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Problématique Sur L'être Humain

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Par   •  26 Mai 2013  •  821 Mots (4 Pages)  •  1 212 Vues

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La culture permet-elle d’échapper à la barbarie ?

Définir culture :

- influence sociale (pertinent)

- être cultivé, le savoir, les arts (pertinent)

- cultiver des végétaux (pas pertinent)

Définir barbarie :

- cruel, immoral

- pas civilisé

Lévi-Strauss : être barbare c’est traiter l’autre de barbare

Rousseau : la civilisation n’est pas supérieure à la barbarie

Hitler et certains nazis férus de culture

Comment sa nature d’être bioculturel distingue l’être humain des autres animaux ? L’interaction entre biologie et culture est au cœur de la spécificité humaine. L’être humain a superposé un environnement culturel à l’environnement naturel ; l’évolution culturelle a pris le relais de l’évolution biologique.

Peut-on parler de liberté humaine selon le naturalisme ? Contrairement aux autres animaux, on constate chez l’être humain une indétermination du répertoire des comportements. L’enfant humain est capable de s’adapter à pratiquement n’importe quel environnement socioculturel. L’être humain manifeste son autonomie dans la transformation de son milieu physique et humain. Dans la tradition rationaliste, il est possible de voir une opposition entre, d’une part, la liberté ou l’autonomie et, d’autre part, la dépendance et les déterminismes : la liberté consiste à échapper aux déterminismes. Mais un naturaliste comme Edgar Morin conçoit l’autonomie en interaction avec la dépendance des êtres humains ; l’autonomie de la pensée suppose d’avoir été dépendant, ou déterminé, par la culture ou par l’école

Une culture peut-elle être porteuse de valeurs universelles ?

Définir culture :

- influence sociale (pertinent)

- être cultivé, le savoir, les arts (pertinent)

- cultiver des végétaux (pas pertinent)

OUI (Kant, fondement de la morale kantienne, Droits de l’homme, rationalisme)

NON (relativisme, communautarisme)

SYNTHÈSE (profondes différences et profonde unité des diverses religions, par exemple abrahamiques)

Comment sa nature d’être bioculturel distingue l’être humain des autres animaux ? L’interaction entre biologie et culture est au cœur de la spécificité humaine. L’être humain a superposé un environnement culturel à l’environnement naturel ; l’évolution culturelle a pris le relais de l’évolution biologique.

Peut-on parler de liberté humaine selon le naturalisme ? Contrairement aux autres animaux, on constate chez l’être humain une indétermination du répertoire des comportements. L’enfant humain est capable de s’adapter à pratiquement n’importe quel environnement socioculturel. L’être humain manifeste son autonomie dans la transformation de son milieu physique et humain. Dans la tradition rationaliste, il est possible de voir une opposition entre, d’une part, la liberté ou l’autonomie et, d’autre part,

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