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Mutations et écrevisses

Commentaire de texte : Mutations et écrevisses. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  24 Mars 2015  •  Commentaire de texte  •  357 Mots (2 Pages)  •  555 Vues

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TD N°7 : Mutations et cancers

Au départ dans une cellule dite saine il y a un génotype « sain », mais ce gène va subir une mutation aléatoire et spontanée puis d’autres gènes vont être touchés par des mutations qui vont s’enchaîner. Les cellules qui seront touchés par ces mutations sont appelés « cellules précancéreuses ». Les mutations vont avoir pour résultat des cellules mutées, qu’on appellera « cellules cancéreuses ». Dans le document 1, on peut voir qu’une cellule cancéreuse est la conséquence d'une succession de mutations d'un gène. Ces cellules dites cancéreuse auront pour caractéristiques : l’immortalité, la transformation car elles vont perdre leurs fonctions initiales au sein de l’organe et enfin la prolifération qui est leur multiplication active qui va conduire à la formation d’une tumeur de petite taille. Ces tumeurs vont grandir. Des vaisseaux sanguins vont se développer et vont se relier et s’attacher aux tumeurs. Ces tumeurs seront désormais connectées à la circulation sanguine (métastase), donc elles seront alimentées et vont continuer à grossir.

Le gène p53 permet de contrôler la protéine du même nom, c’est celui-ci qui va empêcher la cellule mutée de franchir le point de contrôle ou la réparer grâce au gène p53R2 ou encore déclencher la mort de la cellule. Quand la cellule est endommagée, p53 est activé soit pour contrôler la croissance cellulaire, soit pour tuer la cellule. L’altération du gène p53 est due à l’exposition à différents agents mutagène capable de provoquer un cancer comme les UV (document 3). Dans le document 2, nous avons une expérience effectuée par transgénèse sur des souris témoins qui contiennent une quantité normale de p53 et super-p53 qui contiennent une quantité supplémentaire de p53. Des chercheurs ont étudié la sensibilité de ses souris à un agent cancérigène. Nous remarquons que chez les souris témoins seulement 20% des souris ont survécu et n’ont pas développé de tumeurs, alors que chez les souris super-p53 70% des souris ont survécu et n’ont pas développé de tumeurs. Nous pouvons en déduire le gène p53 contrôle et protège l’organisme des cellules cancéreuses mais pas tout le temps car ces cellules peuvent être plus fortes.

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