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Personnages célèbres accusés de nécromancie

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Par   •  7 Avril 2014  •  Analyse sectorielle  •  1 879 Mots (8 Pages)  •  637 Vues

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Nécromancie

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La sorcière d’Endor est le nécromancien biblique le plus célèbre.

La nécromancie (en latin necromantia, en grec νεκρομαντία) désigne l’interrogation, dans un but de divination, des personnes décédées qui sont censées survivre et communiquer avec les vivants1. Le mot vient du grec νεκρός « mort » et μαντεία « divination ». Une signification subsidiaire se remarque dans une forme alternative et archaïque du mot, nigromancie (venant d’une étymologie populaire fondée sur le latin niger, « noir »), où on acquiert la force magique de « pouvoirs ténébreux » en se servant de cadavres.

Sommaire [masquer]

1 Dans l’histoire

2 Personnages célèbres accusés de nécromancie

3 Dans les œuvres de fiction

3.1 Dans la littérature

3.2 Au cinéma

3.3 Dans les jeux vidéo

3.4 Dans les mangas

4 Bibliographie

4.1 Textes

4.2 Études

5 Voir aussi

5.1 Articles connexes

5.2 Liens externes

6 Notes et références

Dans l’histoire[modifier | modifier le code]

Il se peut que la nécromancie soit en relation avec le chamanisme, qui fait appel des esprits comme les fantômes des ancêtres.

L’historien Strabon (Strabo, xv νεκρομαντία) rapporte que la nécromancie était la forme la plus importante de la divination chez les peuples de Perse ; et on croit qu’elle a été aussi répandue parmi les peuples de Chaldée (en particulier parmi les Sabéens ou les adorateurs des étoiles), d’Étrurie et de Babylonie. Les nécromanciens de Babylone eux-mêmes portaient le nom de Manzazuu ou de Sha’etemmu et les esprits qu’ils invoquaient celui d’Etemmu.

Dans l’Odyssée (XI, Nekyia), Ulysse fait un voyage chez Hadès, dans le monde souterrain, et il invoque les esprits des morts en utilisant des formules qu’il avait apprises de Circé. Son intention était d’invoquer l’ombre de Tirésias, mais il se voit incapable de le faire sans l’aide d’autres esprits.

Un épisode des Métamorphoses d’Apulée (chapitre II, p. 28-30) raconte comment Zatchlas, un prêtre égyptien, ramena à la vie un mort.

La Bible contient aussi de nombreuses références à la nécromancie et met explicitement les Israélites en garde contre la pratique cananéenne de la divination par les morts. Quelques exceptions montrent qu'on ne tenait pas toujours compte de cet avertissement : le Roi Saül par exemple demande à la Pythonisse d’Endor d’invoquer l’ombre de Samuel (I Samuel, 28) mais cette transgression est le fait d’un homme abandonné par Dieu (I Samuel, 13).

Deutéronome 18:10-12 : « Qu’on ne trouve chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce le métier de devin, d’astrologue, d’augure, de magicien, d’enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts. Car quiconque fait ces choses est en abomination à l’Éternel ; et c’est à cause de ces abominations que l’Éternel, ton Dieu, va chasser ces nations devant toi. »

Galates 5:19-21 : « Or, les œuvres de la chair sont manifestes, ce sont l’impudicité, l’impureté, la dissolution, l’idolâtrie, la magie, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, les sectes, l’envie, l’ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables. Je vous dis d’avance, comme je l’ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n’hériteront point le royaume de Dieu. »

Apocalypse [Révélation] 21:8 : « Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort. »

La mythologie nordique nous montre aussi des exemples de nécromancie, comme la scène du Völuspá où Odin fait revenir des morts une voyante pour qu’elle lui dise l’avenir. Dans le Grogaldr, la première partie du Svipdagsmál, le héros Svipdag appelle d’entre les morts sa mère Groa, pour qu’elle prononce sur lui certaines formules.

Même au sein de l'aristocratie franque, si l'on en croit les textes de la Congrégation de Saint-Maur, cet art divinatoire était utilisé par le duc Boson par exemple.

Au xviie siècle le rosicrucien Robert Fludd décrit la nécromancie gothique (magie noire) comme un « commerce diabolique avec des esprits impurs, à travers des rites emplis de curiosité criminelle, des chansons et des invocations sacrilèges et l’évocation des âmes des morts ».

Séances modernes, le channelling et le spiritisme versent dans la nécromancie quand on demande à l’esprit invoqué des révélations sur les événements futurs.[réf. nécessaire]

La nécromancie peut aussi se présenter comme sciomancie, une branche de la magie théurgique.[réf. nécessaire]

La nécromancie est abondamment pratiquée dans le vaudou.[réf. nécessaire]

Personnages célèbres accusés de nécromancie[modifier | modifier le code]

Léonard de Vinci (par le Pape quand il travaillait pour le Vatican et qu’il passait ses soirées à

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