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Prises au piège de violence domestique, les victimes peuvent-elles espérer de l'aide au Luxembourg ?

Dissertation : Prises au piège de violence domestique, les victimes peuvent-elles espérer de l'aide au Luxembourg ?. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  15 Février 2018  •  Dissertation  •  4 671 Mots (19 Pages)  •  584 Vues

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Baccalauréat International

Mémoire

Sujet : Français B

Prises au piège de violence domestique, les victimes peuvent-elles espérer de l’aide au Luxembourg ?

Exam Session : Mai 2017

Mots : 3 903


Résumé

Après avoir lu le dépliant du Ministère de l’Égalité des Chances, la violence domestique fait du mal à toute la famille et après en avoir vu une discussion et un film sur la violence domestique à Luxembourg ville, je me suis intéressée à quel point les victimes peuvent être aidées. Ma question de recherche est : « Prises au piège de violence domestique, les victimes peuvent-elles espérer de l’aide au Luxembourg ? »

J’ai commencé avec de minutieuses recherches, j’ai découvert avec les sources primaires, le Mémorial A N° 150 du Luxembourg et le Projet de Loi N° 4801 du Luxembourg. Après j’ai étudié les sources secondaires sur base de différents livres qui s’adressent aux victimes ou à leurs familles. Mais aussi, j’ai fait une interview avec une femme qui travaille dans un centre d’accueil pour m’informer comment on y aide la victime et quelles démarches elle doit faire pour entrer au foyer. Pour m’informer j’ai lu aussi beaucoup de mémoires qui parlent de la violence domestique, pour voir quelles sources ont été prises pour la recherche, aussi avec le dépliant, j’ai trouvé un site d’internet qui s’appelle www.fed.lu où on peut trouver tous les centres d’accueil pour les femmes. Je me suis également référée à un cours de psychologie de ma sœur.  

Je suis arrivée à la conclusion que la victime peut trouver de l’aide dans tous les domaines nécessaires : la justice offre son aide sous forme de police, avocat, juge, procureur d’État, les centres d’accueil offrent un hébergement, des consultations psychologiques, un soutien pour les démarches administratives et la famille et les proches peuvent aider avec des dialogues et encouragement pour quitter leur agresseur.

      Nombre de mots : 278


Remerciements

Je tiens à remercier toutes les personnes (professionnels, proches, amis) qui, grâce à leurs conseils, à leurs commentaires et à leur soutien chaleureux, m’ont permis d’élaborer ce mémoire.

Ne pouvant tous les citer ici, je tiens à souligner l’aide particulièrement précieuse de Monique Lucas, qui travaille dans un centre accueil « Fraenhaus » Femmes en Détresse asbl et Mr. Ramaekers superviseur de mon mémoire.


Table des matières

Introduction. ………………………………………………………………………. P. 1-2

Développement……………………………………………………………………... P. 3

  1. Le centre accueil pour les femmes battues………………………..... P. 3-4

  1. Les jugements envers les agresseurs………………………………… P. 5-6

  1. Le Soutien envers les victimes……………………………………….. P. 7-8

Conclusion…………………………………………………………………………. P. 9

Bibliographie………………………………………………………………………. P. 10-11

Annexe…………………………………………………………………………….. P. 12


Introduction

De nos jours, on n’entend pas beaucoup sur la violence domestique, aussi les victimes pensent presque toujours qu’elles sont seules à endurer un calvaire dans leur couple, mais ce n’est pas la réalité. La violence conjugale joue un rôle important dans maintes familles et ménages au Luxembourg, dans tout groupe d’âge, de nationalité et de classe sociale. Ce sujet est omniprésent dans notre société, et même s’il s’agit encore d’un tabou, maintes informations surgissent de plus en plus dans nos médias.      

 Pour mon mémoire, j’ai choisi le Luxembourg, parce que je m’intéresse au domaine du droit au Luxembourg et je veux m’informer comment ce pays aide ces victimes de violence conjugale. Le Luxembourg est un pays francophone, le français est une langue qui est parlée dans les entreprises, dans l’hôtellerie, mais aussi de plus en plus dans la vie quotidienne. Les lois, ainsi que la langue administrative sont en français.

La violence conjugale peut être composée de différents types de violence, par exemple violence physique, verbale, psychologique ou sexuelle.

La violence physique est une action où l’agresseur dicte des blessures ou des sévices corporelles. Les victimes peuvent montrer des blessures pouvant provenir d’une simple chute ou d’un accident, par exemple des contusions, des yeux pochés. Puis la violence psychologique est celle qui parvient à blesser la personnalité et qui touche à la dignité.[1] L’institution canadienne Fraser Heath Autorithy définit ce type de violence comme suit : « Une personne est agressée, insultée, menacée, humiliée verbalement ou se fait crier dessus par l’un de ses proches. »[2] 

La victime a vite le sentiment d’être invisible ou va développer des processus de déni pour composer avec son stress.

Ayant trouvé un artefact culture mentionnant ce sujet, mon souhait d’en savoir plus s’est agrandi sur la violence domestique. L’artefact présenté sur un dépliant est issu d’une organisation du Ministère de l’Egalité des Chances avec un titre phare : « La violence domestique fait du mal à toute la famille » ainsi qu’une image d’un canard qui pleure. Ce dépliant parle de la loi modifiée du 30 juillet 2013 sur la violence domestique. [3]

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