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ADS maternité

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Par   •  7 Mars 2018  •  Dissertation  •  1 780 Mots (8 Pages)  •  1 148 Vues

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AP-HP / IFSI

Analyse de situation n°7

Stage du semestre N°4

Deuxième Version

Du 09/10/17 au 10/11/17

Salle de naissance

Le 19 octobre 2017

Promotion : 2016 – 2019

Sommaire

1. Choix de la situation

2. Description de la situation

3. Questionnement & Analyse

4. Conclusion

5. Bibliographie


  1. Choix de la situation :

Mon stage de 10 semaines dans un hôpital parisiens fut divisé en deux parties, une partie en suite de couche et mes 5 dernières semaines en Salle de naissance.

La situation que j’ai décidé de développer se déroule pendant ma 7ème semaine de stage, je commence à prendre mes marques dans le service .

Je vais decrire la matinée du 19 octobre en Salle de naissance, je suis avec Florence l’ infirmière de service, qui est ma tutrice par ailleurs, on commence notre journée à 8h pour la finir à 20h. On écoute les transmissions. Il y a  4 dames en salle et 3 en pré. Les transmissions nous annonce qu’une femme à déjà accoucher et que les 3 autres sont en travail. Je tiens à préciser que les trois patientes en travail sont des primipares.

Je commence le tour de constantes, il est 8h20. Je transmet à Florence que toute les patientes vont bien, elle me transmet à son tour qu’on va recevoir une jeune femme des urgences centrale pour Déni de grossesse et qu’elle désir accoucher sous X.

  1. Description de la situation :

Il est 8h55 quand la patiente arrive, elle est pliée de douleur, ses contractions sont forte et très régulière, j’accompagne la patiente en salle n°4, on est 3 dans la chambre, l’infirmière, la sache femme. La patiente à 21 ans, elle est étudiante, vit avec sont copain depuis quelques mois, elle est toute fine, et n’a pas de ventre. Ses parents habites à 3 heures de route.

Elle cri, elle se tord de douleur, on envisage l’anesthésie péridural, le problème est que comme tout déni de grossesse, la grossesse n’était pas suivie, on doit faire tout le bilan sanguin nécessaire afin d’éviter des complications pendant l’accouchement. En salle de naissance le protocole dit que toutes femmes qui viennent en salle doit être perfusée avec un prolongateur à 3 voies.

La patiente vient des urgences centrale et n’a pas de prolongateur à 3 voies, il faut donc la re perfusé,  je demande à l’infirmière si je peux le faire et m’occuper de cette patiente, elle accepte,  je perfuse la patiente et effectue par la même occasion le bilan sanguin.

Je prépare et pose une base à la patiente, car lorsque qu’une patiente prend la décision d’avoir une anesthésie péridurale ont met toujours une base afin d’avoir une voie veineuse fonctionnelle. Cela sert également à prévenir les effets indésirables de l’hypotension ; les vomissements, les nausées. Je scope la patiente en lui expliquant pourquoi je le fais et lui prend les constantes (118/68 pouls 66, température :36,5).

Il est 9h30 lorsque l‘anesthésiste viens pour la pose de l’anesthésie péridurale. J’installe la patiente sur le lit, en position assise, elle pleure, elle a mal, les contractions sont forte et rapprochées. Je lui dit qu’on attend à chaque fois que la contraction passe pour agir, qu’il faut qu’elle nous prévienne lorsqu’il y en a une, qu’il est important qu’elle communique avec nous et qu’il ne faut pas hésiter à nous parler. Je lui dit que je suis là et que je resterais là jusqu’à que l’anesthésie péridurale soit posée. Je suis devant elle, je lui tiens les mains, je lui parle tout au long du soin, la rassure, lui explique ce qu’elle n’entend pas, elle reste calme et la péridurale est posé en 15 minutes. Je programme le tensiomètre afin qu’il prenne sa tension et son pouls toute les 3 minutes pendants 30 minutes pour vérifier sa tension. Je réinstalle la patiente, je la rassure lui explique qu’il n’y a pas de raison d’avoir peur de s’allonger que la cathéter ne se retirera pas. Elle s’allonge, je lui donne la sonnette et lui dit que si elle à la tête qui tourne ou envie de vomir qu’elle appel, qu’en attendant notre arriver qu’elle se mette sur le coté gauche afin de soulager naturellement son cœur.

3) Questionnement &Analyse 

Je pense avoir pu prendre de bonnes initiatives ce jour la car ayant rencontré une situation similaire quelque jours avant j’ai pu faire un transfert de connaissances.

J’ai demander de prendre en charge la patiente dans l’urgence, car lorsque j’avais rencontré pour la première fois un déni de grossesse je ne ne savais pas quoi faire, ni comment réagir. Je m’était senti inutile et surtout sans pouvoir être dans mon rôle, celui de l’infirmière qui aide, qui sait que faire, et comment le faire.

Après ce premier déni de grossesse, je me suis dit qu’il était impossible pour moi que cela se reproduise, je voulais être à la fois efficace et sur de moi dans la prise en charge.

j’ai alors entrepris de nombreuses recherches afin d’être au clair sur le déni de grossesse.

Je me suis posée les questions suivantes : Comment une grossesse peut-elle passer inaperçue? Quelles conséquences pour l'enfant et la mère ? Quel est la prise en charge lorsque la patiente accouche sous X ?

Le déni de grossesse est un mécanisme de défense psychique. Il vise la protection, c'est-à-dire qu'en ignorant la réalité, il protège la personne d'une souffrance.

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