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Texte libre : Blason sur la bouche

Résumé : Texte libre : Blason sur la bouche. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  15 Juin 2022  •  Résumé  •  939 Mots (4 Pages)  •  392 Vues

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J’étais en train de me préparer pour notre soirée d’halloween, lorsque l’on toqua, c’était mon amie

Sophie. Mes parents n’étant pas présents, nous avons décidé de regarder un film d’horreur afin de

marquer cette soirée du 31 octobre. Je ne sais pas pourquoi, mais dès l’instant où j’ai ouvert la

porte, il m’a semblé sentir une sorte de courant d’air, une lueur blanche, pénétrer la maison en

même temps que Sophie, je dis bien “une sorte”, car celui-ci m’effleura et soudain des frissons me

prirent, comme je n’en ai jamais ressenti. Nous nous sommes ensuite installées, puis nous avons

commencé à visionner le film “ Les 12 coups de minuit''. Au fur et à mesure du film, le froid de la

pièce semblait s’intensifier, et les quelques craquements presque inaudibles par la même occasion.

J’avais l’impression que l’atmosphère du film déteignait sur celle de la pièce. Avec un léger

sentiment d’angoisse, j’allais m’hydrater à la cuisine, quand je cru percevoir une présence dans mon

dos, et non, il n’y avait personne, mais lorsque je vis les rideaux bouger, comme secouée par une

force invisible, je pris peur, je devins blême, j’eus les mains moites, j’étais paralysée, je ne pouvais

pas bouger, quand je voulus courir au salon, mes jambes flageolèrent et m'abandonnèrent dans cet

endroit aux allures de cimetières. Oui, je l’avoue je m’affole souvent pour peu, mais cette fois, j’ai

bien raison d’être tourmenté par ce qui était probablement une présence douteuse dans ma cuisine.

Était-ce un cambrioleur ? ou Sophie qui voulait me taquiner ? ou une influence nocive du film ? Alors

je m'armais du peu de courage et me fis violence pour retourner au salon. Là, je trouvais Sophie

sagement assise de sorte que l’on ne pourrait la soupçonner de m’avoir joué un mauvais tour, je

m’assis auprès d’elle, oppressé, ne voulant lui raconter ma mésaventure de peur qu’elle ne se

moque de moi. Je ne désirais plus que l’achèvement de cette soirée. Les images du film défilaient

bien lentement à mon goût lorsque j’entendis un hurlement assourdissant provenant du poste de

télévision suivi d’un éclair, et nous voici plongées dans le noir : les lumières s'éteignirent.

- So...Sophie ? Où es-tu ? Que se passe-t-il ?

- Juste ici, ne t’inquiète pas, je crois que ce n’est qu’une panne de courant ! me répondit Sophie

Malgré sa réponse qui se voulait rassurante, ma conscience ne fut pas tranquille, un frisson me

parcouru l’échine quand je vis dans la noirceur de la pièce une ombre à l’étage qui, j’en étais

incertaine, m’hypnotisait, j’étais perdue dans la contemplation de ses prunelles singulières, quand je

sombrais dans les ténèbres.

Grand trou noir. Je me réveillais, mes paupières étaient lourdes,

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