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Cas BTS NDRC Zolux

Étude de cas : Cas BTS NDRC Zolux. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  13 Mai 2020  •  Étude de cas  •  1 639 Mots (7 Pages)  •  2 362 Vues

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D.M : Sujet « Zolux » (dossier 1 et 3) : 

        Dossier 1 / Partie 1 :

1/ --En ce qui concerne les tendances de demande sur le marché dans le quel évolue la société Zolux, on peut constater via les annexes que :

        -63 millions d ‘animaux vivent dans la moitié des familles Française (principalement ceux qui comporte un enfant)

        -le confort animalier fait partie d’une nouvelle tendance

        -La « petfood » représente 85% du marché, quant au accessoires/santé/hygiène eux représente les 15% restant

        -le marché des animaux de compagnies est en évolution positive de +3% en 2017

        -Avec une croissance au niveau des chats  de +5,5%/an -> ceux qui represente environ 20% du total des animaux de compagnies.

->les points abordé ci-dessus ne sont que des points positif ; mais il y a également des points négatif pour le marché :

        -la population de chien et en baisse de -1%/an

        -le taux d’abandon ne cesse de s’accentuer au fur et à mesure des années  

 

--Si l’on observe le marché d’un point de vue « quantitatif », on peut s’apercevoir que :

        -plus de 50% des foyers ayant une animal de compagnie ou plus dépensent environ 500€/an pour ce dernier

        -dans ces dépenses : les chiens et les chats représente 80% du C.A du marché

        -le marché des accessoires a pour prévision 200 millions d’€ de CA

        -les animaux de compagnies sous-marin (type poisson) : malgré que nombreux, ne représente que 6% des dépenses sur le marché

        

--Ensuite sur l’on étudie le marché d’un point de vue « qualitatif », l’on remarque que :

        -la source première de motivation pour le fait de possédé un animal est : l’affection donné et reçu pour/par ce dernier

        -les familles n’hésite pas à acheter du mobilier animalier

        -le temps passer à jouer/promener l’animal est très apprécié, surtout par les « jeunes » (en moyenne 1H/jour)

/Néanmoins :

        -la période des départ de vacance pose généralement problème aux familles (seulement 1/3 d’entre elle en mène leur animal)

2/ afin d’analyser au mieux l’offre de Zolux ,par rapport au demande des consomateurs, je vais tout simplement comparer chaque point 1 à 1 entre les 2 « parties » :

Marché 

Zolux

Chiens

40% (+2%)

33% de son C.A (+3,5%)

Chats

40% (3%)

8% de son C.A(-2%)

Aquariophilie

6% (+1%)

31 de son C.A (+3%)

Alimentaire

85% du marché total

28% de son C.A(+1%)

Non-alimentaire

15% du marché total

72% de son C.A (+1,1)

autres

14 du marché total

29% de son C.A (+8%)

Pour conclure : on peut bien se rendre compte via les chiffres, que effectivement l’entreprise ZOLUX, et plus spécialisé dans le domaine non-alimentaire (en hausse sur le marché Chien/Aquariophilie), malheureusement sur le marché du Chat : qui est très intéressant ; Zolux y en retard ; il faudrait si développé commercialement tout en conservé l’évolution positive dans les autres domaine.

3/ Comparaison sur la « répartition des circuits de distribution de l’E Zolux par rapport au marché national :

Marché

Zolux

GSA

47% (+1%)

8% du C.A (+1%)

GSB

2% (pas d’évolution)

13% du C.A (-2%)

Jardineries

15% (+1%)

42% du C.A (+1%)

Animaleries

12% (+6%)

18% du C.A (-4%)

Veterinaires

7+ (+19%)

1% du C.A (+8%)

E-Commerce

8% (pas de données de progression)

3% du C.A (+14%)

LISA

9% (+1%)

15% du C.A (-4%)

En conclusion : on voit que sur le canal de l’animaleries notre activité recul alors que sur la marché elle augmente (pour qu’elle raison ?)

Mais points positif, sur les canaux E-Commerce et Clinique vétérinaire (2 canaux à fort potentiel dans le futur) : nous avons une bonne progression par rapport au marché (en avance sur la concurrence).

4/ Conclusion sur les segments produits et les cibles de distributeurs à privilégier :

                

-La stratégie commercial doit se porter sur les produites no-alimentaires pour chiens et chats, le tout en passant principalement par les animaleries et les cliniques vétérinaires pour la vente -> ces canaux de distribution draine plus de consomateurs « amoureux » de leur animal de compagnie = donc plus de chance qu’il se laisse tenter par un jouets ou un accessoire par exemple.

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