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Panorama historique des échanges internationaux

Cours : Panorama historique des échanges internationaux. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  22 Mars 2021  •  Cours  •  2 152 Mots (9 Pages)  •  606 Vues

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Chapitre 1 : Panorama historique des échanges internationaux

Intro : de nombreux commentaires sur la mondialisation assimile celle ci à une série de transformation inéluctable et sans précédent. La mondialisation désigne à la fois, un processus d’intégration et l’état du monde une fois ce processus achevée. Dans ce chapitre, on verra que la mondialisation est un processus qui a une histoire. Cela permettra de mettre en évidence l’idée selon laquelle elle est irréversible. et de montrer quels comptent plusieurs dimensions qui ne sont pas toutes nouvelles.

Dans les perceptives de l’éco mondiale, le FMI la définit comme « l’interdépendance éco croissante de l’ensemble des pays du monde provoqué par l’augmentation du volume et de la variété des transactions transfontière de B/S. Ainsi que des flux internationaux de capitaux, en même temps que part la diffusion accélérée et généralisée de la technologie.

Pour plus de clarté, on va décomposer cette def et étudier les différentes composantes.

I) Le CI de B/S

L’intensification des échanges commerciaux est fréquemment surestimée. La part des X dans la production mondiale de 1913 ne sera dépassé qu’en 1970 et stagne depuis. Après une forte croissance à la fin du 19ème siècle. Après une forte croissance, a la fin du 19ème, l’intégration commerciale diminua à partir de la 1ère WAR et plus encore avec crise de 29 qui marqua le début d’une période de protectionisme. Sur le plan commerciale la mondialisation, désigne donc le retour à la situation prévalent avant les deux guerres mondiales.

—> Le GATT et l’OMC ont participé à ce retour du libre-échange. Amis si la mondialisation n’est pas un, phénomène sans précédent, il ne faut pas à l’inverse exagérer l’importance historique du libre échange.

—> Paul Bairock « mythes et paradoxes de l’histoire économique », dans on ouvrage, il affirme dans l’histoire, le protectionnisme est la règle, et le libre échange, l’exception.

—> Dans le manifeste du partie communiste (1848) Karl Marx écrivait « par l’exploitation du marché mondiale, la bourgeoisie donne un caractère cosmopolite à la production et à la conso de tous les pays »  il mettant en évidence le faite qu’au milieu du 19ème, les marchandises circulaient entre leurs régions de production et les lieus de leurs conso sur de bien plus grandes distances que le passé.

Les échanges à grand rayons d’actions ont enfaite toujours existé. Dès la préhistoire ; on a identifier des régions éloignées. Le commerce des foires de champagne aux moyen âge, prospéré sur la base des échanges entre les flandres et l’Italie. De même, la route de la soie à établie pendant des millénaires, un lien entre l’Europe et l’extreme orient. La volonté de développer le commerce des épices à était une cause essentiel des grandes découvertes du 15/16ème siècle.

Cependant ce commerce à longue distance ne concernée que les produits à grande valeurs marchande et marginaux dans la masse des consommation. L’essentiel des richesses surtout agricole te alimentaire étaient produites et consommés sur place. Le principale soucis des PP étaient de veiller à ce que le commerce des grains ne conduisent pas à affamer des régions entières en les dépossédant de leurs ressources alimentaires de bases. D’ou des mesures strict de contrôles des échanges intérieurs et internationaux.

Les échanges à grand rayons d’actions avaient néanmoins introduit dans le fonctionnement des économies, des facteurs innovants. Les benef de ce commerce engendrer pour les entrepreneurs des surplus de richesse que l’economie stationnaire était incapable de générer.

Ils ont été comme les premiers Karl Marx, un des facteurs de l’accumulation primitive du capital, qui a permis la première révolution industrielle et par la, l’essor du mode de production capitaliste

De plus en plus, ce CI s’est orienté vers les rechanges de matières 1ères (charbon, pétrole) et toutes la gamme des produits fabriquées dont l’Europe approvisionne le reste des monde.

Ce CI fut aussi l’un des facteurs de la transformation du capitalisme commerciale puis industrielle en capitalisme financier derrière l’échange des marchandises, se profiler l'accumulation, la mise en valeur et la circulation des capitaux.

Pour l’essentiel, au 16ème, c’est sur le terrain du financement, progressivement que nait la banque moderne.

Ce CI, et les activités financière liées ont profondément bouleversé la situation des population sur la planète. Au delà du contact des cultures et des technologies, les effets furent marqués en ce qui concerne l’exploitation de la force de travail des pays soumis à ces échanges (ex : le commerce des esclaves).

Face à ces situations, les PP des pays capitalistes avancées, ont eu des attitudes variables entre excès de protection et excès de libéralisme économique. On constate d’une part, une volonté de se réserver les benef de ce commerce prolongée par une volonté industrialisante afin de garder pour soi l’essentiel de la valeur ajouté produite grâce à l’utilisation de techniques modernes (colbertisme).

Jusqu’au début du 18ème siècle, le mercantilisme, a été la doctrine sur les échanges internationaux. Son principe était qu’il fallait réduire au minimum les M et accroître les X, tout cela dans le but de concentrer dans le pays le maximum de métaux précieux qui étaient considérés comme étant à la base de la richesse nationale.

D’autre part, on constate une prise de conscience croissante des biens faits de la concurrence. Le laissez faire, laissez passé (physiocrates) tendait à la fin du 18ème, à s’étendre de l’economie nationale à l’éco l’internationale.

—> La G-B à était la 1ère et la plus constante pour faire adopter le libre échange. Il s’opposer au protectionnisme, ramené à l’idée de barrières douanières autour de l’économie nationale.

CAD, des droits de douanes généralisés pour que les produits importables ne puissent pas être concurrentiels par rapport aux produits nationaux.

Selon PAUL BAIROCH, l’histoire éco du monde développée de 1815 à 1914, peut être découpé en 5 phases :

  • 1815-1846 : phase d’adoption graduelle du libre échange a Royaume uni mais du maintient du protectionnisme dans le reste de l’Occident

En 1815, le parlement anglais vota les « Corn laws » (loi sur le blé). Lors des bonnes récoltes, les doits de douanes étaient relevés et inversement lors des mauvaises. La gentry (proprié »taore terrain) était ainsi assurer de revenus réguliers. Cependant, les ouvriers des industries payées chères les produits aliementaires, ce qui obliger les industrielles à leurs payer des salaires relativement élevés. Avec le libre échange, les industriels paierait des salaires faibles. Les intérêts de l’industrie et donc du libre échange, furent défendus par le « Political Economy Club » (Ricardo) afin de promouvoir la nouvelle pensée éco. Il profitère des mauvaises conditions climatiques de 1845 auxquelles s’ajouta la récolte catastrophiques de pommes de terre en Irlande, et le 6 juin 1846, les « Corn laws » furent finis.

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