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Microbiologie, les plasmides

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Par   •  7 Avril 2017  •  Cours  •  916 Mots (4 Pages)  •  739 Vues

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CM 6 – Microbiologie

6 – Les plasmides

Il y a un nombre particulier de supertours : participent à la condensation de l’ADN.

Chez les procaryotes il y a aussi une condensation de l’ADN mais moins pousser que chez les Eucaryotes.

La bande qui migre le plus vite c’est la super enroulée, on a ensuite la forme linéaire et finalement la forme la plus retardée c’est la circulaire ouvert.

  1. Définition et rôles

Dans une bactérie, tout baigne dans tout. Toutes les enzymes sont en contacts avec tous les substrats, c’est une économie locale. Dans le cytoplasme on aura toutes les enzymes du métabolisme, celles de la transcription/traduction et on aura les supports génétiques (chromosomes et plasmides).

Le plus souvent le chromosome est attaché à la face interne de la membrane plasmique.

Le chromosome est dans une zone nucléoïde. Le nucléoïde est la zone où est le chromosome, c’est sa région. Au niveau du chromosome, des protéines basiques non histoniques mais qui vont avoir le même rôle que les histones chez les eucaryotes, elles sont affines pour l’ADN et vont participer à la condensation / organisation du chromosome dans la bactérie. Le nucléoïde n’est pas un compartiment car il n’est pas entouré par une membrane.

Il n’y a pas vraiment de phase de division chez les bactéries ni de stade condensation/décondensation. L’ADN est toujours condensé et organiser dans les bactéries.

Chez E. Coli, le chromosome fait 4600 kb, ils n’ont pas beaucoup de séquences non codantes, chez les procaryotes 1 gène = 1kb.

On peut avoir des plasmides (facultatif), toutes les bactéries ne portent pas de plasmide mais certaines peuvent en avoir plusieurs. Un plasmide est présent à un certains nombres de copies par cellule. La taille d’un plasmide : 3 à 500 kb. La capacité codante des plasmides est en relation directe avec leur taille.

Ce sont des réplicons au même titre que le chromosome, cela veut dire que c’est une molécule d’acide nucléique capable de se répliquer. Cela veut dire qu’elle possède deux choses : d’abord une origine de réplication, chez les plasmides on l’appelle OriV (V pour végétative) et une conformation compatible avec la réplication.

La réplication des plasmides se fait de façon autonome, indépendante du chromosome.

Le chromosome est également un réplicon et son origine de réplication s’appelle OriC (C pour chromosome).

Il peut arriver dans certaines conditions que le plasmide puisse intégrer le chromosome, on appelle cela un épisome.

La vitesse d’expression est due à ce couplage transcription/traduction chez les procaryotes.

L’ARN polymérase va reconnaître le promoteur et va commencer à synthétiser l’ARNm. L’ARN pol avance et l’ARNm s’allonge, l’extrémité qui est libérée est 5’ et au niveau de cette extrémité il y a la RBS (là ou se fixe le ribosome). Dès que l’extrémité 5’ est libérée un ribosome vient se fixer et commence la synthèse de la protéine. On a donc le peptide ne cours d’élongation. On va se retrouver avec un ARNm encore en cours de synthèse qui va avoir des ribosomes qui sont en train de synthétiser les protéines. Arriver au niveau du STT : tout décroche.

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