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Devoir culture générale devoir 3

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Par   •  9 Mai 2019  •  Dissertation  •  3 955 Mots (16 Pages)  •  905 Vues

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     Le premier document est un article de presse informatif de Jacky Durand et de Catherine Mallaval, paru le 06 avril 2016 dans le quotidien Libération. A l'occasion de l'ouverture du salon des allergiques et autres intolérants qui s'ouvre à Paris le vendredi 8 avril 2016 ,  les auteurs nous donnent l'avis de plusieurs spécialistes sur un  mode d'alimentation en expansion, celui des régimes «sans».

      Tout d'abord les auteurs nous donne un explication de ce que c'est le régime «sans». C'est un mode d'alimentation qui exclut un aliment ou une substance alimentaire  comme le lactose ou encore le gluten.  L'ouverture de ce salon met en évidence l'expansion de ce régime à la mode , qui n'a pas forcément de base scientifique comme les allergies. Effectivement une des organisatrice du salon précise que ceux qui y viennent s'interroge sur leur alimentation tant au point de vu de la santé que de la morale. Cependant ce phénomène pourrait caché une réalité plus sombre.

       Ainsi, même si le nombre des allergies en Europe a doublé en dix ans d'autres facteurs peuvent expliquer cette engouement pour ce régime. D'abord c'est un marché qui rapporte beaucoup d'argent pour les industriels puisque leur vente du sans gluten ont explosé, ce qui en fait un marché très prometteur. De plus c'est devenu un phénomène de mode , il est plus  élégant de ne plus mangé de viande que d'en mangé. Ce régime pose la question de ces conséquences sur le mangé ensemble. Trois spécialiste de divers horizons répondent à cette question.

       Selon le philosophe Olivier Assouly, il ne faut pas se limiter à penser que le régime du «sans» est un phénomène de mode, c'est plus que ça. D'abord cela exprime une méfiance vise à vis des industriels de l'alimentation , mais aussi une rationalisation de la nourriture, manger n'est plus un plaisir mais tout est au contraire  calculé. Cette vision dangereuse finira tôt ou tard par tourner à l'avantage des industriels qui en prendront possession et tout cela au détriment des cultivateurs et artisans honnête qui ne font pas leurs poids. De même le philosophe soulève une contradiction dans ce régime, ainsi au lieu d'arrêter de consommer l'aliment qui pose problème, on va juste lui enlever un ingrédient qui est souvent l'ingrédient principal comme dans le pain où on va supprimer la farine de blé.

         Ensuite pour le médecin spécialiste en endocrinologie , Jean-Michel Lecerf, les régimes « sans » n'ont aucun fondement , ils ont fait leur apparition depuis le début du XX ème siècle avec des personnes non professionnelle qui à chaque époque incrimine un nouvel aliment qui serait la cause de tous les problèmes.  Cependant même si  à l'heure d'aujourd'hui beaucoup d'aliment sont transformé , elle n'a jamais été aussi sûr qu'à notre époque  donc la dramatisation faites est injustifiée. Selon lui le problème viendrait de la pauvreté  qui à pour conséquence des problème de santé et d'obésité . Puisque en dehors de sa il n'existe pas plus de gens allergiques qu'avant mais on voit l'apparition de nouveaux allergies à cause de l'introduction de nouveaux aliments et aussi sûrement à cause de l'abus d’hygiène. . Si l'on continue à rejeté des aliments comme on la fait avec le lait , au final il n'y aura plus de convivialité lors des repas.

          Pour finir ,Bruno Verjus, Chef de table à Paris , est du même avis que le médecin Jean-Michel Lecerf, pour lui c'est un problème de riche. Les riches peuvent se permettre d'être allergique à tel ou tel chose et il y' a les pauvres, donc il fait une distinction de classe social. Pour lui les allergies existent mais aujourd'hui elles rapportent tellement d'argent qu'il existe des analyses auxquelles on peut faire dire tout ce qu'on veut.  Par ailleurs il nous livre une anecdote sur une cliente qui se disait allergique à beaucoup de chose   or que ce n'est juste qu'une excuse pour pouvoir maintenir sa ligne.

1.2.      Le second document est un article de presse informatif d'un auteur non précisé,  paru le 26 janvier 2016 dans le quotidien Sud Ouest.  L'auteur nous informe que même s'il existe aujourd'hui des personnes intolérante au gluten , beaucoup de ceux qui optent pour ce régime n'y sont pas forcément intolérant, alors que de nombreuses analyses montrent que les produits sans gluten sont moins bénéfiques et s'avèrent au final plus nocif pour la santé.

