Anne Hébert

Anne Hébert est née le 1er aout 1916, dans le village de Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier. Elle est une écrivaine, poétesse et scénariste québécoise. En 1953, Anne a écrit un recueil de poème intitulé Le tombeau des rois. Un de ces poèmes, Les petites villes, montre beaucoup le chagrin qu’elle vit face à la fin de son enfance. L’analyse de l’extrait «Les petites villes» montre que l’auteure choisi plusieurs mots triste.

Tout d’abord, la tristesse es ce qui ressort le plus de ce poème. L’auteure utilise beaucoup de négation pour exprimer la tristesse des petites villes. En effet, ce sont surtout mots comme «ni» et «pas» qui apparaissent tout au long du poème. Par exemple dans l’extrait : « Je joue avec les petites villes

Je les renverse

Pas un homme ne s’en échappe

Ni une fleur ni un enfant». (Anne Hébert, 1953, P.1)

Ce passage montre que les villages sont solitaires et sont éloignés de la réalité des grandes villes. L’auteure montre qu’elle veut abandonner les petites villes parce qu’elle les trouve trop éloignés de la société et leur ambiance est maussade. Elle trouve que les petites villes sont désertes, une preuve de cela apparait lorsqu’elle dit : « Les parcs et les jardins sont morts». Donc, avec les différents aspects présenter dans le poème ces possible de voir que les petites villes dont l’auteure parle dans le poème sont triste.

Pour conclure, l’aspect principal qu’Anne Hébert voulait présenter dans son poème est solitude et l’éloignement des petites villes. Ce qui est bien de cette auteure est qu’on arrive à ce faire une image des petites villes grâce a son poème. Les critiques disent que la solitude et le désir de vivre ressortent sans cesse de son esprit. Peut-on dire que ses petites villes existent encore de nos jours?

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