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Management des entreprises

Étude de cas : Management des entreprises. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  10 Février 2023  •  Étude de cas  •  1 175 Mots (5 Pages)  •  158 Vues

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Management des entreprises :

1. La société Soulterie est une société qui est désormais implantée dans le Val-de-Marne.

La société Soulterie est une librairie de vente aux particuliers et aux collectivités.

Cette société a été racheté en 1977 par Alain et Conception PRÉVALMA.

Pour Schumpeter l’entrepreneur n’est pas un simple créateur ou repreneurs d’entreprises, il est le moteur de l’évolution économique. Il est celui qui vient bouleverser l’activité économique apportant l’innovation. Son dynamisme et sa volonté de créer sont au cœur de la croissance du système capitaliste.

La logique entrepreneuriale implique donc une capacité à anticiper à se projeter et à innover.

Le type entrepreneur se caractérise selon Schumpeter par un ensemble de motivation et un genre de conduite radicalement différents du type de l’agent économique.

En ce qui concerne la logique managériale elle vise à optimiser l’allocation des ressources existantes.

La logique managériale s’inscrit dans une optique de continuité d’exploitation et d’optimisation des ressource. Un manager est une personne qui gère une équipe avec des contraintes de temps et d’argent.

Dans le cas de la société Soulterie, il s’agit d’une logique entrepreneuriale.

En effet, la société reconnaît avoir choisi de se lancer dans une librairie « un peu au hasard par un concours de circonstances opportunes ». Ils ne sont pas des passionnés de littérature mais en réalité Monsieur et Madame PRÉVALMA voulaient tous les deux gagner en autonomie et en responsabilités dans leur vie professionnelle. Ayant arrêté leur scolarité après un baccalauréat d’électricité pour Alain et de secrétariat pour Conception, ils ne pouvaient réellement espérer de postes avec un fort degré d’indépendance et de responsabilité en tout cas dans les entreprises où ils travaillaient.

Alain est une personne avec beaucoup d’imagination et de créativité, cette création est donc d’abord la conséquence d’un besoin d’accomplissement de soi.

Mais ils ont vu tous deux une opportunité en cette société.

2. La finalité d’une entreprise peut être définie comme sa raison d’être.

C’est le but général qui justifie son existence. Quel que soit sa taille ou son activité, la finalité d’une entreprise dans le système capitaliste consiste à générer des profits.

La société de la Soulterie recherche d’abord à atteindre une finalité économique et financière.

En ce qui concerne les finalités économiques, il s’agit de produire des biens ou services destinés à trouver et satisfaire une clientèle. Ils veulent assurer la pérennité dans leur société, étendre son segment d’activité aux collectivités en plus des particuliers pour accroître son profit.

Grâce à cela, ils ont pu faire un choix audacieux car sur ce marché, un oligopole de trois grosses librairies contrôlait Paris et la petite couronne. Grâce aux procédures d’appel d’offres, les premières commandes d’établissements publics et même d’un ministère sont arrivés.

La société de la Soulterie va pouvoir se développer petit à petit.

Il y a également une finalité sociétale, car ils ont créé une association "Prim'livre, celle-ci récupère des livres d’occasion pour les distribuer à des bibliothèques un petit budget qui cherche à promouvoir la lecture dans des milieux où le livre n’a pas toujours la première place.

Il y a aussi des finalités sociales. La finalité sociale constitue pour une entreprise une mission d’amélioration de la vie sociale en interne et à l’externe.

Il y a eu une mise en place de CDD qui a été proposé à des étudiants tous choisis sur recommandation d’un salarié d’un client ou d’un fournisseur.

Puis il y a aussi eu des créations

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