Enquête de terrain sexshop SOCIOLOGIE

ENNEBATI

Anissa

INITIATION A L'ENQUETE

        PARTIE INDIVIDUELLE                

Dans un premier temps le choix du terrain m'a donné envie de parler la pratique du skate qui, à tours, ne possède pas de lieu de destiné à l'activité. Toute fois le problème était justement l'absence d'un terrain au quelle se référé et faire de multiples interventions.

C'est pourquoi, nous avons dans un second temps orienté notre réflexion sur la société et ses tabous.  La consommation de drogue nous intéressait pour son coté obscur mais la coté illégale du sujet nous posait trop problème. C'est ainsi que, d'abord d'un ton amusé, nous avons proposé une étude sur les sex-shops. En effet le sujet alliait tabous et curiosité ce qui nous convint a tous.

Par soucis de manque d'information, j'ai préféré observé de manière non déclaré en amont, pour ensuite me déclaré officiellement. En effet, dès les premières observations voire pré-notions, on constate que l'anonymat est fondamentale. Les commerçants protèges leur commerce et leurs clients, mais les clients eux, se protègent du regard extérieur, de la société. Ainsi, il fit rapidement possible de s'apercevoir d'une mœurs collective admise et partagé. Celle de la frontière entre l'intime et le public. C'est d'ailleurs ce que Baptiste COULMONT constatera des le 19e siècle avec les premières plaintes de police de paris pour des vitrines de magasins vendant les premiers « excitateurs ».

Nos premières visites et recherches sur les sex-shops ont également pu faire constater qu'il existait plusieurs types différents, chacun visant un public ciblé. Nous avons également pu remarquer que l'organisation de la boutique n’était pas anodine. En effet, les « Love-shop » visent généralement une clientèle plutôt féminine d'une cinquantaines d'années.Les produits les moins choquant et d'aspect plus banale sont placés à l'entrée de la boutique. Une fois à l’intérieur nous nous retrouvons entourer de parfums et d'huiles de massage d'un coté et de jeux de sociétés érotique de l'autre. Enfin, on retrouve les sex-toys pour homme qui ne représente qu'un dixième de la surface du magasin. Cachés derrière, on voit les biens qui se trouve en lien avec les pratique sexuelles les moins admises en public tel que les sex-toys et vibromasseur féminine.

Il y a une réelle hiérarchisation des pratique sexuelles, certaines plus légitimé que d'autres.

Le second type se trouve être le « Sex-shop » par définition. On le distingue par la présence de cabine vidéo. Celui décrit dans le rapport se trouve être celui de Tours nommé FUNNYSHOP il se situe à l'extérieur du centre-ville. Dans ma partie individuelle, par souci de redondance, je vais décrire un sex-shop à cabine vidéo situé à Nantes ou j'ai pu faire ma toute première observation non déclarée en ayant conscience des deux types de sex-shops. Il s'accorde parfaitement avec celui de tours mais possède quelques distinctions. J'ai tenter de retranscrire le panel d’annotation que j'avais noté sur mon téléphone puis remis à l’écrit sur mon carnet de bord.

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