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Corpus Le rouge et le noir, Pierre et Jean ,Lincendie

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Par   •  3 Janvier 2019  •  Cours  •  680 Mots (3 Pages)  •  461 Vues

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Ce corpus romanesque est composé d’un extrait du livre Le Rouge et le Noir de Stendhal paru en 1830, un extrait de Pierre et Jean de Guy de Maupassant paru en 1887 et un extrait de L’Incendie de Antoine Choplin et Hubert Mingarrelli paru en 2015. Nous allons étudier ces textes afin de pouvoir répondre a la question : comment ces extrait de roman expriment-ils la difficulté de l’aveu ?

Afin de répondre a cet question nous analyseront dans un premier temps la pression exercé par l’entourage du personnages puis dans un second temps nous nous pencherons sur l’aveu.

Pour commencer nous allons analyser la pression exercé par l’entourage du personnages qui se fait malgré les différences de lien sociaux dans Le Rouge et le Noir il ne reste que le lien paternel « Tous les lien sociaux sont rompus entre nous, il ne reste plus que ceux de la nature »(l.2) alors que dans Pierre et Jean on voit qu’ils sont très fort par les nombreuse répétitions de « maman » et de « ma chère maman » ou bien dans L’incendie où les personnages sont amis. Malgré la différence de liens sociaux le personnages se sent obliger de dire la vérité comme on le voit dans l’extrait écrit par Stendhal « je n’ai pu différer plus longtemps l’aveu que je vous dois »(l.5) et dans l’incendie « Mais l’histoire doit être achevé, je dois te le dire, c’est bien plus fort que moi »(l.10) ainsi on voit que le personnage se sent obligé de faire ses aveux pour le mal qui la causé comme on le voit dans l’extrait de Stendhal « Je songe a la peine que je vous cause »(l.4) , ou bien dans l’extrait écrit par Guy de Maupassant « la figure enfoui dans l’oreiller […] pour ne plus entendre » ainsi on voit que le personnage éprouve un mal être du au mal qu’il a fait a son entourage.

Nous pouvons donc comprendre que le le personnage malgré les différences de lien sociaux se sent obligé de dire la vérité mais aussi ressent un mal être quand il y repense.

Nous allons désormais nous pencher sur la manière dont est fait l’aveu ,nous voyons que le personnage ne cesse de faire des excuses on le voit dans Le Rouge et le Noir dons la majeur partie du texte son des excuse comme celle si « S’il y a révolution , je suis sure pour lui d’un premier rôle. Pourriez-vous en dire autant d’aucun de ceux qui ont demandé ma main ? » ,on retrouve des excuses aussi dans L’incendie « Je ne voulais rien faire d’autre qu’éloigner l’arme, je te demande de me croire »

ainsi on voit que le personnage ressent le besoin de se justifier et de se donné raison. Lors de l’aveu le personnage ne ait que des phrase courtes et simple ; dans l’incendie « Alors j’ai tiré sur lui. j’ai tué Branimir. C’est allé si vite.Je l’ai tué, voila »(l.22) et dans Pierre et Jean « Non , c’est vrai ,mon enfant »(l.30) ainsi on voit que le personnage ressent un mal-être et a du mal a s’exprimait. Ce mal-être est aussi visible par de nombreux signe fait par le corps dans l’écrit de Stendhal « Mes yeux se remplissent de larmes »(l.3) ,dans celui de Guy de Maupassant « ses deux mains crépis »(l.4) ou bien « ce corps raidi,de ses bras crispés »(l.7) on voit aussi des signe physique dans l’extrait de L’incendie « je ne peux pas empêcher mes mains de trembler »(l.11) ainsi on voit que le personnage souffre.

Nous

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