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Le Paradigme constructiviste en relation internationale

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Par   •  14 Octobre 2015  •  Cours  •  1 391 Mots (6 Pages)  •  1 014 Vues

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Le Paradigme constructiviste en RI

Un paradigme synthèse qui fait le lien avec le réaliste et le libéral. Mais une vision à part entière.

1. Première approche : Les RI comme rapports sociaux

A. Le projet constructiviste

Il s’inspire de la sociologie, philo, anthropologie.. Il est pluridisciplinaire. Il se focalise sur 2 aspects : il met en relations la prod et la reprod des rapports sociaux. Ce sont des rapports de pouvoir dans des contexte part ( hist, po, eco, geo). La contextualisation hist des valeurs, des croyances, au fond de tous les modes d’investigation soc qui renvoi à Max Weben en RI . Mais tous les internationalistes ne se rapportent pas à Weben. Les constructivistes sont chargés de formuler des théories critiques, rationnelles et réalistes. On a tendance a considérer qu’il faut abandonner deux approches ringardes : - Il n’y a pas de réalité en dehors de la théorie

- Le système interna anarchique est permanent et que les intérêts des acteurs sont figés définitivement : le monde n’est pas en permanence en conflit et les acteurs étatiques peuvent varier. Ex : la Perestroïka qui précipité la fin de l’union soviet.

Le constructivisme combine la réalité soc (hu) avec une réalité pas objective ni subjective, des rapports intersubjectifs : ils se font sur les croyances des acteurs.

B. Le C comme sciences de l’être (onthologie) en RI

Nicholas Onuf, World of our Making, Le C est une façon d’étudier les RS, n’importe qu’elles RS (relations hu) les C sont considérés comme théoriciens sociaux.

John Searl : s’intéresser aux faits sociaux (q de souveraineté, droits…) n’a pas de réalité mat, un ensemble de personne y croit.

Approche qui met l’accent sur 3 points : - Le contexte soc.

- L’intersubjectivité des acteurs, le rôle de l’identité participe à la constitution des intérêts.

- La constitution mutuelle des agents et des structures.

La C est un paradigme à part entière car il repose sur la construction sociale de la réalité. Les identités des acteurs sont construites. Ils s’appuient sur des choses immatérielles, le plus important est les identités et les idées. Les identités et les intérêts sont façonnables, peuvent évoluer et son tous le fruit de processus historiques part.

C. Approche ontologique du C vue par les internationalistes.

Contexte soc : Martha Finnemore, le contexte soc est important : la po mondiale est déterminée par des croyances et des valeurs mais aussi des normes et des institutions tous partagés inter subjectivement.

 Les identités : Peter Katzenstein considère que les idées affectent le comportement des acteurs, les idées façonnent les identités et les intérêts. Ces idées et intérêts n’existent qu’à travers les échanges sociaux.

La constitution mutuelle des agents et des structures : Onuf : Les agents et les structures se co constitue. Réciproquement les structures, le monde influence le comportement et les identités.

Le monde, les RI dépendent de nos relations avec les autres. Et elles ne sont jamais figées.

Alexander Wendt : père fondateur du C en RI , Anarchy is what States Make of it

II- La seconde approche du constructivisme : Les Relations internationales comme processus de socialisation des Etats.

Premier débat : L’opposition entre matérialistes et idéaliste.

Le constructivisme est donc né de la distinction des acteurs sur la SI par rapport à des approches plus anciennes. Débat philosophique sur 2 questions : la réalité sociale peut-elle être déterminée par la matière ou par l’idée ? Qui de l’agent ou de la structure détermine l’autre ?

Sur la 1ère question selon Alexander Wendt, les matérialistes

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