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Etude de marché

Analyse sectorielle : Etude de marché. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  13 Octobre 2022  •  Analyse sectorielle  •  3 470 Mots (14 Pages)  •  197 Vues

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Fiche management stratégique et RSE[pic 1][pic 2][pic 3][pic 4][pic 5][pic 6][pic 7]

RSE renvoie à l’intégration des dimensions marchandes et non dans marchandes dans la gestion et à la prise en compte des effets externes positifs et négatifs des entreprises sur la société. La RSE s’efforce de rendre compte de l’exercice par les e d’une responsabilité envers les parties prenantes.

1ère partie : Genèse, développement et institutionnalisation de la RSE

I- La naissance de la RSE

  1. La conciliation entre l'activité économique et les attentes de la société

RI = mode paternaliste de gestion de la MO. E tayloro-fordienne détourné du rôle de responsabilité à cause de l’arrivé de l’Etat-providence mais épuisement en 1980 donc focalisation sur l’e et sa responsabilité = RSE

  1. Les origines américaines

Inspiration religieuse protestante + enjeux pratiques. RSE = intérêt et service public + légitimation. Crise 1929 et perte de prestige social des dirigeants et e = mise en berne des discours relatifs à la RSE. Après 1950, réaffirmation de RSE.

Howard Bowen (père fondateur RSE), RSE = macro, 3e voie entre régulation étatique et pur laisser-faire.

  1. Le développement d'une RSE explicite

RSE implicite jusqu’à moitié XXe siècle. C’est le délitement du fordisme et effacement de l’Etat-providence qui ont fait émerger une RSE explicite en Europe (1990), d’abord « entreprise citoyenne, éthique, socialement responsable ». Société de risque fin XXe donc irruption de RSE explicite. Grande firme à la recherche de légitimité et façonner l’opinion publique.

  1. RSE et développement durable

DD : 1980, popularisé en 1987. 3 dimensions mais en confrontation voire contradiction.[pic 8]

Articulation RSE/DD : 2000, e appelées par des organismes internationaux à faire face aux enjeux du DD.

DD : concept macroéco et macrosocial (planète), en lien avec l’intervention de la sphère politique. Il interpelle l’e dans ses finalités, conception, organisation, en fournissant les principes encadrant ou conditionnant les activités éco. La RSE constitue les modalités de réponse de l’entreprise.

Triple bottom line = transposition de la notion de DD en e, par l’éval de la performance de l’e

  1. La RSE fait-elle consensus ? 

Engouement du début produit sans qu’une déf précise en soit donnée et sans contenue substantiel attribué. Friedman (école de Chicago) = opposé à la RSE car les dirigeants d’e n’ont pas d’autres responsabilité que celle du profit. Donc diversion des acceptions engendre des positions difficilement conciliables et perplexité sur l’opérationnalité de RSE.

  • Préoccupation des grandes entreprises multinationales
  • Motivation des firmes d’ordre éco et financier = utilitarisme stratégique pour compétitivité

Visions différentes et positions diverses  RSE comme nouvel avatar du capitalisme ou croyance en un levier susceptible de transformer les e. RSE = démarche pays nantis.

  • Pas de consensus sur la RSE
  • Pas de définition unique et courante

II- L’institutionnalisation de la RSE

  1. Les mesures et stratégies
  1. Les dispositifs internationaux 
  1. Les principes directeurs de l’OCDE 

Instrument de réf accepté par les gouv.  43 Pays adhérant. Ils apportent aux e un cadre internationalement reconnu qui permet de favoriser l’adoption de comportement socialement responsable dans la mondialisation + aucunes portée contraignantes.

  1. Le Global Compact de l’ONU

Responsabiliser les e pour prendre en compte les impacts sociaux, environnementaux liés au processus de mondialisation. Engagement formalisé. E signataire doivent communiquer les progrès accomplis chaque année.

  1. Les Principles for Responsible Investment

Objet : inciter banques, compagnies d’assurances, autres investisseurs institutionnels, à intégrer dans la gestion d’actifs, les paramètres environnementaux, sociaux et gouvernance.

  1. Les Equator Principles

Financement des projets de dvpt, visant à identifier, évaluer et gérer les risques environnementaux et sociaux. Principes : normes aujd en matière de financement de projets de dvpt, pour les banques et autres investisseurs.

  1. Les dispositifs européens

Agit par voie directives, stratégie de DD adoptée.

Les progrès de la règlementation environnementale européenne : construction d’un droit de l’environnement (quotas d’émission GES).

La stratégie de DD de l’UE : toutes les politiques de l’UE doivent être élaborées en considérant le DD comme une finalité + effort dans le domaine de l’éducation et formation, innovation scientifique et technologique stimulée, prix doivent refléter coûts environnementaux et sociaux réels, mesures fiscales doivent s’appliquer à la C° d’énergie et de ressources/pollution.

La RSE : importance du dialogique avec parties prenantes + améliorer la transparence en matière de RSE. RSE peut favoriser la création d’emplois et renforcer le potentiel d’innovation.

  1. Les dispositifs français

Loi RNE, Charte de l’environnement, Grenelle de l’environnement, PACTE, LTECV, Sapin 2.

Limites de la règlementation : expertise, sanction, lacunes  cadre règlementaire encourageant mais n’aide pas les e, particuliers à déployer le potentiel de la RSE.

  1. Les référentiels RSE à destination des entreprises

Certification répond à des exigences précises définies par un cahier de charges. Pour l’obtenir, soumission à un audit qui vérifie la conformité des déclarations (avis pp).

Label = étiquette, marque spéciale créée par un syndicat pro reconnu par une autorité publique + apposé sur le produit pour certifier l’origine et garantir qualité/conformité avec certaines normes de fabrication. Mais confusion dû à la mondialisation, labels étrangers. Label justifie la qualité mais pas conformité de l’e à tous les principes RSE + obtention sur la base du déclaratif.

Réglementation, certifications, labels = initiatives importantes. Cependant, ils dépendent :

  • Bonne foi des dirigeants dans leur auto-évaluation
  • Clarté et la transparence des critères retenus pour la certification ou le label
  • L’éthique de l’agence de notation
  1. Les normes

Les normes ISO (9000, 14000, 26000). Norme européenne EMAS. Normes anglo-saxonnes

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