Analyse du marché du petit déjeuner et de la pâte à tartiner

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Analyse du marché du petit déjeuner

Demande quantitative :

Le marché potentiel est de 11 431 406, Soit le nombre d’habitant en Belgique.^[1]

« En Belgique, en 2014, 78,3 % de la population (de 3 à 64 ans) prend régulièrement un petit-déjeuner (c'est-à-dire au minimum cinq jours par semaine). De plus, 70,7 % de la population prend chaque jour un petit-déjeuner. » Sarah Bel ^[2][pic 2]

Demande qualitative :

Le petit déjeuner est le repas le plus important de la journée, c’est pourquoi le marché potentiel est si élevé.

Mais il y’a des personnes qui ne prennent pas de petit déjeuner le matin. Soit par manque de temps, soit par habitude. Également, de plus en plus de personnes optent pour un « brunch », ce mix entre le petit déjeuner et le repas du midi est fort apprécié en Belgique. ^[3]

De plus en plus de consommateurs se tournent vers le bio et des produits certifiés par d’autres labels de significations égales.

Segmentation des consommateurs :

• Les traditionnels : Ils se contentent d’un petit déjeuner rapide avant le travail ou l’école.
• Les sucrés : Ils prennent des petits déjeuners sucrés.
• Les salés : Ils prennent des petits déjeuners salés.
• Les végans et les allergiques : Ils sont minoritaires. Ils prennent des pâtes à tartiner contenant des produits spéciaux quant à leur régime alimentaire.
• Les amateurs de bios : Ils sont de plus en plus. Ils font attention à comment sont fait et ce que contiennent leurs produits.^[4]

Analyse de l’offre :

Pour l’offre des petits déjeuners, nous retrouvons principalement les grandes surfaces alimentaires comme Carrefour, Colruyt ou Delhaize.^[5]

Il y’a également l’HoReCa, les restaurants, les hôtels, les chaines de restauration rapide et les cafés peuvent proposer des petits déjeuner.^[6]

Ensuite, de plus en plus de chaines de boulangeries apparaissent dans les villes belges, comme les boulangeries « Paul », « Louise » et « Le pain quotidien ».^[7]

Analyse des distributeurs :

Les distributeurs sont les boulangeries, les grandes surfaces alimentaires, les restaurants et les marchés.

Analyse des influenceurs :

Les consommateurs peuvent être influencé par diverses publicités partagées par les différentes marques proposant des produits en lien avec le petit déjeuner ou également par des personnalités publiques mettant en avant un produit ou un service. Comme Marine Leleu alias Marinlle, Justine Becattini alias Jujufitcats et Sophie Trem alias The Other Art of Living. Ces influenceuses comptabilisent chacune de 63 700 à 2 500 000 de personnes les suivant sur Instagram.^[8]

Analyse des régulateurs :

La sécurité alimentaire : « Le principe de la sécurité alimentaire, c'est de garantir la qualité des aliments commercialisés et la réduction maximale des risques pour la santé du consommateur. Si les pouvoirs publics sont évidemment responsables des mesures de protection et de contrôle de la chaîne alimentaire, les particuliers peuvent, eux aussi, contribuer à leur propre sécurité alimentaire. »^[9]

Analyse du marché de la pâte à tartiner au chocolat

Demande quantitative :

En 2017, le volume consommé en Belgique était de 17 000 tonnes.^[10]

En moyenne, un ménage belge dépense 22 euros de pâte à tartiner au chocolat par an.

La marché potentiel est de 11 431 406 – 606 740 = 10 824 666, Soit le nombre total d’habitant en Belgique moins le nombre d’habitant de moins de 4 ans.^[11]

Le taux de pénétration est de 73% de la population.^[12]

La valeur de l’année 2019 s’élève à 120 millions d’euros.^[13]

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Demande qualitative :

Suite au confinement de début 2020, les ventes de pâtes à tartiner au chocolat ont explosées.^[15]

Également la tendance à consommer du bio s’étend dans le marché des pâtes à tartiner au chocolat.^[16]

Ensuite, les gens optent de plus en plus pour des pâtes à tartiner végans, faisant attention aux allergènes, sans huiles de palmes et sans sucres raffinés.^[17]

Analyse de l’offre :

Le marché de la pâte à tartiner au chocolat possède un leader ne connaissant pas de challenger. Celui-ci n’est nul autre que le géant « Nutella » produit par l’entreprise italienne « Ferrero ». Nutella possède 53,2% du marché belge en termes de valeur.^[18][pic 4]

Nous retrouvons ensuite des marques comme Kwatta, Cote d’or, Becel, Nocciolata, Meli, Galler, Boerinneke et Boni. Ceux-ci se partagent une bonne partie de la moitié du marché.

Par ailleurs, nous retrouvons la marque « Balade », leader du rayon frais avec 1,1% de parts du marché total de la pâte à tartiner au chocolat.^[19]

Analyse des distributeurs :

Concernant les distributeurs, nous retrouvons principalement les hypermarchés et les supermarchés, les fulls range dicounters et les commerces de proximité.

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Analyse des influenceurs : 

En Belgique, l’asbl « Test-Achats » qui est une association de consommateurs ayant comme objectif : « Notre objectif est d'informer, de défendre et de représenter les consommateurs. Nous sommes indépendants de toute influence politique ou économique. Tous les bénéfices qui résultent de nos activités sont réinvestis dans l’accomplissement de notre mission. »^[21] Ceux-ci ont réalisé une étude sur les pates à tartiner au chocolat en 2017. L’étude avait relevé certains produits ne contenant pas de chocolat mais uniquement de la poudre de cacao. Ils ont inversement cité les produits contenants quant à eux belle et bien du chocolat.^[22]

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