            L'auteur nous parle d'abord des 1% de la population qui pour une question de santé ne peuvent pas consommer de gluten au risque de compromettre leur santé contrairement à ceux qui adoptent ce régime  par simple effet de mode et qui cherche une alimentation plus saine. Ceux là sont les plus nombreux consommateurs du non gluten. Suite à cet engouement les industrielles de l'agro-alimentaire ce sont vite emparé ce nouveau marché très lucratif en commercialisant de très nombreux produits sans gluten. Toutefois en y regardant de plus près ces aliments sans gluten ont une qualité moindre par rapport aux traditionnels

          Pour commencer on relève que la suppression de l'ingrédient principal entraîne des problèmes de goût et de texture qui vont être comblé par l'ajout de nombreux additifs non naturels. Ensuite du point de vu nutritionnelle les produits sans gluten ne contiennent pas beaucoup de protéine ce qui pose problème puisque généralement ceux qui ne mangent pas de gluten sont les mêmes qui ne mangent pas de viandes donc à terme il pourrait y avoir des carences notamment en protéines.

           Pour finir les nombreux additifs présents dans ces produits  pour remplacer le gluten , contiennent du sucre ce qui à tendance à augmenter l'index glycémique et donc d'avoir constamment faim ce qui pousse à toujours manger plus  alors que le régime sans gluten fait des promesses d'amincissement et d'une meilleure alimentation, c'est le contraire qui se produit. . De plus lorsque l'on supprime le gluten de son alimentation , dès qu'on en reprendra même en petite quantité , il sera stocké dans les graisses et provoquera alors une prise de poids.

1.3   Le troisième document est un article de presse informatif de Pascale Santi, paru le 22 mars 2012 dans le quotidien Le Monde. La journaliste met en lumière une maladie peu connu du grand public, l'orthorexie,qui consiste à vouloir manger sainement jusqu'à à en devenir obsédé et qui pourrait avoir pour  conséquence l'isolement social.

        Depuis la fin des années 90 , une nouvelle maladie à fait son apparition, c'est l'orthorexie qui est un trouble alimentaire qui  consiste  à être obsédé par la qualité de sa nourriture. Ce trouble se manifeste par le fait que la personne peut passer plusieurs heures à penser à la qualité de son alimentation qui se doit d'être parfaitement sain. La personne pense que en adoptant une alimentation parfaitement saine elle sera préservé de la maladie et voir même de la mort. Les aliments sont donc classés en deux catégories : ceux qui soignent et ceux qui tuent. En partant de ce constat les orthorexies supprime de leur alimentation tout ingrédient jugés toxiques ,  de ce fait ils se méfient de l'industrie agro-alimentaire , et deviennent au final des végétaliens et tout ce qui peut s'en apparenté. .

         D'autre part le nombre de personne atteint par ce trouble est difficilement quantifiable et surtout délimitable. Peu d'étude ce sont consacré à ce phénomène puisque c'est un trouble récent , même si les chiffres avancés jusqu'ici ont  démontré que ce  trouble n'est pas minoritaire. Cependant on se pose la question de la délimitation de cette pathologie , où commence cette pathologie sachant que la préoccupation de tous est de manger sainement.  

          Le principal danger de ce trouble étant l'isolement social. En effet l'individu peut se couper de la société en ne mangeant plus avec les autres et fuir la cuisine qui devient un temple à fuir. Selon le médecin spécialiste de la nutrition Jean-Michel Lecerf, 10% des gens ont peur aujourd'hui de ce qu'ils mangent au point de finir par devenir asociale et de  mettre en péril un élément important de la culture française , qui est la convivialité.  

1.4.  Le quatrième document est un article de presse informatif de Sarah Finger,  paru le 16 juillet 2015 dans le quotidien Libération. La journaliste se penche sur un nouveau régime venu d'Angleterre, le véganisme, qui est un régime qui consiste à supprimer de son alimentation tout aliment ou produit d'origine animal, ce qui est assez compliquer pour eux en France.  

