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Management à l’ère de la société du savoir, Fayol (1916)

Commentaire de texte : Management à l’ère de la société du savoir, Fayol (1916). Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  12 Novembre 2016  •  Commentaire de texte  •  1 199 Mots (5 Pages)  •  1 066 Vues

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Comme nous pouvons lire dans l’ouvrage Management à l’ère de la société du savoir, Fayol (1916) cet ingénieur et chef d’entreprise nous permets de prendre connaissance de sa réflexion sur les différents principes de la gestion. En tout, Fayol, nous propose 14 principes d’administrations qui aideront à guider les dirigeants d’entreprises. Toutefois, il est important de retenir qu’il ne s’agit pas de principes inflexibles ou absolus. Tout porte croire que malgré ses 14 principes, le nombre n’est certainement pas limité.  Nous devons aussi garder en tête que cette mesure s’appuie aussi sur l’intelligence, l’expérience et la capacité de décision. Ceci peut jouer un rôle important sur l’ensemble des décisions. Nous analyserons donc les principes un à un selon notre cas.

La division du travail.

Un des premiers principes est la division du travail. Il est clair que cette entreprise respecte bien ce principe. Cette société comporte des divisions qui fonctionnent de façon bien différentes et de façon indépendante. De plus, comme indiqué à la figure 2 de la page 3 de notre cas, les employés effectuent une série de tâches de façon répétitive et suit un cheminement séquentiel spécifique.

L’autorité et la responsabilité.

Selon Fayol « Ce principe correspond au droit de donner des ordres et au pouvoir de les faire exécuter. »1. Dans le cas de Sécuriplus, l’extrait qui se trouve à la page 11, nous permet d’analyser M. Blanchette qui exerce son rôle de dirigeant en donnant des ordres afin que celle-ci soient exécutées. Dans cette situation, une conversation entre lui et sa ressource Marie-Line Briens nous montre bien que ce principe est appliqué « Je lui ai dit de se mettre à l’ouvrage et de s’arranger pour comprendre faute de quoi elle devra se chercher du travail ailleurs »2. Nous pouvons donc constater que l’autorité est utilisée du supérieur et qu’une sanction s’y rattache si la situation ne s’améliore pas.

La discipline.

Ce principe consiste à faire respecter les conventions de l’entreprise qu’elles soient explicites ou tacites. L’obéissance, l’assiduité et bonne tenue résume bien le tout. Toutefois, il est important que les dirigeants jour leurs rôles en fournissant le leadership. Dans notre cas, il y a eu lieu de se questionner si M. Blanchette adapte bien son rôle en tant que dirigeant. La problématique que celui-ci éprouve avec une de ses ressource, démontre que sa façon de diriger n’est peut-être pas adaptée puisque sa ressource Marie-Line Briens semble détachée de la situation et semble voir son patron comme un supérieur hiérarchique, tout simplement, et non comme quelqu’un pouvant l’aider à s’améliorer.

L’unité de commandement et l’unité de direction.

Afin d’éviter tous conflits inutilement, chaque personne qui travaillent pour but,  devrait relever d’un seul chef et d’un seul programme idéalement. Tel que montré à la figure 1 de la page 2 de notre cas, ce principe est bien respecté. Les employés de la division médicale relève d’un seul patron qui est M. Blanchette. Les employés relève aussi d’un seul programme qui est la réclamation sur les médicaments. Nous pouvons donc affirmer que l’équipe travaille dans un même but pour le bon déroulement de ce service.

La subordination de l’intérêt individuel à l’intérêt général.

Afin d’assurer le bon fonctionnement de l’entreprise, il est primordiale de laisser nos intérêts individuels de côté et les buts de l’entreprise qui doivent primer avant tout. Dans le cas de chez Sécuriplus, M. Blanchette semble avoir de la difficulté avec ce principe. À la page 11 du cas, il mentionne : « […] si les résultats de cette étude devenaient publics, chaque damné client demanderait une remise ou un remboursement en alléguant que nous nous sommes trompés sur ses réclamation. La direction ne serait pas exactement satisfaite de moi […] 3. Nous pouvons constater que son intérêt personnel prime sur celui de l’entreprise, car sa peur du jugement prime sur l’honnêteté.

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