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Management numériperf

Étude de cas : Management numériperf. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  6 Mars 2019  •  Étude de cas  •  1 066 Mots (5 Pages)  •  1 327 Vues

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BTS Communication 1ère année

Management Devoir 2

Après avoir pris connaissance du cas Numériperf et des ressources proposées, vous réaliserez une étude en répondant aux questions suivantes :

Analyse de la situation de l’entreprise

 Question 1 Identifiez les styles de direction de Marie-Louise (sur les 5 dernières années) puis de Jean-Charles (depuis la création de Numériperf) en vous référant tour à tour à la typologie de Likert puis celle de Blake et Mouton. – sur 4 points

Tout d’abord Likert montre 4 style de direction différents.

 Le style consultatif : quand le dirigeant décentralise son pouvoir, qu’il le délègue à ses collaborateurs en privilégiant l’esprit d’équipe (management par la confiance).

Le style paternaliste : quand le dirigeant centralise le pouvoir, avec des consultations limitées des collaborateurs (management par la condescendance).

Le style participatif : quand le dirigeant écoute ses collaborateurs, avec une forte décentralisation du pouvoir et une délégation totale. Il participe seulement aux prises de décisions (management par l’autonomie).

Le style autoritaire : quand le dirigeant est le seul à prendre les décisions de l’entreprise, avec aucune délégation et une forte centralisation du pouvoir (management pour la peur).

Dans ce cas de l’entreprise Numeriperf, Marie Louise, la directrice générale de celle-ci, a un style de direction autoritaire selon Likert. Elle a décidée seule de créer un département de formation ce qui est une grande décision pour l’entreprise, “elle décida dans la précipitation de créer un département autonome « formation » qui commercialise des sessions de formation informatique.”, “a décidé en quelques heures et sans réelle consultation de créer ce département”. Ensuite dans la précipitation, elle propose un poste à responsabilité à une personne non qualifiée, sans compétence pour ce poste et qui ne postulait pas pour celui-ci, il ne faisait que des remplacements pour un public plus jeune “non pour le poste de programmeur auquel il postulait, mais pour celui de chef du département « formation » qu’elle créa dans la foulée”.

Jean-Charles, l’associé à part égale de Marie Louise, est au contraire de celle-ci, dans un style plutôt participatif. Il cherche avant tout le bien-être de l’entreprise ainsi que ses collaborateurs et son bon déroulement. “comme il l’avait toujours fait : demander à chacun son point de vue mais assumer la décision eu égard à ses responsabilités [...] mais tenir compte des capacités et des besoins de chacun, soucieux de les voir s’épanouir personnellement et progresser professionnellement”.

Ensuite du point de vue de la typologie de Blake & Mouton, les styles de direction sont caractérisés selon l’intérêt porté par le dirigeant à la production et aux relations humaines.

Tout d’abord, Marie Louise serait plutôt dans le style 9/1 car elle est à la recherche de l’efficacité de la production sans tenir compte du facteur humain (style taylorien).  Alors que Jean-Charles est plutôt du style 9/9, il a un intérêt maximal à la fois pour la production et le personnel, c’est une style “idéal” qui est difficile à atteindre.

Question 2 Identifiez le(s) DAS de l’entreprise Numériperf. – sur 2 points

Les DAS sont les domaines d’activités stratégiques, ce sont des sous parties de l’organisation à laquelle il est possible d’ajouter ou de retirer des ressources.

Dans le cas de cette entreprise, tout d’abord l’activité stratégiques de base était la conception de logiciel informatique pour les PME (petites et moyennes entreprises) “ Ceux-ci couvraient une cible plus large : TPE, ETI, grandes entreprises, associations, administrations”.

Question 3 Montrez que, au cours des 10 premières années de son existence, les choix de Marie Louise et Jean-Charles prenaient en compte les attentes de leurs principales parties prenantes. – sur 5 points

Dans les 10 premières années de l’entreprise, Marie Louise et Jean-Charles avaient une politique différente concernant le bon déroulement de celle-ci. Ils prenaient avant tout en compte le bien-être des collaborateurs et donc leurs principales parties prenants en donnant plusieurs avantages financiers “ Marie-Louise se faisait fort de proposer des hausses de rémunérations régulières (+/- 1/3 des profits).”, ou concernant les horaires ”Marie-Louise avait instauré un système d’horaires modulables pour permettre à tous ses salariés de concilier leur vie professionnelle et personnelle “, ou enfin concernant les les besoins des clients “[...] apportait une capacité d’empathie pour comprendre les besoins des dirigeants de PME”.

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