Selon La Conception De Freud, L'être Humain Pourrait-il Posséder Une Liberté Absolue ?

La liberté est la possibilité d’agir selon notre propre volonté et de faire nos propres choix sans être restreint par les autres. Cependant, l'inconscient recouvre les processus ou les activités psychiques qui ne peuvent être ni étudié ou ni être contrôlés par la conscience. Le concept d’inconscient présenté par Sigmund Freud s’exprime par les pulsions et a donc changé notre définition de la liberté accordée à l’être humain. En effet, son concept nous conduit à revoir la définition que l’on se fait de la liberté humaine. Ainsi, il présent l’homme étant en parti conscient et inconscient; comment peut-on être libre si nous n’avons pas le contrôle complet de nos actions? Selon la conception de Freud, l’être humain pourrait-il posséder une liberté absolue? Afin d’analysé tout cela, une présentation du contexte historique de Freud suivie de sa conception du comportement qui admet que l’être humain est en partie inconscient. Il y aura enfin, une prise de position de ma part face à la question la conception de Freud va à l’encontre d’une liberté dit absolu.

L’époque de Freud est déterminée par le développement de la science dans lequel se fait surtout reconnaître le domaine médical. La médecine de l’époque s’attardait particulièrement aux problèmes observables ayant des explications vérifiables (matérielles) même parmi les problèmes reliés au comportement. Ce n’est que peu de temps après que Freud proposa des nouvelles perspectives de l’homme grâce à les résultats de ces recherches sur l’inconscient.

La conception Freudienne se porte sur le comportement humain et le présente comme l’interaction de trois instances. D’abord, le ça qui est la source des désirs (la libido) refoulés et à l’instance psychique première correspondant aux besoins organiques et biologiques, tout ce que l'être possède en naissant. Il renferme les pulsions et les désirs de l’être humain, il n'a pas d'organisation et ignore tout tel que le bien et le mal, les jugements de valeur et la morale. Le ça est démuni de toute raison (il se manifeste en général de manière inconscient), il obéit qu’au plaisir. Il est régi par le principe par la satisfaction des besoins de l’être humain par le plaisir tout en négligeant la préservation de la vie contre le danger.

Ensuite le moi pour Freud est le médiateur entre le ça et le surmoi et représente le point défensif de la personnalité et la raison. Celle-ci a pour rôle de traiter avec la réalité, en veillant à ce que les pulsions du ça s'expriment de manière tolérable avec la réalité. Le moi est guidé avant tout par ce que Freud appelle le principe de réalité, un principe qui cherche la réussite et la sécurité par rapport à la réalité. Le principe de réalité balancera ainsi le pour et le contre d'une action puis décidera d'agir ou de mettre de côtés ces pulsions (processus de refoulement).

Enfin, le rôle du surmoi est comparable à celui d'un juge à l'égard du Moi. Freud met en évidence que la fonction principale du Surmoi comprenant l'ensemble des normes sociales et des idéaux que nous ont transmis nos parents et la société. C’est l’instance qui est de défendre et de posé des contrainte à la conscience à l’égard des tabous culturels et l’excès des pulsions. La conscience morale, l'auto-observation,

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