        L'article est accompagné d'une  photographie dans  laquelle on voit de nombreux fruits et légumes étalés sur une grande table qui conviendrait à un végétarien  et même à un végétalien. Le titre «Menu de lapin» vient de la remarque d'un végan qui dénonce le fait que lorsqu'il commande au restaurant un menu sans produit animal on lui donne des légumes sans aucune préparation ni assaisonnement comme si il était un lapin.

        Né en Angleterre dans les années 50, le véganisme se définit comme le rejet de tout produit d'origine animal que cela soit pour l'alimentation ou bien pour les vêtements ou encore les spectacle de cirque. Ils choisissent ce mode de vie pour des questions d’éthique, ils s'oppose à toute forme d'exploitation des animaux  orchestré par l'Homme. Ils appartiennent à tous les milieux sociaux, à toutes les classes d'âge et s'imposent de nombreux sacrifices dans une société qui ne leur accorde aucune considération puisqu'on peut leur proposer du thon ou du poulet pour remplacer la viande. Cela a pour conséquence qu'ils sont réduits à toujours scruter les étiquettes des produits car en France les produits alimentaires végans sont encore peu commercialisé.

            Une des personnes interviewer signale le fait que certains adeptes du véganisme finisse par s'isoler socialement, lui pour ne pas en arriver là propose à ses invités des produits qui imite la viande.

           Mise à part les restrictions alimentaire, les végans ont aussi des difficultés pour avoir des produits d'hygiène non testé sur les animaux ou encore des vêtements non fait à partir de matière animal. Effectivement sachant que certains produits d'hygiène tel que les produits ménager sont testé sur des animaux , ils ont dans ce cas là recours à des méthodes plus traditionnelles comme le bicarbonate ou encore le savon noir. Pour les vêtements c'est beaucoup plus compliqué car ils doivent faire attention à ce que chaque élément d'un vêtement ou d'une chaussure ne soit pas issu d'un animal.  D'ailleurs une des adeptes nous souligne la difficulté de trouver des chaussures sans cuir et même après en avoir trouver elle a découvert  que la colle utilisé pour maintenir les lanières de ses chaussures synthétiques est une colle à base de poisson, donc obtenue par l'exploitation d'un animal.

          En outre la journaliste nous explique que les adeptes de ce régime ce sont tous mis au véganisme après avoir visionné des reportages sur  la condition animal dans les élevages ou dans les abattoirs, des conditions désastreuses ce qui a provoquer un déclic et une soumission à ce régime.

          Néanmoins le véganisme est loin d'être approuvé par tout le monde. Un des interviewés nous fait part de la réaction de ses proches qui le jugent et ignore la souffrance animale. Une autre  participante est quant à elle plus optimiste pour le futur de ce mouvement, grâce à la médiatisation des conditions d'élevage ou d'abattage des animaux , ainsi que l'engagement de certaines célébrités , le regard de la société change  considérablement. Cette médiatisation fait que des jeunes s'engage sur cette voie mais qui malheureusement se décourage assez vite à cause de la lente évolution des choses, ils voudraient que tout ce fasse vite mais tout ceci fini en désillusion pour eux .

2.

          Les préoccupations du siècle dernier se limitait à chercher à manger pour survivre , aujourd'hui grâce à l'industrialisation du secteur agro-alimentaire , les gens peuvent manger à leur faim à des prix très attractif . Ce changement de nos sociétés s'accompagne par des changements de comportement alimentaire . Désormais les préoccupations n’étant plus la famine , les gens ont peur de manger et supprime donc des aliments de leurs repas. Quelles sont les motivations des adeptes de ces régimes exclusifs et qu'est-ce que dissimule un tel engouement ? Nous allons d'abord énuméré les motivations avancées par les adeptes des régimes « sans » puis nous nous attarderons à analyser ce que cache ces régimes.

      Quelles sont motivations invoquées par les partisans de ces régimes « sans » ?

       Il y 'a tout d'abord ceux qui le font par nécessité , ce sont les allergiques et les malades. Effectivement certaines personnes pour des raisons de santé ne peuvent pas manger certains aliments comme les fruits à coques ou encore les fruits de mer. S'ils ingèrent certains aliments ou ne serait-ce qu'une quantité infime de ces aliments, ils ont de violentes réactions allant de l'urticaire à la mort. Ces personnes sont suivis par des spécialistes qui sont des allergologues. De même , certaines personnes sont en incapacité de digérer le gluten ce qui provoque une irritation de l'intestin grêle qui va empêcher l'absorption de d'autres aliments par ce dernier donc à terme il y' a risque de malnutrition. Cette maladie est reconnu par le corps médical qui dés tout petit ce manifeste par des retards de croissance du bébé. Des analyses plus poussées par le pédiatre permette de diagnostiquer la maladie. Ce qui fait que ces personnes doivent totalement exclure le gluten de leurs alimentations.

