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Cejm Bts Gpme p.31

Étude de cas : Cejm Bts Gpme p.31. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  15 Mai 2021  •  Étude de cas  •  894 Mots (4 Pages)  •  3 877 Vues

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1) Une Externalité négative, décrit la situation ou l’activité d’un agent économique détruit le bien-être d’un autre agent économique sans compensation monétaire pour les victimes de l’externalité.

L’industrie européenne automobile, a un impact négatif sur l’environnement et les agents économiques, car elle produit du CO2 et donc pollue énormément (externalité négative).

Sur la planète, ceci provoque le réchauffement climatique, et sur les ménages ceci peut entraîner des problèmes de santé. C’est pour cela que des quotas d’émissions ont été mis en place afin de respecter l’environnement, par exemple, pour toutes les voitures Renault l’émission de dioxyde de carbone ne devra pas dépasser 95 grammes de CO2/km en 2021. Cependant, Renault ne respecte pas cette règle et atteint les 110 grammes de CO2/km. Elle est donc dans l’obligation de payer une amendes calculé à partir de chaque grammes de CO2 (dépassé) multiplié par le nombre de voitures vendues. Cela peut dans certains cas atteindre les 30 milliards d’euros d’amende par an.

Ainsi, de plus en plus de fabricant européens d’automobile prennent la décision de se tourner vers la fabrication de voitures électriques, qui grâce à l’innovation permettent de diminuer leur taux d’émission de CO2 et donc respecter l’environnement. C’est le cas notamment de l’entreprise Tesla, qui est constamment en recherche de développement pour ses voitures électriques.

2) En effet, les constructeurs automobiles subissent une pression de la part de certains acteurs tels que les ONG (organisations non gouvernementales), afin de les inciter à réduire leurs émissions de CO2. Greenpeace, une ONG qui met en place des actions pour la défense de l’environnement et le respect de la planète, n’hésitent pas à confronter les grandes entreprises automobiles et dénonce la pollution de l’air provoquer par ces industries. Par exemple, en 2019, à l’occasions de l’ouverture du Salon automobile de Francfort, Greenpeace a mener une action contre les constructeurs de gros véhicules 4x4 (SUV). Ils dénonce que l’industrie automobile n’a toujours pas « compris la crise du climat » et que ils doivent arrêter la fabrication de ces véhicules à moteur à combustion, sinon cela aura de graves conséquences sur le climat.

3) Sur le marché automobile, cette pression des ONG à de fortes conséquences, car les différentes ONG sensibilisent le public lors de manifestations et campagnes de pression visant les entreprises. Les ONG laissent donc des traces marquantes dans l’opinion publique, ceci nuit à l’image de l’entreprise et donc celle-ci est dans l’obligation d’arrêter toutes activités contraignantes.

Contrairement à l’entreprise Tesla, qui n’a pas ce problème de pression, car cette entreprise fabrique tous ces véhicules grâce à l’électricité. Et dans cette démarche elle à une volonté de protéger l’environnement.

4) La part des ventes des véhicules électriques a énormément augmenté au cours de ces dernières années. En Europe, par exemple, il y a eu environ 3% de ventes en 2018 et on estime une augmentation de 40% en 2030. Alors que la part estimé des ventes de véhicules diesel et essence baissent fortement, passant par exemple, en France de 97% en 2018 à 40% en 2030.

Cette augmentation incite les différentes

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