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La cise écomique selon les grandes théories économique

Dissertation : La cise écomique selon les grandes théories économique. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  7 Février 2017  •  Dissertation  •  638 Mots (3 Pages)  •  441 Vues

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La crise économie de 2008 ou la grande récession, a débuté en États-Unis à cause les difficultés rencontrées par les ménages américains à faible revenu pour rembourser les crédits qui leur avaient été consentis pour l’achat de leur logement. Durant cette année, le taux de chômage en États-Unis a augmenté de 5,1% à 7,3% et une perte de 2,8 millions emplois. Le PIB descendu jusqu’à -0,29% ce qui dépassant les attentes des économistes. Les écoles économiques telles que la libérale, le marxisme et la keynésienne expliquent le problème de chômage.

Selon l’école libérale, le chômage est causé par un fonctionnement défectueux et incomplet du marché du travail. En effet, celui-ci est fluide à cause des rigidités qui se sont accumulées dans son mode de régulation. Les libéraux expliquent qu’un salaire trop élevé alourdit le coût du travail et réduit la rentabilité des entreprises. Le chômage est à couse d’un coût du travail trop élevé relativement à la productivité du travail donc les chômeurs devraient accepter une baisse de salaire ou le niveau de l’emploi souhaiter. Plus précisément, la fixation d'un salaire minimum empêchant l'équilibrage de l'offre et de la demande de travail par la baisse des salaires leur semble, en particulier, le point le plus problématique. En général, ils mettent en cause les excès de réglementation (comme la fixation d'une durée légale du travail, protection contre les licenciements, etc.) qui s'opposent à l'ajustement rapide des effectifs aux besoins de l'entreprise. En bref, selon l’école libérale, le marché du travail devrait avancer librement comme n'importe quel marché compétitif.

Selon l’analyse de l’école Marxisme, la surpopulation, la pénurie, la pauvreté, la misère et le chômage seraient reliés à une installation des structures productives qui se traduirait par la valorisation du capital (les machines) par rapport au travail humain. En effet, Marx distingue la classe ouvrière. Selon lui, l'armée active est composée des ouvriers au travail et l'armée de réserve industrielle (les chômeurs). D’après eux, le seul moyen d’annuler définitivement le problème de chômage serait par l’abolition du capitalisme et le système du salariat, en passant à une société socialiste ou communiste. Pour les marxistes en général, l'existence d'un chômage est la preuve de l'incapacité du capitalisme à assurer le plein emploi.

À l'opposé de cette vision, la keynésienne mettre en doute la notion ou le concept même de « marché » du travail. Selon eux, S'il y a chômage, c'est en raison du manque de la demande de biens et les services qui limite l’ouverture des entreprises et donc leurs possibilités d’offrir un travail. Le seul moyen de réduire ce déséquilibre est de maintenir la demande, notamment la demande de consommation des ménages, par des politiques salariales plus généreuses et par la redistribution des revenus (par l'État) au profit des catégories sociales pauvres au moyen des allocations sociales. En résumer, pour les keynésiennes, l'État peut aussi, par ses propres dépenses (grands travaux d'infrastructures) participer à la relance de l'activité économique, en acceptant un déficit budgétaire momentané.

En conclusion, les

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