LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Vérification des connaissances sur la discipline " Economie "

Analyse sectorielle : Vérification des connaissances sur la discipline " Economie ". Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  11 Février 2015  •  Analyse sectorielle  •  2 136 Mots (9 Pages)  •  612 Vues

Page 1 sur 9

Question 1 : Comment définir la science économique ?

Réponse 1 : On peut définir la science économique à partir de concept des problèmes économiques.

Les problèmes économiques poussent les économistes d’analyser et de comprendre la nature de ces problèmes, et de chercher les solutions.

Donc la science économique est une science qui s’intéresse à l’analyse et de comprendre les problèmes économiques.

On a aussi le terme de la rareté des ressources, qui obligé les sociétés de prendre un choix qui est meilleur possible parmi tous les autres choix disponibles ce choix adopté par la société lié à un coût s'appelle "Coût d'opportunité".

A partir les trois termes « Rareté, choix et coût d’opportunité », on peut définir que La science économique est une science qui s'intéresse aux problèmes de l'affectation des ressources rares à des fins alternatives et concurrentes.

La science économique s'intéresse à l'étude du comportement de l'homme. Il consiste à traiter les activités particulières de l’économie telles que les décisions individuelles portant sur un consommateur, et aussi traiter les variables économiques globales tels que le produit intérieur brut.

Question 2 : Présentez l'apport essentiel de chaque courant à la pensée économique en précisant chronologiquement l'époque de chacun.

Réponse 2 :

Le mercantilisme : (vers le 16ème siècle).

C’est une doctrine qui explique que la puissance de l'État résulte de l'enrichissement de la nation, qui est obtenu par le développement de l'industrie et du commerce, par un excédent commercial et une accumulation de métaux précieux. Ainsi que Les mercantilismes sont populationnistes, c'est-à-dire favorables au développement de leur population qui inspire la force ou la puissance militaire de la nature. Il est aussi favorable à l'intervention de l'État au sein de l'économie à plusieurs niveaux : fiscalité, contrôle des prix, protection douanière, etc.

La physiocratie : (vers le 18ème siècle)

C'est une doctrine qui est délimitée entre 1750 et 1770 en France.

Elle explique l'idée du libre-échange qui marque l'opposition à l'interventionnisme étatique, elle rejette le protectionnisme et le Mercantilisme et considère l'initiative privée comme le moteur du libéralisme.

Elle considère que l'activité agricole est la source de richesse exclusive, il faut encourager les agriculteurs par la fixation libre des prix des produits elle puisse être libre d'écouler ses produits et de ne doit pas être gênée par les différents impôts.

Le courant classique : (Au milieu du 18ème siècle) c'est une doctrine qui affirme le caractère fondamental de la liberté individuelle dans les domaines politiques et économiques et qui s'oppose à toute forme d'intervention de l'Etat. Ce courant basé sur des principes telle que:

1- Liberté individuelles : Donner la liberté totale aux individus d’agir par leurs propres initiatives sans faire face à des obstacles par une autorité supérieurs.

2- Primauté du marché : le marché est le seul élément régulateur de l'activité économique.

3- Non à l’interventionnisme : Le rôle de l’Etat doit être réduit au rôle de maintien de l’ordre publique tel que : la justice ; sécurité ; défense ;…

4- Non à protectionnisme : Chaque individu doit être libre de fonder une entreprise et vendre ses produits, et chaque pays doit se spécialiser dans la fabrication des produits.

5- Les classes sociales :

- La classe des propriétaires fonciers qui sont en possessions des terres. (Perçoit une rente foncière) ;

- La classe des entrepreneurs capitaliste qui fournissent le facteur « capital ». (donner un profit) ;

- La classe des travailleurs qui fournissent le facteur « travail », perçoit un salaire en contrepartie du facteur de production.

Critique marxiste : (Au 19ème siècle)

C’est une critique de la pensée économique de son époque. Marx procède à une analyse critique du système de production capitaliste de trois points :

- Il considère le système capitaliste comme n’étant qu’une phase d’un processus historique général, alors que pour les classiques c’est plutôt un aboutissement.

- Il donne une explication dialectique et matérialiste, donc non naturelle de l’évolution des sociétés.

- Il critique le secret du profit, et la dynamique du capitalisme ; l’exploitation du travailleur qui possède la force de travail par le capitaliste qui achète cette force du travail.

Le courant néoclassique : (A la fin de 19ème siècle)

c’est une doctrine qui explique les comportements des agents économiques en vue de l’allocation optimale des ressources rares à usages alternatifs en adaptant la microéconomie comme base de leur analyse économiques. (Approche microéconomique)

Les principes néoclassiques sont les suivants :

- Raisonnement marginal : Ils cherchent la quantité globale et s’attachent au calcul économique des unités individuelles.

- Rationalité économique : L’individu est capable de classer les choix possible par ordre de préférence, il cherche le maximum de satisfaction.

- Valeur – utilité : C’est une valeur subjective et physiologique d’un bien est déterminée par son utilité pour celui qui la demande.

- L’équilibre-économiques : L’égalisation de l’offre et la demande et le prix d’équilibre.

Approche Keynésienne : (début de 20ème siècle, John Maynard Keynes : 1883-1946) :

C’est une approche macroéconomique qui considère que l’Etat est un agent économique qui doit intervenir au sein de l’activité économique, en encourageant les producteurs et les consommateurs à adapter telle mesure économique.

Question 3 : Quel sont les lois économiques de courant classique ? Présentez les explications de

...

Télécharger au format  txt (14.8 Kb)   pdf (146.1 Kb)   docx (14.5 Kb)  
Voir 8 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com