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Analyse de cas : Entreprise Granger, Farley et Associés Inc, Canada

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Par   •  11 Décembre 2016  •  Étude de cas  •  5 130 Mots (21 Pages)  •  4 227 Vues

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HEC MONTRÉAL

Analyse de cas : FARLEY, GRANGER et ASSOCIÉS

Travail présenté

Dans le cadre du cours de

Management

Par:

Lamia Chiguer

25 Novembre 2016  

Table des matières

  1. INTRODUCTION: 2
  2. DIAGNOSTIC : LA PROBLÉMATIQUE  2
  1.  Énumération des  problèmes 2
  2. Formulation d’une problématique générale3
  1. Analyse : 3
  2. Les solutions : 11

BIBLIOGRAPHIE…………………………………………………………………………………………….12

  1. INTRODUCTION:

          Farley, Granger et associés est une entreprise constituée de comptables agréés qui s’occupent de produire les états financiers d’autres entreprises. Elle a fait ses débuts à Kamloops puis s’est consacrée à l’expansion, dès les premières années, pour ouvrir une nouvelle succursale à Vernon. L’entreprise finie par se fusionner au Groupe Walker. Celle-ci offre un service de qualité à sa clientèle et se distingue par l’expertise. La société compte une soixantaine d’employés.

  1. DIAGNOSTIC : LA PROBLÉMATIQUE

  1. Énumération des  problèmes

           Suite à l’analyse du cas, les principaux problèmes se sont dégagés suite à la fusion de l’entreprise Walker avec celle de Farley. Tout d’abord, les employés n’étaient pas tous d’accord avec cette fusion et certains ont quittés l’entreprise, dont Claude qui était le principal mentor. Dans le management traditionnel, l’apprentissage est principalement basé sur les relations de mentorat. Son départ a non seulement déstabilisé les employés, mais il a aussi engendré une perte d’une grande partie de la clientèle. De plus, les employés se retrouvent délaissés sans le mentor pour les guidé dans leur tâche, ce qui permet de constater un manque d’initiation et d’implication au sein de l’entreprise. Ensuite, nous constatons que la plupart des employés ne connaissaient pas la mission de l’entreprise. En effet, durant les rencontres, Jim Brown, consultant d’entreprise, tente de modifier la mentalité des employés en leur inculquant l’importance de porter de l’attention supplémentaire à la clientèle. Malgré les nombreuses rencontres, les salariés ne comprennent pas l’utilité de celles-ci et la mission de l’entreprise. Dans le cadre juridique, la mission prend une place très importante, car c’est ce qui permet de déterminer les responsabilités et les intérêts de chacun. Il est possible que l’une des raisons pour laquelle l’initiative n’est pas manifestée par tous soit due à un manque de précision de la mission de l’entreprise. Toutefois, on remarque des améliorations à court terme, puisque les employés ont fait preuve d’initiative en créant le projet de gestion d’immeuble et en étant plus autonomes dans l’exécution de leur travail, mais le problème est toujours présent à long terme. Par la suite, on constate qu’il y a des lacunes au niveau des pratiques de management, puisque l’entreprise ne répond pas aux besoins des employés. Effectivement, il y a eu plusieurs demandes de formation, à la suite du départ de Claude, qui sont restés sans réponses, cela est dû à un manque d’organisation. On constate également un problème au niveau du contrôle, puisque Richard ne peut intervenir partout, il n’y a personne pour s’occuper de l’évaluation du travail des employés.                 De plus, Richard n’est pas réceptif aux commentaires de ces employés et il en est même arrivé à congédier une employée après avoir émis de multiples commentaires. Le dernier problème que nous avons décelé est que l’individualisme prime chez les employés des deux bureaux, Kamloops et Vernon. Cela touche directement la perspective politique, puisqu’ils n’ont pas un intérêt collectif. Il n’y donc pas présence de groupe d’appartenance et cela crée une certaine division. Sur ce point l’entreprise a connu un pas vers l’avant et désormais les deux bureaux font preuve de plus de communication. Cependant, en portant une vision plus ciblé sur les employés, on constate que l’individualisme est encore un enjeu important dans l’entreprise et influence les interactions.

  1. Formulation d’une problématique générale

La problématique centrale de ce cas est : de quelle manière la gestion de Richard influence-t-elle la dynamique de l’entreprise, et par conséquent sa productivité ?

Nous allons évoquer premièrement le cadre technique dans lequel le cadre juridique occupe une place importante dans l’analyse. Nous nous attarderons aux objectifs de l’entreprise et sa mission. Nous allons également aborder le cadre social, où la perspective symbolique et psychologique joue un rôle crucial. Puis nous allons nous attarder sur les pratiques de management et la manière dont celles-ci sont appliquées dans l’entreprise. La direction et le contrôle sont les deux principaux volets que nous développerons, mais les deux autres volets seront tout aussi présents. Pour finir, il sera question des logiques d’action du management. Dans le cas de cette entreprise, on retrouve aussi bien le management traditionnel que formel.    

  1. Analyse :

Dans le cas de « Farley, Granger et associés », nous pouvons remarquer plusieurs départs d’employés et de directeurs à partir de 2006 ce qui a créé de la tension et de l’instabilité au sein de l’entreprise. En effet, le départ de Monsieur Granger en 2006 a vraiment déstabilisé l’entreprise. C’est lui qui s’occupait de plus de la moitié de la clientèle, et donc après son départ, une très grande partie des clients est partie. Aussi, Peter donnait des conseils aux clients, donc le lien de confiance que les clients avaient avec l’entreprise fût rompu avec son départ. Afin de croitre et garder leur place dans le marché, les directeurs décident d’ouvrir un second bureau à Vernon. En se basant sur le contexte de l’environnement plus précisément l’aspect économique, tout cela s’aggrave en 2008 suite à la crise économique où une entreprise qui produit des états financiers doit se réinventer afin d’attirer des clients, car ces derniers ne sont plus intéressés par le fait simple d’avoir des états sans avoir des informations plutôt utiles. Pour y arriver, il faudra changer de mentalité pour être à l’affût constant d‘informations afin de les transmettre aux clients. On accepte alors l’aide de Monsieur Jim Brown qui va intervenir afin d’y arriver.  

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