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Etude sociologique de la Place Beuret Paris

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Par   •  23 Janvier 2013  •  851 Mots (4 Pages)  •  902 Vues

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ETUDE SOCIOLOGIQUE DE LA PLACE BEURET

Introduction

Nous avons choisi comme terrain d’étude, la rue Cambronne située dans le15ème arrondissement de Paris. Notre étude s’est concentrée sur un endroit précis de cette rue : la partie allant de la rue Lecourbe à la rue Blomet.

Le choix de ce terrain a été déterminé tout d’abord par la place du Général Beuret qui se situe au croisement de la rue Cambronne avec la rue Blomet. En effet, cette dernière, influe dans la vie de ce quartier, tout s’organise autour d’elle : les cafés, commerces, le flux des habitants et même l’emplacement des motos et des vélos. Ensuite, le fait que cette rue soit une rue commerçante a aussi été un point déterminant, cette rue est en effet entièrement peuplée de magasins d’alimentation (boucherie, boulangerie, etc. …), de cafés et autres. Enfin, cette place existant depuis longtemps et n’ayant pas vraiment changé depuis, il nous a paru intéressant d’étudier et de comprendre cette pérennité.

Description

La partie de la rue Cambronne allant de la rue Lecourbe à la rue Blomet est ponctuée de commerces. On y trouve : un fleuriste, trois boucheries dont une chevaline, deux primeurs, un maître fromager, deux traiteurs asiatiques, une poissonnerie, trois bars, une librairie, un coiffeur, un magasin bio, un magasin de machine à coudre, un club med, un kiosque, une boulangerie, une pharmacie et une droguerie. Aucuns magasins alimentaires ne se situent autour de la place Beuret, on y trouve plutôt la pharmacie, le coiffeur, la librairie et des cafés. Les magasins alimentaires sont plutôt au niveau de la rue Lecourbe ainsi les clients traversent la rue pour aller d’un commerce à un autre.

On est un dimanche matin, et tous les magasins alimentaires sont ouverts et les terrasses des cafés sont pleines.

Les bus 89 et 80 circulent : beaucoup de gens descendent à l’arrêt Cambronne – Lecourbe pour venir faire leurs courses et ensuite reprennent le bus.

Des joggeurs traversent la place, parfois seuls, parfois accompagnés d’un ami ou d’un chien.

Des gens se disent bonjour dans la queue pour le boulanger et parlent de se qui se passe dans leur vie en ce moment, parfois ils se rejoignent ensuite à la terrasse d’un café.

Un homme attend assis à la terrasse d’un café, il sera rejoint plus tard par un autre homme arrivant en scooter.

Les gens en scooters se garent sur la place du général Beuret et vont faire leurs courses.

Des voitures sont garées sur le trottoir et des agents de police mettent des contraventions.

On est un mardi après-midi entre 15h et 16h, peu de commerces sont ouverts.

Quelque personnes sont assises au terrasses des cafés.

On ne trouve pas beaucoup de monde sur le trottoir.

Le trafic parait beaucoup plus présent que le dimanche matin.

Analyse

Après plusieurs observations, on se rend compte que ce terrain ne vit pas de la même façon

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