la race humaine. Au début ils avaient une forme sphérique et que tous leurs membres étaient doublés à savoir deux hommes, deux femmes ou un homme et une femme. De leur morphologie ceux-ci se déplaçaient soit tout droit ou en rond. Il est bon à savoir que les formes d’humains représentaient chacune des astres le soleil la terre et la lune et se sentant vraiment fort ceux-ci décidèrent donc de défier les Dieux. Ainsi Zeus eut pitié et décida de ne pas les anéantir et pour qu’ils aient leurs formes normales il les coupa en deux, et chaque moitié se mirent à chercher son autre moitié mais ne pouvaient donc pas se reproduire jusqu’à ce qu’il décide de mettre leurs parties génitales là où nous les connaissons c’est-à-dire devant. Il caractérise donc l’amour sous trois formes homme-homme homme-femme et femme-femme, et que tout homme cherche à finir avec la personne qu’il aime. Ainsi il demande que les autres ne polémiquent pas sur son discours. Il s’en suit une entre Agathon et Socrate, mais Phèdre arrive à les stopper en demandant à Agathon de commencer son discours à son tour. Agathon soutient qu’ils ont juste parlé des hommes au lieu de faire les éloges des Dieux. Tout commence par la Nature d’Amour[195b]. Selon lui l’amour n’est pas le plus jeune des Dieux vus qu’il n’existait pas déjà au début des temps mais plutôt la discorde, il est le seul qui soutient que l’âme existe et s’harmonise avec lui. L’amour n’a pas besoin d’utiliser la force et est au-dessus de tous les plaisirs et il permet d’affronter les pires épreuves ce qui nous rend courageux. Les amoureux se trouvent par la suite des talents de poètes et permet la cohésion entre les hommes [196e-197d]. Socrate par la suite s’exprime sur le fait de n’avoir pas compris le principe des discours car selon lui il fallait différencier le vrai du faux ce qu’il s’empressa de faire dans son discours. Selon lui Agathon aurait tort car l’amour ne serait ni le beau ni le bon, car ne pas être savant ne veut pas dire qu’on ne sait rien[201e-203a]. S’il n’est pas Dieu alors il ne possède donc pas le bon et le bon. Il distingue l’Amour sous différentes facettes fils de poros et pénia dans laquelle pénia profita de l’inconscient de poros afin de coucher avec lui et tomber enceinte ensuite Amour vu dans la philosophie selon Diotime qui suppose que Socrate s’est trompé sur sa définition ; Amour objet du désir et d’enfantement car aimer nous permettrait de créer afin d’acquérir le bonheur et ce même amour serait le fruit de pérenniser leur descendance et l’amour partagé ainsi ne pas être oublié. Son ultime but serait alors de montrer que la beauté de l’âme est supérieure la beauté du corps. L’Amour serait donc tout ce qui se caractérise par le beau. [204a-212e] et serait donc un manque, désir de quelque chose ou quelqu’un alors possession perpétuelle ou éternelle. On assiste à l’arrivée Alcibiade ivre et qui veut se joindre au Banquet, Eryximaque lui fait savoir qu’ils ont tous prononcé un discours sur l’amour qu’il devrait en faire autant mais celui-ci refusa prétextant qu’un ivrogne ne pourrait rivaliser avec des personnes sobres et que peut il rajouter après le discours de Socrate à part parler de celui-ci. Il commença donc à venter les mérites de Socrate. Il le qualifie de séducteur et le compare aux Silènes et aux satyres Marsyas. En effet il dit que Socrate a juste de besoin de paroles pour conquérir son public et n’a pas besoin de susciter des émotions chez les autres pour se faire aimer. Il a l’air de quelqu’un de normal mais ce qui se cache à l’intérieur de lui est précieux. Alcibiade avait essayé de tenter Socrate maintes fois mais celui-ci réussi à s’en sortir, il disait que Socrate était courageux et endurant car il avait réussi à résister à la faim et au froid pendant l’hiver et que même pendant la guerre il trouvait toujours un temps libre pour consacrer à la méditation. Il eut à secourir Alcibiade pendant la retraite de Délion. Il disait que Socrate était incomparable et ne peut être compris que chez les Satyres, il faudrait donc méditer et réfléchir afin de comprendre ses propos. A la fin les autres se moquaient des dires de Alcibiade. Phèdre et Eryximaque quittèrent la réunion et les autres encore ensommeillés se couchèrent Socrate décida donc de vaquer à ses occupations.

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