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BTS COMM DEVOIR ECONOMIE-DROIT N2 (20/20)

Dissertation : BTS COMM DEVOIR ECONOMIE-DROIT N2 (20/20). Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  28 Mai 2018  •  Dissertation  •  4 237 Mots (17 Pages)  •  941 Vues

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GIRE RUIZ

GIL Marine

20/20


très bien

BTS COMMUNICATION 1A

Économie générale – Droit  Devoir n°2

  1. Partie 1: Économie Générale        20

Sujet: La croissance de l'Afrique

Ces dernières années, nous avons pu constater que le continent Africain est sur la voie du développement et de la croissance. Depuis les années 2000, il prend 6% de croissance en moyenne par an. En dix ans à peu près, il a dépassé les puissances européennes stagnantes et se retrouve juste derrière l'Asie, qui elle aussi à connu une émergence économique fulgurante. Pour se développer, la croissance du continent Africain est nécessaire. Ce dernier à vu sa classe moyenne se développer. La croissance démographique Africaine est la plus rapide du monde. De plus, cette croissance du pays attire bon nombre de grandes entreprises étrangères prêtes à investir sur ce continent.

Dans un premier temps, nous essaieront de mettre en lumière les principaux facteurs de croissance du continent Africain. Puis, dans un deuxième temps, nous verront pourquoi ces        1 investisseurs  sont-ils  tant  intéressés  par  ce  continent  émergent  et  quelle  est  l'incidence attendue de ces investisseurs directs à l’étranger (IDE) sur la croissance de ces pays. Pour

finir, nous démontrerons en quoi malgré une croissance économique en hausse, l'indice de développement humain est quant à lui moins fort.

En effet, d'ici la fin du XXI°siècle, il y aura autant d'habitants au Nigeria qu'en Inde. Il faut donc répondre aux nouveaux besoins de ces consommateurs, qui ont besoin d'un cadre juridique amélioré et d'une politique plus réglementaire. De plus, ils se sont intégrés à l'économie mondiale en augmentant leurs investissements et en accélérant les importations. Et ce car ces pays se sont fixés plusieurs objectifs, dont celui d'intégrer sa production locale dans le marché mondial. Ce qui ne peut se faire que grâce aux importations. Un autre objectif et qui n'est pas des moindres est celui d'augmenter la productivité. Pour que ces objectifs puissent être atteints il faudrait améliorer les infrastructures dans les différents domaines de transports (routiers, ferroviaires, portuaires. De plus, une qualification de la main d’œuvre est nécessaire. Le problème est que le taux de scolarité ainsi que le taux de qualification y est parmi les plus bas du monde. De surcroît, beaucoup de travailleurs ne sont pas en bonne santé, ce qui les empêche de bien travailler et de garder leur poste dans les entreprises. C'est pourquoi il faut développer les infrastructures comme les écoles ou les hôpitaux. L'Afrique fait face à un double défi, celui d'assouvir les besoins de cette classe moyenne émergente qui contribue à dynamiser l'économie de leur pays mais également les former, les éduquer afin qu'ils participent a ce processus de développement. Sur un plan qualitatif, plus une population sera qualifiée et plus la croissance sera favorisée. La croissance économique correspond à une amélioration de la production. Tout est lié et il est nécessaire de former les sociétés

Africaines afin qu'elles puissent comprendre les évolutions du marché et de l'économie, et y participer. Pour l’instant on assiste à une croissance extensive. Si l'on se base sur le facteur travail, on peut observer qu'il y a une augmentation de la population active. C'est une croissance quantitative: plus de travail, donc plus de machines. On produit plus avec plus d'outils. Ce type de croissance permet aux pays d'augmenter leur production et d'employer la main d’œuvre disponible. Mais cela n'améliore pas le niveau de vie des habitants. Il faudrait favoriser une croissance dite intensive, c'est-à-dire une augmentation de la productivité et du capital en veillant à l’amélioration des deux. Ici le niveau de vie peut être en hausse. Dans la croissance des pays, on a donc le facteur travail et le facteur capital. Tout le reste est appelé

«Production globale des facteurs», c'est ce qu'il reste une fois que l'on à retirer les deux derniers facteurs cités. Par exemple, si sur une croissance annuelle d'un pays à un PIB de 2 dont 0,2 correspondent au travail et 0,6 au capital, les 1.2 restant seront la production globale des facteurs. Le problème est que ce type de croissance n'a pas encore été atteinte, il faudrait un meilleur environnement macroéconomique et plus d’investissements, ce qui favoriserait la création d'emplois. Surtout quand on apprend par La Banque Mondiale que les jeunes représentent 60% des chômeurs Africains, dont 25% en Afrique du Nord. C'est le continent qui contient le plus de jeunes au monde. De plus le pays doit combler un manque de qualifications. Il faudrait donner à cette main d’œuvre potentielle des possibilités de qualifications, ce qui permettrait au pays de s'adapter à la demande mondiale. Cette croissance est également retardée car sur ce continent, faire travailler des enfants est encore courant. Ce qui les empêche d'avoir accès à une scolarité et donc d'accéder à un travail stable et rémunéré, qui augmenterait le niveau de vie et d'être en bonne santé.

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