L'Homme arrive-t-il à sa libération ultime à la fin de sa vie ?

Pour conclure, on peut dire que tout au long nous amenons le sujet du choix et de la liberté qui peuvent se confondre et pour autant être opposés.

Le pouvoir de choisir n'est pas qu'une illusion de liberté puisque choisir est un pouvoir mais aussi que la liberté n'est pas non plus une illusion dans toute circonstance car la liberté se trouve également dans de choses toutes simples. En soit, la liberté peut être des choses simples et donc il faut donc savoir ce que la liberté représente pour autrui.

C'est pourquoi un autre sujet est présent : L'homme arrive t'il a sa libération ultime à la fin de sa vie ?

Cependant l'homme peut lui même s'infliger des lois, Rousseau dit alors «  la liberté consiste moins à faire sa volonté qu'à n'être pas soumis à celle d'autrui » et donc par cela, on sous entend l'autonomie de l'homme, dans le livre de Guy Noël Pasquier dans « Autonomie, émancipation et liberté », l'auteur dit alors « toute acte d'autonomie suppose un acte d'hétéronomie » et donc la nature de l'homme est du fait que dès sa naissance l'homme devient autonome. En effet c'est le but même de l'éducation et donc du but que l'on donne à l'enfant. D’après cela, en étant respectueux de ces propres règles imposés ou choisi de respecter soit car c'est dans la morale que l'homme accepte ces conditions, l'homme peut trouver des libertés dans d'autres moments.

L'homme est un être toujours en projet dans la mesure où il ne coïncide jamais avec ce qu'il croit être. Ainsi l'homme n'est pas « libre », mais en perpétuelle « libération ». La liberté prise dans l'action devient « engagement » dans le sens d'une action à tenir, à prouver constamment.

De ce fait l'homme ne serait pas contraint par les règles mais par sa faculté de se libérer à sa façon de ces règles/lois.

...