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Commentaire de Texte HEGEL

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Par   •  16 Mai 2017  •  Commentaire de texte  •  730 Mots (3 Pages)  •  744 Vues

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Ce texte de Hegel constitue une réflexion sur la volonté humaine. Son thème est la nature du rapport qui s'instaure entre la volonté et les facteurs qui la déterminent. Le problème est le suivant ; faut-il dire que la volonté est déterminée par des mobiles qui agissent sur elle comme une causalité extérieure ou bien que c'est la volonté qui , au contraire, maîtrise l'influence des mobiles et en résumé, en décide ? Oui, problème du texte.

La thèse du texte affirme le poids prépondérant de la volonté sur les déterminants extérieurs. En effet, elle ne les supprime pas mais elle détermine le pouvoir qu'ils ont sur elle. Ainsi, l'enjeu du texte est la liberté de l'Homme et l'indépendance de ce dernier dans ce monde.

Ce texte ce décline en 3 trois parties, la première partie insiste sur le caractère actif du vouloir, le deuxième montre que la nécessité des choses ne joue pas forcément un rôle déterminant et la troisième amène à conclure que la conduite de l'Homme ne dépends que de lui (montrez qu’il y a des implications morales).

 

 

   Tout d'abord dans une première partie ( jusqu’à "Qui les fait valoir comme mobiles" l.6 , Hegel oppose deux interprétations de la conduite humaine. Plus exactement, il évoque la conception de l’opinion commune pour ensuite la réfuter.

   D'une part , on retrouve une interprétation des " mobiles " comme " déterminants de ma volonté" qui se traduit en quelque sorte par une passivité ou la volonté est ici victime des circonstances. De plus , dès la première ligne " mon vouloir a été déterminé " , on retrouve un aspect paradoxale qui souligne que " mon vouloir" en réalité ne veut plus rien, il y'a dans ce cas une forme de passivité.

D'une autre part , Hegel affirme la dimension active de la volonté ( " de façon essentielle "l.5)  dans son rapport aux mobiles. C'est donc le vouloir qui décide initialement de la signification des circonstances et du rôle qu'elles pourront avoir sur le comportement de l'Homme.

       Ensuite (il faut élaborer davantage la liaison logique entre les parties), on retrouve dans la deuxième partie ( jusqu'à Posée par les circonstances l.11 ) les raisons de la seconde interprétation. La première raison est que " La relation de causalité " est mal utilisé (plus exactement : elle ne s’applique pas à la vie de l’esprit). En effet, lorsque Hegel affirme que la conduite résulte de circonstance , la relation de causalité ne convient pas à cette idée. En effet la causalité implique l'idée d'une nécessité complète (il faut développer et approfondir la définition de la causalité). //Autre § SVP Et au contraire, la "réflexion "  est toujours capable de " dépasser la détamination qui est censé s'appliquer sur mon comportement.

Ainsi on rencontre ici un point fondamentale du texte. La pensée, la réflexion, d'un tel est par sa nature supérieur a tout les évènements qu'ils soient externes ou internes. Cette réflexion est la preuve de l'homme comme " essence libre" , c'est à a dire comme pourvu d'une liberté essentielle.

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