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340-102-MQ – exercice de problématisation- semaine 5

Thèse : 340-102-MQ – exercice de problématisation- semaine 5. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  16 Octobre 2019  •  Thèse  •  1 809 Mots (8 Pages)  •  1 076 Vues

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340-102-MQ – exercice de problématisation- semaine 5

La lecture du texte de la Genèse ainsi que celle de l’Homme-machine de de La Mettrie nous a placés face à deux conceptions de l’être humain différentes.

Suite à cette étude, répondez à la question suivante :

Laquelle de ces deux conceptions vous paraît la plus apte à mieux comprendre la réalité humaine?

Consignes : Vous répondrez à cette question en rédigeant une longue introduction (+ ou – 500 mots) mettant en place une problématisation de la question selon les règles définies dans le document « l’introduction problématique » disponible sur Léa.

Date de remise : mardi 18 septembre, 8h

Modalité de remise : sur Léa, en respectant les règles énoncées à ce sujet dans le plan de cours mais en format Word[1].

Règles d’évaluation :

  • Tout travail remis en retard sera pénalisé selon les règles de la P.I.E.A., soit 10% par tranche de 24h, fin de semaine compris.
  • Les fautes de français sont comptabilisées à raison de .5/faute, à concurrence de 10% de la note globale du travail.
  • Tout plagiat ou tentative de plagiat vaudra à ses auteur.e.s la note de 0, conformément à la P.I.E.A. du cégep.
  • Grille d’évaluation de votre travail à la page suivante.

Grille d’évaluation[2] :

Grille d’évaluation  exercice de pbm

18-20

Très bien 

La structure du texte telle que demandée est parfaitement respectée.

Les éléments d’explication des positions sont très pertinents, clairs et suffisants. 

Les définitions retenues sont pertinentes.

Les éléments du cours sont très bien réutilisés. 

Niveau de Langue soutenu

15-17

Bien 

La structure du texte telle que demandée est bien respectée et formulée.

Les éléments d’explication des positions sont pertinents, clairs et suffisants. 

Les définitions retenues sont adéquates.

Les éléments du cours sont bien réutilisés. 

Bonne voire très bonne qualité de langue.

12-14

Passable 

La structure du texte telle que demandée est plus ou moins respectée et formulée.

Les éléments d’explication des positions sont plus ou moins pertinents, clairs et suffisants. 

Les définitions retenues sont superficielles ou mal utilisées.

Les éléments du cours ne sont pas bien réutilisés. 

 qualité de la langue relativement pauvre.

9-11

Échec 

La structure du texte telle que demandée n’est pas respectée et formulée.

Il y a peu éléments d’explication des positions ou des contradictions dans les explications.

Les définitions retenues ne sont pas pertinentes.

Les éléments du cours ne sont pas réutilisés adéquatement.

Mauvaise qualité de langue

8 et – 

Hors sujet 

La structure du texte telle que demandée n’a pas été respectée.

Il n’y a pas d’éléments d’explications ou ceux-ci sont hors-sujet.

Il n’y a pas de définition des termes essentiels.

Aucun élément du cours n’est réutilisé ou les éléments du cours n’ont pas été compris.

Français à travailler impérativement

Références mal faites (facteur pénalisant, maximum 2 points)

 

1er résultat

/20 soit : %

Français  (0,5% par faute est soustrait jusqu’à concurrence de 20 fautes)

%

 

Note finale en % :

L’introduction problématique

L’introduction de votre rédaction sert à poser le problème philosophique. Bien que la question vous soit donnée, vous devez montrer au lecteur quel en est le sens. Autrement dit, vous devez expliquer pourquoi il y a un problème. Il se pourrait que les exigences d’un professeur à l’autre varient, mais le principe reste le même : il faut montrer que vous avez compris la nature du problème avant de prendre position.

Pour ce faire, il est souhaitable de situer la question dans un contexte. En effet, les questions philosophiques n’ont pas existé « depuis la nuit des temps », comme on l’entend trop souvent. Pour qu’une question ait été soulevée à un moment de l’histoire de la pensée, il a fallu qu’un événement marquant se produise, qu’un penseur ou un scientifique ait fait une découverte, qu’un conflit d’idée ait surgi ou qu’un nouveau paradigme se soit imposé. Autrement dit, pour qu’une question se pose, il a fallu que des êtres humains vivent le problème. Vous devez ainsi montrer quelles sont les conditions qui ont pu faire émerger la question. Il est par ailleurs aussi utile de montrer que la question se pose encore aujourd’hui.

Une fois que la question est contextualisée et posée, il s’agit de présenter les positions possibles. Vous devez examiner les pistes de réponses à titre d’hypothèses, sans dire laquelle est la meilleure : vous devez rester neutre. Réfléchissez ainsi : si la réponse à la question est X, qu’est-ce que cela veut dire? Qu’est-ce que cela implique? Et si, au contraire, la réponse à la question est Y…? Vous serez alors en mesure de faire ce qu’on vous demande, à savoir : définir les concepts impliqués, expliquer les conceptions et déterminer les enjeux philosophiques. Par la définition, il s’agit d’expliquer les concepts impliqués dans le contexte de la question (et non reproduire un passage du dictionnaire). Par « conception », on entend une affirmation sur quelque chose, dans ce cas-ci : l’univers ou la réalité (l’univers est quelque chose). Par « enjeux », on entend généralement les conséquences théoriques ou pratiques de la réponse à la question, autrement dit ce que le problème met en jeu. Pour mieux faire comprendre les points de vue possibles, n’hésitez pas à vous appuyer sur des exemples.

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