PPP2 Police scientifique

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Table des matières

1        Introduction        2

2        Matériel et Méthode        2

3        Résultats        3

4        Discussion        4

5        Conclusion        4

6        Annexe        5

6.1        Tableau de démarches de recherche d’interviews        5

6.2        Les interviews        5

6.2.1        Interview N° 1        5

6.2.2        Interview N°2        8

6.2.3        Attestation interviews        11

1. Introduction

J’ai choisi le métier de police scientifique parce que je pense que c’est une combinaison parfaite de la justice et les métiers scientifiques. Une autre raison pour laquelle j’ai choisi ce métier sont aussi mes parents. Ils travaillent dans la police et je suis grandie en suivant leur model, aider les autres et faire la justice. De plus, j’ai toujours aimé les films avec la police scientifique et j’ai toujours rêvé de devenir comme eux.

Avant de travailler sur ce projet, je savais très peu sur ce métier, comment c’était organisé. Je le pensais comme un métier très dynamique et jamais monotone. Un métier ou tous les jours il y aurait des nouveaux choses à découvrir. Un métier qui demande beaucoup de responsabilités.

Je me demandais toujours si c’était facile de trouver des jobs dans ce domaine et quelles sont les formations nécessaires qui donnent l’accès dans ce métier. Mes parents m’ont toujours dit qu’il faut suivre les études sérieusement, mais je n’avais jamais pensé qu’en Albanie, mon pays, il y avait très peu d’opportunités de travail.

Avant, j’imaginais que le travail dans la police scientifique consistait de passer la journée dans un laboratoire en train d’examiner les échantillons et ensuite partager les résultats avec d’autres organes de justice.

1. Matériel et Méthode

Pour mon projet j’ai décidé de faire des recherches dans 2 pays, la France et l’Albanie. Vu que je suis Albanaise et que je continue mes études en France, je voudrais comparer les deux pays sachant que des opportunités peuvent m’être présentés dans le futur dans les deux. Donc j’ai décidé de faire des entretiens avec des experts du milieu en Albanie et de la recherche en pour le fonctionnement de la police scientifique en France.

Grace à l’aide que mes parents m’ont apporté, j’ai pu interviewé des personnes travaillant dans la police scientifique albanaise. J’ai fait 3 entretiens par e-mail avec 3 personnes différentes qui travaillent dans des divers secteurs de la police scientifique.

La première c‘était Armanda DEDA, qui travaille comme experte biologiste dans le secteur d’ADN. La deuxième, c’était Adriana HOXHA qui travaille comme chef de secteur d’examen chimique. Le troisième, c’était Arjan HAKO qui travaille comme expert médico-légal spécialisé dans le secteur de balistique.

J’ai fait beaucoup des recherches sur internet qui m’ont permis de mieux comprendre comment s’est organisé et quelles sont les fonctions de la Police Scientifique en France. A l’aide des vidéos montrant leur vie au quotidien, mais aussi après avoir passé une journée dynamique en recueillant des échantillons, j’ai eu la possibilité de créer une réelle idée de ce travail. J’ai aussi utilisé le site officiel de la Police Scientifique en France où j’ai trouvé toutes les informations nécessaires, les positions de travail, les salaires, les horaires, les formations nécessaires, les concours qu’il faut passer pour travailler dans chacune des positions etc.

En général, je n’ai pas rencontré des difficultés pour accéder à des informations nécessaires pour me faire un avis sur le sujet.

1. Résultats

Durant l’entretien avec Armanda DEDA, experte biologiste, elle m’a fait découvrir son parcours et ses expériences. Elle m’a raconté tous les différents outils qu’elle utilise dans son quotidien avec ses collègues pour collecter des fragments d’ADN et ensuite exploiter les résultats. Selon elle, ce travail demande beaucoup de concentration et il faut être très attentif car il y a beaucoup de responsabilités. Le travail en équipe est fondamental. C’est nécessaire de consulter leurs résultats pour éviter des erreurs grave car ils sont responsables pour les vies des personnes en jugement. Je cite sa phrase, « Nous risquons de punir un innocent ou d'en acquitter un coupable. »

Pour elle, ce travail n’est jamais monotone et chaque jour il y a des nouvelles choses à apprendre. Elle dit qu’il faut aussi être passionnée de ce métier.

Les formations qu’elle propose pour devenir une experte biologiste dans la police scientifique sont la biologie humaine, la biotechnologie et la criminologie. Une fois embauchée, il y a beaucoup de formations pendant les années vu que c’est un métier en développement et chaque jour il y des nouvelles méthodes pour analyser les preuves, les échantillons et les scènes de crime.

Vu que leur laboratoire est le seul en Albanie ils traitent les crimes dans tout le pays. Ils ont une grande charge de travail et actuellement ils attendent que leur laboratoire soit accrédité.

Concernant l’entretien avec Adriana HOXHA, Chef du Département des examens chimiques, elle décrit un travail plutôt dans l’aspect d’une chef et ses responsabilités pour organiser le travail au quotidien. Selon elle, son travail demande beaucoup de concentration. Le travail en équipe est nécessaire. Il faut être capable de travailler sous la pression, d’obtenir des résultats justes et rapidement. Son département est toujours en train de chercher des nouvelles machines pour faire les tests des drogues explosifs etc. Ils font beaucoup de formations pendant l’année avec leurs homologues et partagent aussi leur savoir-faire.

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