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Comprendre les effets du stress chronique sur l’organisme à partir de l’exploitation de documents

Fiche : Comprendre les effets du stress chronique sur l’organisme à partir de l’exploitation de documents. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  16 Décembre 2023  •  Fiche  •  511 Mots (3 Pages)  •  62 Vues

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Activité 1 : Comprendre les effets du stress chronique sur l’organisme à partir de l’exploitation de documents.

Le stress aigu correspond à un ensemble de réponses coordonnées qui permettent à l’organisme de s’adapter à une situation d’urgence. Mais si cet état dure dans le temps, on parle de stress chronique.

Travail attendu :

  • Construisez un schéma bilan présentant les effets d’un stress chronique sur l’organisme.
  • Vous veillerez à utiliser l’ensemble des informations issues des documents.

Lors d’un stress chronique, on aura du mal à s’adapter et même provoquer des maladies (insomnies, trouble de la mémoire, perte d’appétit) = phase d’épuisement : c’est l’entrée dans le stress chronique qui peut être du un choc, des problèmes familiaux, traumatisme = réponses stéréotypées.

On va observer la densité de la substance grise, plus précisément au cortex fronto-pariètal qui est une zone qui intervient dans le traitement d’information et notamment la prise de décision. On remarque un baisse de la densité donc une perte de neurones et une dégénérescence des cellules nerveuse. Le cortex est la première zone affectée.

Avec le stress durable le taux de CHR est beaucoup plus élevé et il y aussi plus d’ACTH, le stress qui dure dans le temps augmentation de la concentration de CHR donc action sur l’hypothalamus, augmentation de la concentration en ACTH donc action sur les glandes surrénales donc plus de cortisol.

Le système limbique est composé de l’hippocampe qui est à l’origine de la perte des repères, le cortex préfrontal est responsable de la perte de la flexibilité, d’amygdale qui dysfonctionne est responsables de l’augmentation de la peur.

Le volume de l’hippocampe diminue en fonction de la concentration de cortisol dans le plasma = perte des repères spatiaux et temporels. On va faire un test par fluorescence et on va mesurer le nombre de nouvelles cellules : chez les individus non stressés le nb de nouvelles cellules augmente normalement alors que pour les individus stressés on peut diviser le nombre de nouvelles cellules par deux. Dans un milieux sans CHR il y a une grande ramification donc bcp d’information traitées, par contre dans un milieux avec CHR il y moins de ramification donc des informations moins bien traitées.

On constate que plus les dendrites sont développées, plus on est efficace, chez les personnes stressées on a une augmentation de la neurogénèse et de la glycogénèse (suicide des cellules gliales).

  • Schéma tableau

 Des personnes qui ont vécu un événement très violent, elles vont développer un stress post-traumatique avec comme symptômes des cauchemars, crises d’angoisses, trou noirs, … le cortex préfrontal médian  inhibe en permanence l’amygdale,  chez une personne stressée le cortex n’inhibe plus l’amygdale et va causer un dérèglement de l’amygdale (surdéveloppement avec une production d’adrénaline énorme), il faut aussi le combiner avec le dérèglement de l’hippocampe

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