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Corpus Hugo Adely Barbery Gary

Étude de cas : Corpus Hugo Adely Barbery Gary. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  30 Mars 2016  •  Étude de cas  •  642 Mots (3 Pages)  •  715 Vues

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CORPUS

Le corpus est constituée de 4 extraits de roman. Le premier s'agit d'un extrait des Misérables de Victor Hugo en 1862. Le second est l'incipit de l’œuvre de Romain Gary intitulée La vie devant soi écris en 1975. Le troisième est un extrait de Mon amour écris en 2005 par Emmanuel Adely. Et le dernier est un extrait du chapitre 2 de L'élégance du hérisson de Muriel Barbery en 2006. Ces 4 textes de situe du XIXeme siècle a nos jours. Ces quatre auteurs évoques des personnages féminin de milieu misérables. On peut alors se demander que nous apprennent les auteurs sur ces femme du peuple ? Et quels registres utilisent il pour mettre en évidence le regard qu'ils portent sur elles ?

Les quatre personnages mis en scène mène une vie ordinaire de femme du peuple dans une extrême misère. En effet, Fantine dans le texte A, Madame Rosa dans le texte B et Renée dans le texte D débutent et finissent leurs journée à travailler, toute leurs vie ne tourne qu'auteur de ça pour essayer de gagner un peu d'argent. Fantine se démène à travailler « 17h par jours » pour y gagner seulement « 9 sous » ne gagnant pas assez d'argent elle finis par ses faire « femme publique ». Quand à Madame Rosa gardait « six ou sept » enfant « tantôt même plus » pour obtenir plusieurs « mandat » à la fin du mois. Renée elle se trouvait « concierge » dans un « bel hotel » au « 7 rue de Grenelle ».

Roberta dans le texte C et Renée sont des femmes du peuple ne pouvant s'integret dans le grand monde. Roberta se trouve dans un grand supermarché fasse a des « conserves bien rangé » devant un « grand mur solide » ne se sent pas à sa place, elle se parle a elle même et rétorque que c'est « un monde qui est pas pour toi » elle se trouve à sa place seulement dans le rayon des « vêtements qui ont un accroc » c'est la ou « je me sent bien ». Roberta se caractérisant de  pauvre » vit dans un monde « de grand luxe » avec des « jardins et des cours intérieur » avec « un gros matou paresseux » se monde se trouvant différent du leurs ou ils ne font « guère d’effort pour s'intégrer ».

Ses femmes menant une vie misérable qui n'ont même pas assez d'argent pour se soigner. Fantine « toussait » et avait « une douleurs fixe dans l'épaule » mais jamais elle « ne se plaignait ». Quand à Madame Rosa sa « santé n'était pas bonne » qui pénait a monter les escaliers avec « tous ses kilos qu'elle portait sur elle et seulement ses deux jambes » mais pour autant comme Fantine « ne se plaignait pas ». A cause de ses durs épreuves de la vie Fantine « pleurait toute les nuits » et Roberta avait « envie de pleurer tout le temps ».

En plus de pauvreté les auteurs les caractérise seulement pas un vocabulaire péjorative. Hugo écrit le portrait de Fantine comme une femme qui « perdit la coquetterie » vêtu de « loque » et de corset « vieux et usé » qui pouvait « se déchirer a tous moment » elle n'vait même plus d'allure. Muriel Barbarry décris Renée comme une femme « veuve » « petite » « laide » ou encore « grassouillette » qui avait « une halène de mamouth » et enfin Adely décris son personnage de « sale » « froissé »

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