La Science A T Elle Le Monopole De La Verite

SUJET : La science a-t-elle le monopole de la vérité ?

Il convient de distinguer 3 sortes de sciences : les sciences formelles, les sciences de la nature, et les sciences humaines. Chaque science a son objet d'étude et vice versa. Une science vise à étéblir une connaissance d'un objet choisi. On défini un monopole comme une possession exclusive. Elle (la science) seule aurait le droit de rechercher la vérité. La vérité ici est à prendre dans le sens totalité. Il y a déjà un présupposé important : la science amène déjà à des vérités (mais en a-t-elle le monopole ?)

Le plan sera établi comme suit :

1) En quoi le champ de la vérité est-il de plus en plus occupé et conquis par la science ?

2) La science est-elle oui ou non dans la situation d'avoir la possession exclusive de la vérité ?

3) Quelle est la partie du champ de la vérité qui ne peut être occupé par la science ?

Réponse développée :

1) - La science est la seule a être capable de démontrer ce qu'elle affirme.

- Elle est capable de vérifier ce qu'elle affirme.

- Elle possède un discours méthodologiquement élaboré.

- Elle offre toujours une connaissance rationnelle de son objet.

- Il y'a notion d'évolution, de progrès : la science avance au détriment de ses concurrents.

- Des techniques de plus en plus pointues et précises sont utilisées.

- Le discours de la science est parfaitement objectif.

- La science modélise la vérité.

- C'est le seul discours à refuser la supperstition, l'opinion, la croyance.

- Le discours utilise des concepts précis, clairs.

- Il y a une accélération croissante du progrès.

- Cela supopose un échange des disciplines (la physique se sert des mathématiques)

2) - La science ne connaît pas la vérité (celle qu'elle donne et relative et provisoire)

- Plus les sciences progressent, plus les zones d'ombres du réel augmentent.

- Plus les sciences avancent, plus les problèmes sont complexes.

- Karl Popper : "tout discours scientifique doit être en permanence testé, ne doit pas craindre d'être réfuté et de se révéler faux" D'où la testabilité, la réfutabilité et la falsifiabilité d'un discours scientifique.

- Il n'y

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