Étude du dénouement du conte philosophique Candide de Voltaire chap XXX

Dénouement de Candide de Voltaire chap XXX

Voltaire de son vrai prénom Marie François Arouet est un auteur emblématique du XVIII, siècle des Lumières. Il publie candide en 1759 dans une époque troublée par des guerres et des catastrophes naturelles. Ce conte philosophique est une réflexion sur le mystère du mal qui se propage sue la terre et sur la manière de concilier ce mal avec l’existence de Dieu. Publié anonymement ce conte raconte les aventures d’un jeune héro naïf qui va être confronté à différents malheurs. Dans cette conclusion nous allons étudier le bilan des personnages et la philosophie du bonheur selon Voltaire.

Axe1 : La fin de Candide

1. Le lieu

-ChapI-chapXXX changement de lieu :

 Château/jardin

 Vestphalie/Turquie

-Point de vue social : pers ont régressés

-Point de vue politique : pers ont évolué

-Orient : lieu de retour aux origines contrairement à l’occident=>choix de déplacement de la fin du conte symbolique pourV.

-Turquie : frontière entre l’orient et l’occident=> lieu neutre

-métairie : lieu modeste, à l’écart du monde, protégé=>véritable paradis # au château où tout était une illusion.

2. Les personnages

-Candide : évolue, coupe la parole à P. «je sais aussi, dit-il, qu’il faut cultiver notre jardin » =>pensée autonome=>répétition vbe savoir.

- « Vous avez raison » : inversement des rôles P/C.

-devient chef (seule pers dont la métairie n’est pas précisé)=>parle vrai # à P.

-Pangloss : pas évolué (bavard, ne comprend rien)=> 2 premières réplique inutiles :

 Enumère les rois qui ont mal fini

 Fait le résumé des aventures de C. de manière optimiste mm si C ; a subit des événements horribles.

Axe 2 : les leçons du conte

1. Le refus des ambitions

-Candide préfère vie simple=> renoncé à tte ambition de pouvoir et richesse car la gloire a un caractère éphémère et aléatoire.

2. Les biens faits du travail

-Leçon final du vieillard à C. : « je me contente d’y envoyer les fruits du jardin que je cultive » => travail : besoin métaphysique=> permet à l’homme d’oublier les malheur=>nécessité morale et éco (éloigner la vie et permettre de donner le meilleur de sois mm et permettre de vivre des prod de la métairie).

-Métairie : caractère idéal (exploiter ses capacité à la réussite collective. Donc le travail est perçu comme source de perfectionnement moral qui transforme les individus ex : qualité pâtissières de Cunégonde font oublier sa laideur.

3. Le sens de la formule « il faut cultiver

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