Baudelaire, Les Fleurs du Mal, Lecture linéaire n°11 « Les Petites vieilles » v1 à 20

Séance 3 : Baudelaire, Les Fleurs du Mal, Lecture linéaire n°11 « Les Petites vieilles » v1 à 20 

► D’après ce tableau, la vanité en peinture c’est la mise en avant d’éléments qui vont faire que cela va contribuer à la symbolique de la vie ou même de la mort. Dans un premier temps, nous avons les autoportraits et notamment celui que David Bailly maintient. On peut y voir un homme et on peut en déduire que c’est son autoportrait. Cela signifierait que le temps passe. Ensuite on peut y voir une tête de mort qui ne pourrait que représenter la mort tout comme les le portrait du vieux monsieur derrière le verre. La statuette derrière la tête de mort fait aussi écho au temps qui passe et à la mort car on voit une vieille femme vieillir.

►Sur ce tableau, on peut voir deux vieilles femmes. L’un d’entre elle porte une robe blanche et regarde quelque chose dans ses mains et l’autre femme porte un vêtement sombre. Derrière ces deux vieilles femmes, on peut apercevoir Chrnos qui n’est autre que le Dieu du temps, on peut donc en déduire qu’il vient les chercher pour les conduire vers la mort.

Introduction de « Les Petites Vieilles » :

Les Petites Vieilles est un poème de Charles Baudelaire publié dans la section Tableaux parisiens du recueil Les Fleurs du Mal. Il a dédié ce poème à Victor Hugo. Dans celui-ci Baudelaire fait le récit de sa rencontre avec de vieilles femmes croisées dans la rue, qui sont oubliées par les autres. Il dresse un portrait ridicule de la vieillesse. De ce fait , nous nous demanderons comment l’auteur fait-il d’un corps laid, en un objet de beauté ? Dans un premier temps , nous verrons sa rencontre fantastiques avec celles-ci, ensuite nous verrons ces êtres « comiques et laids » sublimés par la poésie et enfin, nous finirons cette analyse avec des personnages qui sont une source de méditation su le temps qui passe.

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