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Ontogenèse et vieillissement des capacités psychologiques

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Par   •  10 Février 2020  •  Fiche  •  2 151 Mots (9 Pages)  •  459 Vues

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Ontogenèse et vieillissement des capacités psychologiques

Questions courtes :

CN1

Que signifie le développement ?

Succession des événements par lesquels un organisme arrive à maturité. Ensemble des transformations qui affectent les organismes vivants et les institutions sociales » / « processus agissant sur un système pour qu’il soit en continuelle évolution. Il correspond donc à l’évolution des différentes fonctions de l’organisme humain (musculaire, cardiaque, respiratoire, cognitives, etc...) et a lieu tout au long de la vie » / « ensemble des étapes qui se succèdent dans le temps qui conduisent un organisme vivant, ou une organisation sociale, d’un état primitif élémentaire : un état plus élaboré, plus complexe, provisoire ou définitif »

L’horloge sociale est une séquence de rôles et d’expérience sociales communes à un grand nombre d’individus qui se déroulent u cours de la vie ; comme le fait de passer de l’école primaire à l’école secondaire.

Le comportement d'un individu est toujours le résultat de l'interaction entre des « prédispositions » génétiques et l’environnement dans lequel il a grandi ou dans lequel il vit

L’estime de soi exprime une « attitude d’approbation, et indique le degré selon lequel l’individu se croit lui-même capable, importent, en pleine réussite et digne. En bref, l’estime de soi est un jugement perso de mérite, un sentiment global de valeur et d’amour pour soi» Coopersmith.

Dans l’organisation multidimensionnelle et hiérarchique des perceptions de soi, il y a des perceptions relatives à des comportements particuliers à la base de la hiérarchie, ex : «je me sens capable de réussir ce pénalty »

Les trois grands changements (i.e., des « tâches développementales ») à l’adolescence sont : les changements (1) physique de la puberté, (2) dans la vie sociale et relationnelle et (3) identitaire

Le concept de soi évolue qualitativement et quantativement, sous l’action de la maturation cognitive et des changements dans l’environnement socioculturel

Parmi les sous-domaines des perceptions de soi, l’apparence physique correspond au degré avec lequel l’enfant est content de son apparence, de sa taille, de son poids, de son corps, et sent qu’il est mignon(ne)

Pendant l’enfance (4-7), il existe une différenciation imparfaite (2 grands ensembles) des sous-domaines des perceptions de soi.

De 5 à 7 ans, les identifications catégorielles peuvent se combiner pour faire réf à des comportements ou des compétences plus générales.

Entre 8 et 11 ans, les enfants ont une capacité d’intégration accrue il y a alors une différenciation entre les sous-domaines et à l’intérieur de chacun d’eux. Les enfants ont une perception de soi plus réaliste et il y a apparition de l’estime de soi.

CN2

La centralité psychologique est l’écart entre l’importance accordée au fait d’être bon dans un domaine particulier et ses estimations de compétence dans ce domaine. Elle détermine le sentiment d’estime de soi.

Lorsque je me sens nul dans un domaine et que ce domaine n’est pas important pour moi, alors on considère qu’il existe un écart faible dans la centralité psychologique.

A la puberté, les modifications corporelles importantes entraînent la création d’un « point de focalisation » repérable pas un recours fréquent aux références physiques pour se décrire.

Chaque enfant posséderait un modèle interne de ce que doit être l'âge « normal » ou souhaitable de la puberté.

Lors de la prime enfance (4-7 ans), les enfants n’utilisent pas la comparaison sociale pour juger leur compétence.

Du milieu à la fin de l’enfance (7-12 ans), l’enfant utilise des critères concrets pour juger de sa compétence. Il a une aptitude croissante à intégrer les sources d’information. Il ne prend plus le FB de l’adulte pour argent comptant, et le met en correspondance avec d’autres sources d’information.

A l’adolescence (13-18 ans), un poids plus important est accordé à des informations « abstraites » (infos interne, accomplissement d’objectif et attraction pour le sport) pour juger de sa compétence.

Chez les jeunes enfants, en faisant des efforts on peut parvenir à un double bénéfice : (1) une bonne performance assortie d’un sentiment d’habileté et (2) une gratification du maître car l’effort est « vertueux »

Afin d’aider l’enfant à construire une image positive de lui-même, il faut faciliter la construction d’une image de soi positive en aménageant les conditions permettant de faire l’expérience de maîtrise, comme par exemple des tâches de défi personnel, l’encouragement à l’apprentissage, et le climat centré sur la maîtrise d’habileté/technique.

Afin d’aider l’enfant à construire une image positive de lui-même, faut prendre en compte deux périodes « critiques » :                De 12 à 15ans, où les enfants ont une fluctuation importante dans les perceptions de soi, liée à une combinaison         de facteurs maturationnels et socio-environnementaux.

CN3

La détection des talents correspond à la « prédiction de performances dans le temps, par l’utilisation de mesures d’aptitudes psychologiques, seules ou combinées avec d’autres aptitudes physiques, psychologiques ou techniques.

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