       Puis nous avons ceux qui le font par conviction, ce sont des motivations morales qui les poussent à adopter un régime. C'est le cas des végans qui ne consomment aucun produit d'origine animal , cela va de l'alimentation à la maroquinerie en passant par les divertissements où les animaux sont exploités comme les cirques ou les zoos. Leur déclic est provoqué par la médiatisation de la condition animal dans les élevages où ils sont enfermés et entassés dans des cages ou encore lors des abattages des animaux où la dignité de l'animal n'est pas respecté puisqu'on y voit des animaux qui souffre avant de mourir.Le but de ne plus consommer les produits d'origine animal est de faire cesser leurs exploitation. On peut ainsi dire que le véganisme recherche le respect de la dignité de l'animal en suivant ce régime.

         Cependant on voit que les adeptes de ces régimes n'ont pas tous des motivations éthique. Ainsi cela relèverait aussi de la peur de manger , on voit des personnes qui décident de supprimer certaines substances de leurs alimentations. Ils se disent intolérants ,qui est une catégorie non précise et vaste. Dans les articles de Jacky Durand et de Catherine Mallaval ,on voit que cette catégorie est beaucoup plus nombreuse que celles des malades reconnu par le milieu hospitalier . La première motivation de ces individus est liée à la santé et au bien-être. Pour certains il va s'agir de mieux se sentir mais pour d'autres de se protéger de certaines maladies voir de la mort comme nous l'évoque Pascale Santi qui nous informe de l'arrivé d'une maladie encore peu connu qu'est l'orthorexie qui se définit comme une obsession par l'individu de manger sainement, il peut passer des heures à penser à la qualité de sa nourriture.

       Également la surmédiatisation de nombreux scandales alimentaires notamment celle de la viande de cheval ont instauré un sentiment de méfiance des consommateurs vis à vis des industriel. Nous pouvons noter que cette méfiance ne date pas d'aujourd'hui comme nous le fait savoir le médecin Jean-Michel Lecerf dans un article publié dans le quotidien Libération, cette peur à commencé depuis le milieu du XX ème siècle avec d'abord le gras ensuite le sucre puis le sel ainsi de suite jusqu'à notre époque. Ce sont des informations largement relayé par les médias qui introduit par la même occasion dans l'esprit du consommateur l'idée que l'industrie agro-alimentaire cherche à nous empoisonner. Au final le consommateur fini par supprimer un aliment ou une substance d'un aliment en pensant bien faire pour sa santé . Même si il faut le rappeler qu'il existe des substances alimentaires qui peuvent être nocif comme les additifs dont certains restent encore controversés. Malgré tout cela comme nous le rappel le médecin ,  le secteur de l'agro-alimentaire n'a jamais été aussi sûr qu'aujourd'hui avec les nombreux contrôle fait du début de la chaîne de production à sa commercialisation. Et l’industrie n'aurait aucune raison de nous empoisonné car si ils nous tuent ils n'auront plus de clients pour augmenter leur profits. En conséquence il y' aurait moins de risque d'intoxication alimentaire qu'on pourrait nous faire croire.

      Au de-là de ces motifs énumérés par les adeptes des régimes « sans » , n'y aurait-il pas des motifs moins louables derrières tout cela ?

       En premier lieu on peut voir que c'est un effet de mode. Les régimes comme le véganisme est un phénomène né en Angleterre au milieu du siècle dernier ,ce n'est que très récemment qu'il a fait son apparition dans l'hexagone. Mis en lumière par les stars comme Jennifer Aniston qui affirme ne plus manger de viande mais que des petits de bébé ou encore Mike Tyson qui est un fervent adepte du véganisme. Ce que ces personnalités ne nous disent pas c'est qu'ils sont suivi par des spécialistes qui veille sur leur état de santé car ils en ont les moyens.

