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La règle morale peut elle suffire à régir la vie en société?

Dissertation : La règle morale peut elle suffire à régir la vie en société?. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  14 Novembre 2021  •  Dissertation  •  3 866 Mots (16 Pages)  •  524 Vues

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TD n°1

'' La règle morale peut elle suffire a régir la vie en société? ''

Le droit est une discipline sociale plongé dans une dynamique historique depuis l'antiquité.  

Les romains, en effet, étaient de grands juristes qui ne considérait point le droit comme une science mais comme un art. L'art du bon et du juste, l'art du vivre ensemble.

Une vie organisé sous le toit d'une même société régit par des règles, '' Ubis sociétés ici ius '', comme le présente cet adage latin, là ou il y a une société il y a du droit.  

Le droit, dans une société, est considérer comme le berceau de l'organisation humaine. Une organisation dictée et ordonnée par un ensemble de règles, nommées les règles de droit. Ces règles de droit se regroupent sous une même notion, la notion de droit positif, qui peut être définit comme l'ensembles de règle de droit applicables dans l'espace juridique à nos jours.

Le droit positif est un droit qui se modélise, qui évolue en fonction de la société et du temps.

Nos comportements et actes se soumettent aux règles de droit, afin d'organiser notre vie en société et permettre un climat de vie paisible et sécuriser.

Mais la vie en société ne s'organise pas uniquement autour de règles de droit, différentes règles de nature distinctes participent à l'harmonisation de la vie en société, tel que la règle morale.

Ce la nous conduit donc à nous interroger sur la nature même des règles régissant la vie en société, si finalement, sans règle de droit, une vie en société serait toujours possible. L'être humain est doté,  de manière inée, de droits. Des droits de nature que chaque individu possède, uniquement, du fait de son appartenance à l'humanité. Ainsi, la règle de droit est elle la seule règle en vigueur à véritablement réagir la vie en société?

Pour mieux saisir les éléments du sujet, il est nécessaire dans un premier temps d'en définir les termes.

Commençons par un des termes les plus importants du sujet, à savoir la société. Généralement la société se définit par un groupe d'individus unis par un ensemble de relations organiser par ses institutions, ses lois et ses règles.

L'ensembles de règles de droit ont pour objectif d'ordonner la vie en société et les relations entre les membres qui la composent.

Parallèlement aux règles de droit, d'autres règles participent à garantir à l'homme de vivre dans les meilleurs conditions, tel que la règle morale.

Elle se définit, étant, un ensemble de règles de conduite, considérées comme bonnes de façon absolue ou découlant d'une certaine conception de la vie. Les règles religieuses, dictée par une idéologie divine, font parti d'une forme de règles morales, car l'objectif même de la règle moral est l'épanouissement de la conscience de l'individu, atteindre un état d'âme de paix.  

Nous pouvons considéré que la règle morale a pour but de nous dire ce qui est juste, ce qui doit être fait individuellement sur un plan de charité, afin d'épanouir sa conscience propre. Néanmoins cet ensembles de principes moraux suffisent, peut être, a guider notre conscience, mais pas à garantir une justice, une vie civile sécurisée. Dans les moeurs moraux et religieux, le mariage est sacralisé, il est considéré comme une doctrine fondamentale. La rupture de cet union est donc estimer comme un échec de vie, qui nuit à la conscience propre. Ainsi le divorce n'est pas tenu, moralement, juste.

Mais cette liberté d'union est bien suivi de devoirs et d'engagements et lorsque ces devoirs ne sont pas accomplit ou respecter, la justice et le droit permettent une séparation ordonnée, sécurisée des deux parties. Nous pouvons considérer donc que la règle de droit, elle, à différence de la règle morale, a pour but à la fois d’obliger à respecter ce qui est juste et de nous donner la sécurité.

Toutefois, la moralité permet à l'homme d'acquérir, par nature, des valeurs éthiques, sans les quelles les règles de droit ne seraient pas aussi distinctement comprises et adapter a notre vie.

Finalement, sans cette moralité profonde individuelle, l'application des règles de droit ne seraient pas aussi homogène dans la société.

La morale et le droit sont deux disciplines qui proposes aux individus des règles de conduite. La relation entre la règle de droit et la règle morale est finalement très étroite. Les deux règles sont considérés comme des règles sociales ayant une même finalité sociale et des principes communs, même si la finalité première de la règle morale est l'épanouissement de la conscience propre, cette recherche d'épanouissement influence le comportement sociale d'un sujet.

Toutes fois ces memes principes sont associé a des limites, qui dissocient les deux règles.

D'une part la règle de droit et la règle morale se montrent unis pour garantir une organisation sociale, car la règle morale est indirectement imposer par la règle de droit, sans action juridique qui suit, dans certains cas. Le droit et la moralité sont lié, notamment par l'obligation naturelle, par exemple. L'obligation naturelle est un principe morale, non réprimander par la justice, qui peut devenir une obligation juridique. Une simple aide financière à son proche, considérer d'abord comme un principe morale de bienveillance et de charité, s'impose dans l'obligation naturelle, devenant ainsi un principe de droit, l'aide financière n'est plus remboursable et doit, même, être continue dans certain cas.

Cette même union des deux règles sociales, considèrent des indifférences. La règle de droit peut se monter immorale et aller contre la règle morale, si elle estime nécessaire au bon fonctionnement de la société comme par exemple la perte de droit d'agir en justice après un délai de temps, mal grès le statut de victime du sujet. ( I )

D'autre part, la règle de droit et la règle morale, possèdent différents critères de distinctions, tels que le principe de transcriptions des règles qui affine le caractère obligatoire et extérieur de la règle de droit. Une règle écrite et dictée par une entité extérieure, se manifeste tel que une règle générale et impersonnelle. Ces principes peuvent distinguer la règle de droit de la règle morale.

Néanmoins ces memes critères connaissent des imperfections. La règle de droit se caractérise par une sanction suite au non suivi de la règle par un sujet de la société, ce caractère a l'apparence purement représentatif de la règle de droit connait finalement une imperfection. La règle morale est aussi suivi par une sanction, qui n'est pas juridique mais sociale. Un individu qui ne connait pas un bon comportement morale au sein d'une société se verra exclus de celle ci, dans les règles religieuses, aussi, un croyant qui se voit désobéir au comportement dictée par la bonne foi est punis pour cela. ( II )

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