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Sociologie 2e Année De Droit

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Par   •  26 Janvier 2013  •  1 815 Mots (8 Pages)  •  904 Vues

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SOCIOLOGIE POLITIQUE

Un fait social est un évènement qui se passe dans la société. Exemple : Election, grève…

Karl Marx est un communiste qui lutte contre les classes bourgeois et prolétaires.

Il y a donc eu une révolution où les prolétaires vont prendre le pouvoir car ils sont plus nombreux.

C’est ainsi qu’apparait le communisme qui représente un monde sans classe sociale.

CHAPITRE 1: Participation et abstention

Les régimes démocratiques reposent sur la volonté de faire participer le plus grand nombre des gouvernés à la vie politique. Cette volonté s'incarne en particulier dans l'organisation de consultation électorale qui permet aux citoyens de désigner leurs représentants. Les citoyens peuvent donc participer directement ou indirectement à la vie politique. Pour que cette participation soit effective, il faut qu'il y ait deux conditions qui soient remplies :

 Que les gouvernés se sentent suffisamment concernés pour prendre part au vote

 Que les gouvernés aient un choix libre et éclairé sur les questions qui lui sont posées

Parfois, les deux conditions ne sont pas remplies, d'où l'abstention.

I- La participation à la vie politique

CAMUS : « La politique, c'est l'art de s'emparer de la machine à faire du droit ».

« Même lorsqu'on ne fait pas de politique, la politique s'occupe de vous ».

Dans la vision idéale démocratique il y a des citoyens qui se soucient de la politique, qui prennent part au débat, et qui se prononcent sur les solutions envisageables.

Participation politique : Activités par lesquelles les gouvernés peuvent individuellement ou collectivement prendre part au fonctionnement du système politique de manière plus ou moins efficace et selon des procédures plus ou moins institutionnalisées.

La participation ne consiste pas simplement à mettre un bulletin de vote dans une urne.

Glisser le bulletin entraine une certaine rationalité.

En effet, avant de venir voter, il faut qu’il y ait l’information du citoyen avec les médias, les campagnes électorales... Il apparait donc des militants et des sympathisants.

Dans la participation il y a deux formes :

 La forme conventionnelle qui contribue indirectement ou directement à alimenter les processus institutionnels.

Ces processus sont les producteurs de pouvoir

 La forme non conventionnelle qui se situe en dehors des mécanismes institutionnels.

Au contraire, cette forme remet en cause ce mécanisme avec des grèves, des manifestations, des pétitions…

II- L’abstention

Le taux d’abstention va donner une certaine autorité aux politiques.

Il est en effet important pour eux de savoir quel est le nombre de personnes qui votent ou pas.

Certains pays sortent de la dictature pour évoluer vers un système démocratique et la participation est très faible.

Ex : En Haïti, des présidents sont élus avec 70% des voix avec seulement 10% de participation.

La légitimité est donc nulle.

Dans nos démocraties Européennes, l’abstention est de plus en plus importante.

Les abstentionnistes sont des personnes qui peuvent participer mais qui ne participent pas.

Ils peuvent voter mais ne vote pas pour des raisons personnelles

Leur comportement est donc visible puisqu’on peut comptabiliser les abstentionnistes.

Ainsi, on peut étudier leur comportement et savoir pourquoi ils ne votent pas.

L’abstention peut avoir l’ambition de manifester une volonté politique de la part de ceux qui ne veulent pas participer.

C’est une manière de ne pas manifester les règles du jeu politique.

L’abstention peut aussi être une forme de contestation du système pour montrer qu’on ne cautionne pas le système.

Les raisons pour lesquelles les gens s’abstiennent sont nombreuses :

 On peut penser que le mode de scrutin est défavorable à la représentation des partis politiques.

C’est-à-dire que le scrutin proportionnel favorise les petits partis et le scrutin majoritaire le contraire.

 La difficulté de percevoir les enjeux en fonction de la proximité des enjeux.

Généralement, on vote lorsqu’il y a une certaine proximité.

 La défiance vis-à-vis du personnel politique.

 L’influence des extensions sociales sur les comportements électoraux

III- La socialisation politique (ce qui nous pousse à aller voter)

A- Le rôle de la famille dans la socialisation politique

La famille est un vecteur efficace dans la transmission des choix idéologiques.

Elle est un creusé indéniable de l’identité politique des individus.

Cette transmission se fait d’autant mieux lorsque les choix des parents sont visibles et homogènes.

Chaque famille n’organise pas de la même façon cette transmission et la socialisation peut emprunter diverses voix.

La socialisation politique peut se construire :

 Dans les logiques d’opposition et de réélection

 A

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