Michel de Montaigne, Les essais

Victor Hugo est un des plus grands poètes et écrivain du XIXe siècle, c’est une figure emblématique du XIXe siècle pourrait-on dire qui appartient au courant littéraire du romantisme. Hernani est une pièce de théâtre écrite par Victor Hugo publiée et jouée pour la première fois en 1830.

C’est pièce appartient au genre du drame romantique.

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Victor Hugo est un poète et écrivain du XIXe siècle, qui appartient au courant littéraire du romantisme. Ruy Blas est une pièce de théâtre écrite par Victor Hugo publiée en Français première fois en 1838.

Ruy Blas est une scène écrite par Victor Hugo en 38 jours seulement.

C’est une pièce qui se situe dans un cadre espagnol et qui est marquée par les préoccupations politiques de l’auteur.

C’est un monologue qui cherche à faire réfléchir

Dans la scène 2 de l’acte 4 on voit un contraste entre la scène 1 et la scène 2 car dans la scène  précédente on pouvait dire que l’atmosphère était très feutrée.

Don césar dramatise son destin en le pimentant par des touches

Alors un être changeant par son identité en fait.

Dans cet extrait Don César veut se venger de don Salluste.

Acte1scene1  ////////  Le Mariage de Figaro est une pièce de théâtre qui appartient au genre littéraire de la comédie écrite par Pierre Augustin Caron de Beaumarchais au XVIIIe siècle qui est le siècle des lumières mais aussi un siècle de transformations économiques, sociales, politiques et a été publiée officiellement en 1784 après avoir été censurée. Dans ce texte Beaumarchais dénonce les privilèges de la noblesse.

Nous commencerons par présenter le lieu ainsi que les personnages, ensuite nous continuerons avec l’amour de Figaro et Suzanne et nous finirons par analyser l’intrigue.

Le texte laisse penser que la scène se joues le matin des noces rapidement précisé par Figaro qui dit « le matin des noces, à l’œil amoureux d’un époux !... » dans la chambre du Château qui appartient au compte Almaviva avec le moment ou figaro dit « Je regarde, ma petite Suzanne, si ce beau lit que Monseigneur nous donne aura bonne grâce ici. » et lorsque Suzanne réponds plus tard « M le comte Almaviva veut rentrer au château, mais non pas chez sa femme » , qui elle-même se trouve entre les 2 appartements de la comtesse et du comte.
Le fait que la chambre soit située entre les deux appartements reflète le fait qu’il y a une séparation amoureuse du comte et de la comtesse.

L’amour fusionnel de Figaro et Suzanne est le sujet principal de la scène, nous pouvons donc en déduire que c’est un badinage amoureux, ils emploient tous les deux des surnoms pour s’appeler d’une manière affective comme «ma charmante »,  « belle fille », « ma petite Suzanne » ,  « mon fils ». Dans la majorité les deux personnages se tutoient mais il arrive qu’ils se vouvoient pour mettre en avant le badinage courtois

L’intrigue est principalement basée sur le refus de Suzanne de la chambre. Le compte propose à Suzanne de lui faire cadeau d’une chambre, mais Suzanne n’en veut aucunement « Et moi, je n’en veux point. »

Le comte courtise Suzanne et  Suzanne le fait remarquer à Figaro : « M. le compte Almaviva veut rentrer au château, mais non pas chez sa femme ; c’est sur la tienne, entends-tu, qu’il a jeté ses vues. » Le comte sous entends qu’il à le droit de faire valoir son droit de cuissage qui est un droit qui consiste à posséder l’autorisation étant seigneur d’avoir une relation avec la femme d’un de ses seviteurs.

Acte 1 scene 8

Le Mariage de Figaro est une pièce de théâtre qui appartient au genre littéraire de la comédie écrite par Pierre Augustin Caron de Beaumarchais au XVIIIe siècle qui est le siècle des lumières mais aussi un siècle de transformations économiques, sociales, politiques et a été publiée officiellement en 1784 après avoir été censurée. Dans ce texte Beaumarchais dénonce les privilèges de la noblesse.

Beaumarchais est un grand dramaturge du XVIIIè siècle. Sa célèbre œuvre qu’est le Mariage de Figaro est le centre d’une trilogie. Les péripéties que rencontrent Figaro et Suzanne le jour de leur mariage. Le comte Almaviva essaie de séduire Suzanne la future épouse pour avoir une relation avec elle. C’est tout d’abord une scène de séduction mais aussi une partie comique

Le comte pense qu’il peut avoir facilement Suzanne étant donné leur différence de place dans la société,  lui est un grand seigneur et elle un simple femme de chambre. Une forme de soumission et la supériorité du comte est présente chez Suzanne étant donné qu’elle le vouvoie et lui, la tutoie.

On peut remarquer une quantité de didascalies abondantes, les didascalies rythmes la scène, elles précisent de nombreux déplacements des personnages, des verbes de mouvements, elles décrivent l’intonation des phrases, elles servent à placer le contexte de la scène. Suzanne s’exprime aussi en utilisant beaucoup d’interjections cille « ah ! » ou des phrases courtes « je n’écoute rien »

Suzanne essaye de résonner le comte, elle essaye de détourner le projet du comte qu’est d’avoir une relation avec elle, elle lui fait remarquer qu’il a une femme et qu’il a de l’amour envers elle et avoir une relation avec Suzanne voudrait dire qu’il ne tiendrait pas son engagement qui est d’abolir le droit du seigneur sur les jeunes filles de son domaine.

Suzanne est donc dans une situation délicate, elle se montre courageuse mais aussi soucieuse car elle protège le jeune page, les didascalies précisent qu’elle est effrayée et en colère mais elle rappelle bien au compte qu’il a aboli par amour pour sa femme le droit du seigneur.

On remarque une partie de ce texte qui est comique due au fait que le jour de son mariage, Suzanne se retrouve avec deux hommes dans sa chambre qui sont, M. comte Almaviva, et Chérubin ainsi que Bazile qui arrivera plus tard.

Derrière Almaviva, enfaite toute la noblesse est critiquée. Le mariage de Figaro fait passer sous la forme du théâtre la critique de la société.

Acte 2 scène 13-15

Le Mariage de Figaro est une pièce de théâtre qui appartient au genre littéraire de la comédie écrite par Pierre Augustin Caron de Beaumarchais au XVIIIe siècle qui est le siècle des lumières mais aussi un siècle de transformations économiques, sociales, politiques et a été publiée officiellement en 1784 après avoir été censurée. Dans ce texte Beaumarchais dénonce les privilèges de la noblesse.

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