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Littérature française du XVII siècle

Fiche : Littérature française du XVII siècle. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  18 Mai 2019  •  Fiche  •  4 622 Mots (19 Pages)  •  458 Vues

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La littérature française du XVIIe siècle est lié aux problèmes politiques, intellectuelles et artistiques sont entre 1598 – la promulgation de l’Edit de Nantes, qui conclut Henri IV les guerres de religion du XVIe siècle – et 1715, lorsque la mort de Louis XIV, le Roi Soleil qui imposées monarchie absolue dans le royaume.

Un des faits qui ont conduit dans le domaine culturel est la forte consolidation du pouvoir royal qui est à la fin du XVIIe siècle, la Cour et le roi à Versailles, le maître du bon goût, même si la «ville» et la bourgeoisie a commencé à jouer un rôle dans les arts et la littérature avec une plus large diffusion des œuvres et le développement de la lecture.

Le XVIIe siècle a été une grande langue et littérature françaises, en particulier les oeuvres de théâtre classique avec les comédies de Molière et les tragédies de Corneille et de Racine.Mais si les classiques nécessaires dans la seconde moitié du siècle sous le règne de Louis XIV, les chefs-d’œuvre qu’il a produit ne doit pas occulter d’autres types de textes tels que les moralistes et les fabuleuses (La Fontaine) et le genre de roman qui a inventé au cours de cette période avec les romans précieux, histoires, bandes dessinées et des premiers romans psychologiques comme La Princesse de Clèves, ou de la poésie baroque de l’époque Louis XIII, restauré à l’honneur le passé Théophile Gautier grotesques.

Pour le XVIIIe siècle

A la fin du siècle, la littérature perd de son lustre. La querelle entre les Anciens et des Modernes engagée. Ces questions sont abordées à la fin du XVIIe siècle et début du XVIIIe siècle traitant de la notion de progrès dans les arts. Les aînés dont La Fontaine, Nicolas Boileau, La Bruyère, prétendent que tout est découvert, tout est inventé, donc il n’ya pas de progrès dans Modernes art.The de leur côté et surtout Charles Perrault (1628-1703), auteur des Contes de la Mère Oie (1697), affirment que beaucoup reste encore à identifier et à améliorer.

Aussi prudemment, mais fermement, une littérature d’idées apparaît avec Bernard de Fontenelle et Bayle qui préfigurent les philosophes des Lumières et de sa propriété intellectuelle en question.(Voir la littérature française du XVIIIe siècle).

Contexte

Pour la France, l’histoire du XVIIe siècle comme une unité peut être définie par deux dates: 1598 et l’Edit de Nantes, qui conclut Henri IV les guerres de religion du XVIe siècle et 1715, la date de la mort de Louis XIV, qui a imposé au cours de sa longue règne de la monarchie absolue dans le royaume où il a augmenté de nombreuses conquêtes. Entre ces deux dates le pouvoir royal est renforcé par le travail de Louis XIII et Richelieu soutenu par la régence d’Anne d’Autriche par Mazarin.

Le pouvoir royal est impliqué dans les arts à travers son soutien aux artistes et à établir ce qu’on appelle le «classicisme français» et la création de l’Académie française, qui établit une norme pour le vocabulaire, de syntaxe ou poétiques, comme indiqué en 1637 la querelle du Cid . Cette préoccupation pour la codification de la langue accueille également des expositions et des cercles littéraires: par exemple, la Grammaire de Port-Royal, développé par les Solitaires de Port-Royal des Champs DES, qui établit pour la première fois les règles de grammaire et est à la base, jusqu’à aujourd’hui, dans la grammaire française.Si le XVIe siècle avait servi à enrichir la langue française pour en faire rivaliser avec les autres langues anciennes et si les auteurs se féliciterait de toute invention, le XVIIe siècle est responsable de la propreté et à établir des règles comme avec Vaugelas et que à la fin de du XVIIe siècle que le premier dictionnaire de la langue française avec Richelet (en 1680), Furetière (à titre posthume en 1690) et plus tard l’Académie française (1698).

Dans le même temps, les changements idéal social avec le type d’idées honnêtes, instruits, sociable et ouvert, et le monde continue d’évoluer sur le cartésianisme que les changements des processus intellectuels en donnant une place prépondérante à la Raison (Cogito ergo sum) qui aura une incidence sur l’idéal classique par son souci de l’ordre et la discipline. La philosophie de René Descartes (1596-1650), en érigeant le doute comme principe de son système métaphysique, mènera à la fin du siècle, sur le principe des Lumières avec le défi des innovateurs tels que Bayle et Fontenelle ainsi s’affirmer en Europe, les approches scientifiques avec Kepler, Harvey, Newton et Blaise Pascal.Libertinisme intellectuelle, bien que fortement contestée par l’Eglise, ne pèse que peu à peu les esprits dans le sillage de Pierre Gassendi (1592-1655), le matérialisme sensualiste, qui ouvre les lacunes encore timide à l’athéisme.

En effet les considérations et les pratiques religieuses aussi marquer le siècle avec une forte de révocation de l’Edit de Nantes par Louis XIV en 1685, qui s’est terminée la tolérance vis-à-vis des protestants, et le poids des jésuites et jansénistes. En effet, les jésuites, en plus de leur influence politique, critiquée par les tenants du gallicanisme, de contribuer à la formation de la pensée du siècle et le développement du style classique. Écoles jésuites fournir deux éléments essentiels dans la formation du classicisme: le goût pour les anciens combattants humaniste reconnu comme un modèle de beauté et de sagesse, et la psychologie, qui cherche à connaître l’homme, pour parler de lui, la mesure de la force de sa passion et sa volonté . Jansénisme, à son tour exerce une influence indirecte plutôt que par leurs idéaux et de l’austérité morale liée à une théologie de la prédestination.

Tous ces facteurs pèsent dans le domaine de l’esthétique et de l’importance relative des deux courants qui dominent le siècle:Tout d’abord, le mouvement baroque, plus long et le panoramique et le classicisme, spécifiquement française et plus courtes, liées au ‘Siècle de Louis XIV». Si l’esthétique baroque de l’incertitude, le flou et surabondance, le classique est faite de modération, l’ordre et ambitions morales: c’est ce courant qui prévalent en France dans la seconde moitié du siècle, avec l’intervention du monarque absolu, centralisateur qui encouragera la fondation de nombreuses académies de garantir les principes et la pratique de la pensée et l’art acceptée (l’Académie française en 1635, l’Académie Royale de Peinture et de Sculpture en 1665, l’Académie des Sciences en 1666). La Cour et le roi à Versailles, sont à la fin du XVIIe

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