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L’homme bénéficie-t-il d’une liberté absolue ?

Dissertation : L’homme bénéficie-t-il d’une liberté absolue ?. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  2 Novembre 2017  •  Dissertation  •  863 Mots (4 Pages)  •  1 889 Vues

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l’homme bénéficie d’une liberté absolue ?

L’être humain a la capacité d’avoir de nouvelles connaissances, de trouver un travail etc... Cela fait partie de son intégration et son appartenance à la société. Mais il ne se sent plus dans un monde libre, que chacun fait ce qu’il veut, mais dans un monde dépendant du mode de vie et de son adaptation dans son milieu à cause des systèmes politiques et sociaux comme le capitalisme. Aujourd’hui, la liberté est l’un des concepts fondamentaux de l’être humain depuis son existence. Il est en question de savoir si l’homme bénéficie d’une liberté absolue. Le sujet de liberté a été un sujet de discussion  depuis de siècles. Par ailleurs, Karl Marx, penseur politique et économiste socialiste allemand (1818-1883) a donné sa réflexion envers le sujet rapport à la condition de travail et le système diabolique, soit le capitalisme. Par la suite, Sigmund Freud, médecin et psychiatre autrichien (1856–1939) a approché ce sujet, surtout à son époque. Comme premier lieu, il faut expliquer les notions et la réflexion de ces deux philosophes,  de répondre à la problématique, et donner une position avec une conclusion.

Comme début, on définit la liberté comme  la possibilité de pouvoir agir selon sa propre volonté, dans le cadre d'un système politique ou social, dans la mesure où l'on ne porte pas atteinte aux droits des autres et à la sécurité publique. On comprend bien que l’être humain  veut un monde libre, que chacun fait ce qu’il veut, libre arbitre. Mais malheureusement ce n’est pas le cas à cause des systèmes politiques appliqués dans la société, où l’homme ne sent plus libre, mais enchainé, dépendant du mode de vie et de son adaptation dans son milieu.

Karl Marx a révolutionné la manière de concevoir l’individu et ses liens à la société. Il s’exprime contre l’exploitation et la domination d’une classe par une autre classe. Le capitalisme est selon Marx l’exploitation de l’homme par l’homme. On voit que Marx explique la liberté en fonction du travail. Ce dernier est une activité libre et consciente qui peut permettre le développement de l’être humain. Karl donne des solutions à ce système capitaliste, quand il a parlé de la liberté sociale. C’est une liberté qui s’incarne dans un ensemble de droits et de libertés comme la liberté économique pour avoir par exemple le droit de propriété et liberté d’entreprise. Aussi, des libertés personnelles, civiles et politiques. Cette liberté se divise en deux parties : formelle comme les droits et les libertés  et on aussi la liberté réelle qui donne le pouvoir pour déterminer sa propre vie.

Ensuite, Freud était un médecin spécialisé en neurologie. Il attaque le sujet d’une vision déférente et qui est par rapport à son domaine. Alors il s’intéressait au comportement humain, son état psychique pour voir s’il est bien libre. Freud affirme que l’homme n’administre pas tous ses agissements ou comportements  de façon consciente et réfléchie, mais plus par son inconscient. Ce dernier représente  tous les désirs et pulsions de l’individu. Pour Freud, les pulsions inconscientes sont la source de presque toutes les actions. La personnalité de l’être humain se forme dès l’enfance. Ce psychiatre faisait des études et des expériences sur le comportement humain comme le résultat de l’interaction de trois théories qu’il a élaboré, soit le ça, le moi et le surmoi. Le ça est la base des pulsions dans le plein inconscient. Par la suite, le moi représente une partie de la réalité et présente une liaison entre le ça et le surmoi.  Le surmoi représente les contraintes morales, c’est le défenseur de la moralité.  Pour faire le lien entre les trois théories, le ça influence sur le moi à cause du monde extérieur, qui ajuste les pulsions de l’homme selon les exigences de la société. Et le surmoi c’est la morale qui s’oppose et corrige le désir pour avoir le respect dans la société.

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