       Aussi la multiplication des blogueuses et de livre comme celui de Gwineth Paltrow qui donnent des conseils sans être spécialistes de la nutrition, mais ce font passer comme telle , font la promotion de ces régimes. Elles le font sûrement car cela se vend mieux que des recettes de cuisine traditionnelle. Et surtout comme le démontre le chef Bruno Verjus dans l'article de Jacky Durand et Catherine Mallaval  c'est plus glamour de dire qu'on mange du tofu que de la viande de bœuf. En conséquence c'est plus un suivi de la tendance qu'un réel problème de santé , on ne compte plus les unes de magazines qui font la promotion de ces régimes « sans ».

       Par ailleurs on observe que dans nos sociétés les gens ressentent de plus en plus le besoin d'appartenir à une communauté, que cela soit une communauté religieuse ou une communauté linguistique. C'est dans ce contexte qu'on assiste à la naissance en France de la communauté végane , sans gluten , raw (personne qui ne mange que du cru) ou bien végétarien. Les végans sont les plus durs parmi tous ces régimes « sans ».Ils pourraient au lieu de se soumettre à de nombreux sacrifices alimentaire ou autres, lutter pour améliorer les conditions d'élevages ou d'abattages des animaux . Le fait de rejeter l'alimentation des animaux pourrait à terme mener à leurs disparitions car ils n'auraient plus personnes pour s'occuper d'eux , leur donner  à manger ou encore aider les animaux à mettre bas puisque peu d'agriculteur garderont leurs bétail sans recevoir de revenu en échange qui leur permettrait de vivre. Également il en serait pareil pour certains animaux qui sont dans les zoos car ce sont des espèces en voie de disparition que les zoos essais de préserver un maximum et leur permettre de se reproduire.  

        La plus grande contradiction dans ce régime c'est qu'ils essaient d'imiter au maximum les aliments traditionnels. D'ailleurs c'est ce que le philosophe Olivier Assouly interrogé par les journalistes Jacky Durand et Catherine Mallaval nous explique , d' après lui tous ces gens qui condamnent tous ces aliments que cela soit pour la viande ou pour le lait ne cesse de vouloir imiter ces aliments au lieu d'y renoncer totalement puisque selon eux ils sont sans intérêt nutritionnel et facilement remplaçable. Cette imitation sans cesse nous démontre peut-être le poids de ce sacrifice pour les adeptes de ce régime.

      Pour finir on découvre des motivations moins honorable des industriels qui ce sont mis sur le créneau du sans gluten , non testé sur les animaux ou encore 100% végan beaucoup plus rentable que les aliments classiques. Car d'après l'article « les produits « sans gluten » ne sont pas meilleurs pour la santé » du  quotidien Sud-Ouest du 26 janvier 2016 ,par exemple les produits sans gluten valent jusqu'à quatre fois plus cher que les produits avec  donc une très bonne rentabilité pour les industrielles or il est prouvé que ces produits ne sont pas forcément meilleur pour la santé  puisqu'ils contiennent beaucoup d'additifs qui peuvent être controversés. De même qu'on peut le voir sur les produits censés se substituer au lait comme le lait d'avoine ou le lait d'amande, produits qui n'ont rien d'un lait puisque le lait ne peut être produit que par les glandes mammaires d'un mammifère femelle, mais qui sont composé à 90% d'eau .. Les agriculteurs aussi s'y sont mis sentant les immenses profits qu'ils peuvent faire, cultive des hectares de soja utilisés pour par exemple  imiter les escalopes panés entre autre. Le soja a pris aujourd'hui une telle valeur qu 'elle ce négocie au même prix que la viande rouge.

           Les adeptes de ces régimes qui excluent certains aliments sont soit de vraies malades qui ont une pathologie reconnu par la médecine qui dans ce cas la en consommant ces produits peuvent risquer leur vie , ou soit des personnes qui ce disent intolérantes sans aucune raison médical, sans aucune base scientifique,  d'après eux ils le font par choix pour des raisons de bien-être ou pour des raisons éthiques. Cependant en y regardant de plus prés on observe qu'il est plus difficile d'avouer l'influence de la mode sur ces choix alimentaires , la peur d'être seul qui fait se tourner vers une communauté rassurante,sans compter sur ceux qui alimentent ces phénomènes pour en tirer le maximum de bénéfice. Ce qui ce passe dans les sociétés occidentales nous fait réfléchir sur les priorités que l'on se donne aujourd’hui alors que des millions de personnes vivent dans la pauvreté voir pire meurt de faim et mangerait volontiers tout ce dont on dispose si facilement.

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