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Sujet de synthèse sur l'écologie

Commentaire de texte : Sujet de synthèse sur l'écologie. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  2 Avril 2018  •  Commentaire de texte  •  1 562 Mots (7 Pages)  •  1 189 Vues

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Sujet de synthèse :     L’écologie

SOMMAIRE

I/ Un monde anthropocentrique……………………………………………………p.3

II/ Un changement de nos modes de vies et façons de penser……….p.4

III/ Redéfinir un système plus écologique pour tous……………………...p.5

Critique………………………………………………………………………………………….p.7

Développement……………………………………………………………………………p.8

I/ Un monde anthropocentrique

De nos jours, les activités humaines ont un impact direct sur l’environnement et deviennent rivales aux forces de la nature. Voilà ce que dit Laurent Testot. On se dirige vers une terre inconnue ! Nous ne savons pas réellement à quoi nous attendre des modifications que la terre subit à cause de l’activité humaine. Comme nous le savons tous, cette dernière a provoqué grands nombres de problèmes environnementaux tels que la hausse de la température, la fonte des glaces, la disparition d’espèces, mais également des variations comportementales. En effet on observe une corrélation entre les évènements sociaux et les troubles météorologiques, telles que les guerres de Chine par exemple. C’est à partir des années 60-70 que les premières inquiétudes apparaissent concernant le réchauffement climatique selon Dominique Bourg. Pour Laurent Testot c’est en 80 avec l’arrivée de la mondialisation, qui a plus fait parler d’elle durant cette période. Ce n’est qu’à partir des années 2000 que des recherches ont commencé à être réalisé réellement sur le sujet. Mais pourquoi ? Nous sommes entrés dans une nouvelle ère appelée l’anthropocène, c’est la période à partir de laquelle les activités humaines ont eu un impact global significatif sur l’écosystème terrestre. L’homme est devenu un agent géologique à part entière, c’est-à-dire que des sociétés peuvent à elles seules altérer l’environnement. Pour avoir une idée de la gravité de la situation actuelle il suffit d’analyser l’impact qu’aurait une croissance mondiale soutenue à 1%. Si c’était le cas notre empreinte écologique doublerait pour 2050. Aujourd’hui notre croissance mondiale est à 3%.

II. Un changement de nos modes de vies et façons de penser

Dans une société où l’homme est amené à penser à court terme, comment peut-on espérer voir des changements écologiques sur le long terme ? C’est exactement ce que décrit Jean François Marmion, l’homme est destiné à penser à court terme, à faire des choix sur l’instant, on a tendance à préférer un bénéfice immédiat plutôt que sur dans un avenir lointain. Pour reprendre les dires de Jean François Marmion, l’humain a tendance à penser selon deux modes applicables à la question de l’écologie : émotionnel ; il décide vite mais mal, analytique ; il décide mieux mais ne décide quand même pas. Le problème est donc la projection dans, ce que considère l’Homme comme incertain, une pensée à long terme. L’humain a tendance à penser que les problèmes écologiques sont abstraits, trop complexes, trop lointains et inatteignables pour que cela nous importe. Là est donc l’inquiétude. Jean François Marmion pense que les pouvoirs publics doivent pousser l’Homme à devenir un éco citoyen notamment à l’aide de gestes simples, du quotidien, qui favorisent notre comportement respectueux de l’environnement. Des gestes comme réduire notre consommation de papier en imprimant recto verso ou bien même en utilisant des outils nous indiquant les gaspillages d’énergie effectués au sein de notre habitat. Enfin, le citoyen est dit mal informé, velléitaire et immature, c’est donc ces comportements privilégiant « l’ici et maintenant » qu’il faut voir changer.

Changer mentalement consiste aussi à changer physiquement. La surpopulation des villes est actuellement très présente et empêche un « étalage » des habitations, sur périphéries notamment, à cause du manque d’activités économiques et d’une dégradation économique dû à la fermeture de centres économiques en périphéries victimes de rationalisation. Ce qui est assez paradoxal c’est que des villes comme Paris dépendent des périphéries et ne peuvent survivre plusieurs jours sans elles. Malgré ce manque de ressources au sein des périphéries, quelques personnes souhaitent retourner au calme, revoir du « vert » et ne plus être victime de pollution sonore et atmosphérique quotidienne. C’est sur cette voie que les gouvernements doivent jouer : inciter les habitants à réhabituer ces zones en y apportant les moyens écologiques et régulières d’accéder aux principales zones urbaines aux alentours et, d’en même temps, réimplanter cette nature au sein même de la ville comme le précise Dominique Gauzin Muller.

Enfin, pour prendre l’exemple de Vorarlberg, il faut éviter le mitage du paysage, densifier les centres de bourgs, mutualiser les équipements publics et faciliter leur accès en développant les réseaux de déplacements doux

III. Redéfinir un système plus écologique pour tous

Un changement doit s’opérer avec l’aide de tous les partis. Cela doit évidemment passer par les gouvernements notamment car ce sont eux qui sont le moteur du monde. Pour réussir à avancer il faut réussir à découpler progrès et consommation de ressources naturelles comme le dit Alain Grandjean. Certains voient la crise financière actuelle comme une crise bien plus complexe et reflétant  la fin d’un modèle de croissance totalement épuisé. Pour y remédier, remplacer ce modèle, on parle du capitalisme vert. Ce dernier aurait pour but de mettre en place des taxes, pénalisant les sociétés, entreprises, souhaitant générer des bénéfices sur le court terme sans prendre en compte les conséquences de cette façon de faire sur l’environnement. L’élément qui permettrait de rendre ce capitalisme « crédible » pour le monde entier est la création d’emplois, ou du moins, prouver qu’il n’y aura pas de hausse du chômage. En réduisant l’utilisation des énergies fossiles les métiers liés à la distribution de ces dernières vont réduire également mais vont permettre d’augmenter les emplois dans d’autres domaines, tel que les vitrages isolants.

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